Comment reconnaître un homme avec beaucoup de testostérone ?

Comment reconnaître un homme… avec beaucoup de testostérone ? Oh là là, quelle question ! On dirait une enquête policière, non ? Comme si on cherchait des indices cachés sous un microscope. Franchement, ça me fait bizarre cette obsession, vous savez ?

Déjà, la barbe. Mon oncle Jean-Pierre, il a une barbe incroyable, une vraie forteresse de poils noirs, et pourtant… c’est un cœur d’artichaut, le pauvre. Alors que mon voisin, tout propre sur lui, à peine une ombre de duvet sur le menton… Lui, c’est le roi du barbecue, toujours prêt à déménager une armoire pour vous rendre service. Donc, la barbe, bof, ça veut rien dire.

Et la voix ? Mon dieu, j’ai un ami, une voix grave, on dirait un narrateur de documentaire animalier, et lui, il est plus sensible qu’un chiot perdu. Sérieusement, on réduit les hommes à des clichés, c’est affreux ! On les enferme dans des cases, comme si leur personnalité se résumait à un taux d’hormones.

La musculature… Ah ça, c’est autre chose. Mais même là… Mon frère, sportif de haut niveau, muscles saillants comme des rochers, il est pourtant un pot de colle avec sa fille, une tendresse incroyable. Et puis, on parle de santé, pas de concours de musculation, n’est-ce pas ? Un mec hyper musclé peut être super fragile, émotionnellement parlant. J’ai vu ça, de mes propres yeux.

La libido ? Ah, on entre dans le domaine du très personnel, là ! Je suis persuadée que ça dépend d’un tas de choses, l’environnement, le stress, l’histoire de la personne… C’est pas une équation mathématique !

Bref, cette obsession de “reconnaître” un homme “à sa testostérone”, ça me laisse perplexe. On se focalise sur des détails superficiels, au lieu de regarder la personne dans son intégralité. On devrait plutôt se demander : est-il gentil ? Est-il respectueux ? Est-il drôle ? Voilà les vraies questions, non ? Et puis, se concentrer sur les stéréotypes, c’est juste… ringard, non ?