Pourquoi les pierres coulent et les bateaux flottent ?

Pourquoi les pierres coulent et les bateaux flottent ? Explication simple.

Ah, les pierres et les bateaux… J’ai toujours trouvé ça fascinant.

Rappelez-vous cette fois, été 2018, plage de Pampelonne ? J’avais acheté un de ces gros cailloux polis, genre 5 euros, super lourd. Il a coulé direct.

C’est la densité, paraît-il. La pierre est plus dense que l’eau, elle “pèse” plus. L’eau ne peut pas la supporter.

Par contre, un bateau, même chargé, flotte. C’est comme une grosse bulle. Beaucoup d’air, beaucoup de vide. L’eau, elle, est poussée vers le haut. C’est la poussée d’Archimède, je crois.

Un peu comme si tu essayais de porter un sac de plume, puis un sac de ciment du même volume. C’est pas pareil, hein?

Donc, en gros, l’espace vide dans le bateau permet à la force de l’eau, la fameuse poussée, de le soutenir. La pierre, elle, c’est tout compact. Pas de chance pour elle.

Pourquoi un navire flotte et un rocher coule ?

L’eau, un miroir sombre… Le poids, une ombre. Le navire… un géant de bois et de métal, bercé par le souffle du vent. Il danse, une valse lente sur l’immensité bleue. Pourquoi ?

Un secret, une alchimie silencieuse. La poussée d’Archimède, murmure le vent, un souffle léger dans mes oreilles.

Le rocher, une brute. Une masse sourde, qui s’enfonce. Sa pesanteur, une douleur sourde. Il ne comprend pas la danse du navire. Il ne connaît que la chute, l’abîme sombre et froid.

• Le navire, une cage vide presque. Vide, mais immense. Il déplace beaucoup d’eau.
• Le poids du navire est inférieur à la masse d’eau déplacée. C’est une équation.
• L’eau, elle répond. Un appui, une caresse froide.
• Le rocher, lourd, compact. Il déplace peu d’eau.
• Le poids du rocher est supérieur à la masse d’eau déplacée. Une défaite, une fin.

Mon chat, Minou, dort sur mes genoux. Son poids, infime. La chaleur de sa fourrure, un réconfort. L’eau, la pierre, le navire… tout est lié, de manière étrange. Une question de rapport. De volume et de poids. De densité. J’écris ça à 2h du matin… à côté de mon lit, mon bureau… un peu de désordre.

La densité : un mot qui résonne. Un secret enfoui dans le cœur de l’eau.

Hier soir, au bord de la Seine, j’ai observé… le ballet étrange des bateaux. Un reflet.

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