Quelles sont les causes du stress au travail ?

Oh, le stress au boulot… On en parle souvent, mais on le ressent encore plus, hein ? Quelles sont les causes, me direz-vous ? C’est une bonne question, parce que moi, j’ai l’impression qu’il y a plein de petits trucs qui s’accumulent, comme des gouttes d’eau qui finissent par faire déborder le vase.

Une charge de travail excessive, par exemple. Vous connaissez ça, vous ? Ce sentiment de noyer dans un tsunami de tâches, chacune plus urgente que la précédente ? Je me souviens de cette période où j’étais responsable de trois projets en même temps… Trois ! J’avais l’impression de courir après mon ombre, à jamais sur le point de rater quelque chose. Les nuits blanches, les week-ends sacrifiés… ça vous parle, ça ?

Puis il y a les délais, ces satanés délais ! Toujours trop courts, toujours impossibles à tenir, surtout quand on a une montagne de boulot déjà sur les épaules. Je me rappelle cette fois-ci, j’avais promis un rapport pour lundi matin… et vendredi soir, j’en étais qu’à la moitié. J’ai passé le week-end entier à bosser, café sur café, les yeux rouges… Catastrophique !

Et l’autonomie ? Ah, ça c’est un autre gros problème ! Quand on se sent étouffé, bridé, incapable de prendre des initiatives… on est vite à bout. J’ai connu ça aussi, dans un ancien job où on devait suivre des procédures absurdes à la lettre, même quand on voyait une solution plus efficace. C’était frustrant, au point de me sentir complètement inutile parfois.

Et enfin, le manque de soutien de la hiérarchie… ça, c’est la cerise sur le gâteau, non ? Quand on a besoin d’aide, de conseils, d’un peu de compréhension, et qu’on se retrouve tout seul face à ses problèmes… c’est là qu’on sent vraiment la pression monter. J’ai connu des chefs formidables, d’autres… moins. La différence est énorme sur le moral !

Bref, le stress au travail, c’est un cocktail explosif de plein de petites choses, qui peut finir par nous anéantir petit à petit. On est pas des robots, hein ? On a besoin de reconnaissance, de soutien, et surtout… d’un peu d’air pour respirer ! Et je suis certaine que je suis loin d’être la seule à avoir vécue des situations similaires.