Comment savoir si un noyau est instable ?

Un noyau instable… Comment le savoir ? Franchement, ça me fait toujours un peu rêver, cette idée de minuscules trucs qui explosent… à leur échelle, bien sûr. Un noyau atomique, c’est un peu comme… Imaginez un tas de billes, des rouges et des bleues, collées ensemble par une force incroyable. Si le nombre de billes rouges et bleues est juste comme il faut – un équilibre magique, quoi ! – le tas reste stable. Imperturbable. Genre, pour l’éternité. Enfin, presque.

Mais… (et c’est là que ça devient intéressant !) s’il y a trop de billes d’une couleur, trop de protons ou de neutrons, par exemple… Tout l’édifice devient bancal. On dirait un château de cartes, prêt à s’effondrer au moindre souffle. D’ailleurs, c’est l’image qu’on utilise souvent, non ? Et boum ! Le noyau se désintègre. Paf ! Libération d’énergie. Radioactivité, tout ça. On en parle comme si c’était simple, mais franchement, l’équilibre quantique, c’est pas un truc qu’on maîtrise au quotidien !

C’est fou, quand même, de se dire que tout ça se joue à une échelle tellement petite. On ne voit rien, mais ça a un impact énorme. Prenez le carbone 14, par exemple. Il sert à dater des trucs super vieux, des fossiles, des momies… J’ai vu un reportage là-dessus une fois, c’est fascinant ! Il me semble qu’il se désintègre de moitié tous les 5730 ans, un truc comme ça. (Enfin, je crois… Je ne suis pas experte en physique nucléaire, hein !). Bref, tout ça pour dire que cette histoire de stabilité, c’est vraiment un truc délicat, une question de proportions, d’équilibre… Un peu comme la vie, en fait, non ? On cherche tous notre point d’équilibre, notre propre stabilité… Enfin, je m’égare…