Quels sont les trois besoins psychologiques fondamentaux ?

1 voir

Ah, les trois besoins psychologiques fondamentaux... Je crois sincèrement que cest la clé du bonheur ! Lautonomie, cest tellement important, sentir quon a le contrôle de sa vie. La compétence, ce sentiment dêtre bon dans ce quon fait, ça booste lestime de soi. Et la proximité sociale, on est des êtres sociaux, non ? Avoir des liens forts, cest vital pour se sentir bien. Quand ces trois besoins sont satisfaits, on est tellement plus épanoui !

Commentez 0 J'aime

Alors, les trois besoins psychologiques fondamentaux… Pff, vaste sujet, mais tellement essentiel, vous trouvez pas ? Moi, je suis persuadée que c’est carrément le socle du bonheur.

L’autonomie, déjà. C’est pas juste avoir le dernier mot, hein. C’est… Comment dire ? Avoir l’impression de tenir les rênes de sa vie. De choisir sa direction, quoi. Je me souviens, quand j’ai quitté mon job “sécurisant” pour me lancer dans ma propre entreprise, c’était flippant, je vais pas vous mentir. Mais cette sensation de décider, de créer, c’était… Ah ! Inestimable. On verra bien si j’ai raison sur le long terme, mais là, tout de suite, je sais que j’ai fait le bon choix.

Et puis, la compétence ! Ce sentiment d’être bon dans ce qu’on fait. Même si on est loin d’être parfait, hein, qui l’est d’ailleurs ? C’est hyper boostant pour l’estime de soi, non ? Moi, quand j’arrive à débloquer un truc qui me semblait impossible, à aider quelqu’un avec mes connaissances, ça me donne une pêche d’enfer. On dirait rien, mais c’est vital, je trouve.

Et enfin, la proximité sociale. On est quand même des êtres sociaux, c’est évident ! Avoir des liens forts, sincères, avec les gens qu’on aime… C’est la base, non ? Pas juste des connaissances superficielles, mais des vrais amis, une famille sur qui on peut compter. Moi, je me souviens d’une période où j’étais vachement seule, et franchement, ça a joué sur mon moral. J’avais l’impression de… Enfin, vous voyez ce que je veux dire. On a besoin des autres, c’est tout.

Quand ces trois besoins-là sont nourris, quand on sent qu’on a de l’autonomie, qu’on est compétent et qu’on a des relations sociales épanouissantes… Ben, on est quand même vachement plus heureux, non ? C’est ma conviction profonde, en tout cas. Et vous, qu’en pensez-vous ? Ça résonne avec votre expérience, tout ça ?