Quelles sont les 4 dimensions de soins ?

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Prendre soin de quelquun, cest tellement plus que soigner une maladie ! Ça englobe la prévention, pour éviter les problèmes, le maintien dun bon état, la guérison quand cest possible, et lapaisement quand la maladie sinstalle durablement. Cest un accompagnement global, une présence bienveillante qui vise le bien-être profond, une harmonie retrouvée malgré les difficultés. Ça me touche de penser à tout ce que ça implique humainement.

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Prendre soin de quelqu’un… Quatre dimensions ? C’est presque trop carré comme définition, vous ne trouvez pas ? C’est tellement plus vaste, plus… profond que ça. Soigner une maladie, oui, bien sûr, mais c’est juste une partie. Il y a cette idée de prévention, d’empêcher le pire d’arriver. Comme quand ma grand-mère, elle faisait sa marche tous les jours, coûte que coûte. “Pour rester en forme”, disait-elle. C’était sa manière à elle de prendre soin d’elle, non ? De prévenir les soucis.

Et puis, il y a le maintien… garder l’équilibre, un peu comme un funambule sur son fil. Conserver ce fragile état de bien-être, cette harmonie… Est-ce que c’est vraiment possible tout le temps ? J’en doute. La vie est faite de hauts et de bas, après tout.

Guérir… Ah, la guérison ! On en rêve tous, n’est-ce pas ? Quand la maladie frappe, on espère tous un retour à la normale, un miracle. Mon oncle, après son accident, il a dû réapprendre à marcher. Des mois de rééducation, une volonté de fer. Une vraie leçon de vie. Guérir, c’est parfois un chemin long et difficile.

Et quand la maladie s’accroche, qu’elle refuse de partir ? L’apaisement. Trouver un peu de réconfort, de sérénité au milieu de la tempête. Ma voisine, atteinte d’une maladie chronique, elle me disait que c’était ça le plus important pour elle maintenant. Plus question de guérison, juste apaiser la douleur, trouver un peu de paix. C’est… bouleversant.

Alors oui, quatre dimensions, peut-être. Mais en réalité, c’est un tout, un ensemble. Une présence, une écoute, une main tendue. Une humanité, quoi. Et ça, ça n’a pas de prix.