Quelle est la peur la plus fréquente ?

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Peur numéro 1 : l'agoraphobie. Cette phobie fréquente piège les personnes chez elles, la peur intense du dehors les empêchant de sortir. Lieux publics, transports, espaces ouverts deviennent synonymes d'angoisse. Se sentant en sécurité uniquement dans leur refuge, elles craignent la perte de contrôle et les situations d'où la fuite semble impossible.

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Quelle est la phobie la plus courante ? Quelle peur est la plus répandue ?

La phobie la plus courante ? Difficile à dire, hein ? J’ai lu des trucs, mais c’est tellement contradictoire…

On parle souvent de la claustrophobie, la peur des espaces clos. Moi, personnellement, je la comprends, je me suis sentie vraiment mal coincée dans un ascenseur en panne un 14 juillet à Lyon, on a attendu plus d’une heure… une horreur !

Mais après, j’ai vu des articles qui disent que la lagoraphobie, la peur des espaces ouverts ou des lieux publics, est plus fréquente. C’est bizarre, non ?

Lagoraphobie, donc. C’est cette angoisse de sortir de chez soi, de se sentir vulnérable dehors. Je crois qu’une amie a ça, ça l’empêche vraiment de vivre normalement. Elle a même arrêté ses cours de poterie, à cause du trajet en bus… C’est triste, quoi.

Bref, pas facile de répondre, chaque personne est différente. Il y a tellement de peurs…

Quelle est la peur la plus répandue au monde ?

Attends, la peur la plus répandue ? Phobie sociale, ah ouais. C’est marrant, je me demande si ça inclut ma tante Gertrude qui refuse les repas de famille depuis 1998 ? Enfin bref.

  • Phobie sociale, anxiété sociale, c’est le même combat.
  • Anxiety UK qui a fait le sondage. Pourquoi UK d’ailleurs ? Est-ce que les Anglais sont plus anxieux que les autres ? Question existentielle…

Ça veut dire que les gens flippent grave d’être avec d’autres gens. Genre parler en public, draguer… Même aller chercher le pain ?

Je me souviens de mon entretien chez McDo en 2010. J’étais tellement stressé que j’ai renversé mon coca sur le manager. C’était peut-être ça, de l’anxiété sociale ?

En tout cas, c’est plus répandu que la peur des araignées ? Dingue.

  • Peur intense des interactions sociales : C’est ça la définition.
  • Tiens, faut que je pense à envoyer un texto à ma cousine, elle panique toujours avant les soirées.

Info en vrac :

  • Gertrude a arrêté les repas de famille après une dispute mémorable sur la cuisson du rôti. C’est peut-être lié.
  • McDo m’a quand même embauché, malgré le coca renversé. Preuve qu’on peut surmonter ses peurs ?
  • Mon premier crush s’appelait Mélanie, en 6ème. Je n’ai jamais osé lui parler.
  • J’ai oublié d’acheter du lait ce matin. La loose.
  • L’anxiété sociale, c’est pas juste de la timidité. C’est bien plus profond.

Quelle est la pire peur des Français ?

Euh, la pire peur des français, c’est… comment dire ? C’est un peu flou, mais en gros, y’a une grosse angoisse autour du numérique, tu vois le truc ?

Genre, 1 français sur 6 flippe total de se faire pirater, mais pas par n’importe qui ! Le gouvernement ou leur propre boite, carrément. On se croirait dans un film d’espionnage, quoi. C’est dingue !

Y’en a d’autres, ils pensent plus “terrain” : genre un souci de sécurité au boulot qui les fouttrait à la porte. La déprime totale. Je me rappelle quand j’ai failli perdre mon job chez Darty à cause d’une histoire de stock mal géré, j’étais vraiment pas bien…

Ah, et le truc qui monte, qui monte, c’est la peur de l’expansion du truc, tu vois ? Le rapport, il dit que 74% des français paniquent face à ça. C’est énorme quand on y pense.

Quelle est la plus grande peur des femmes dans les relations amoureuses ?

Abandon. Solitude. Deux faces d’une même pièce.

  • Perte de contrôle. L’illusion s’effrite.
  • Dépendance. Un piège doré.

L’amour devient une prison.

Informations complémentaires:

  • Vulnérabilité. Le coeur exposé.
  • Incertitude. Le lendemain flou.
  • Illusion. La fin du rêve.
  • Changement. La peur de perdre ce que l’on croit avoir.

Plus l’investissement émotionnel est grand, plus la chute est brutale.

Quelles sont les peurs fondamentales ?

Froid glacial. Novembre, Berlin. Vent qui fouette le visage. Je me souviens du carrelage gris de la station U-Bahn Alexanderplatz. Attendais le U2. Sensation d’oppression. Peur panique. Pas de la mort, non. Plutôt… Disparaitre. Devenir invisible. Personne pour me voir, m’entendre. Plus exister.

Mains moites. Gorge serrée. Avais 19 ans. Seule dans une ville immense. Loin de tout. Le bruit du train au loin. Soulagement.

Plus tard, assis dans un café, tasse de chocolat chaud entre les mains, j’ai compris. C’était plus que l’inconnu. C’était la peur de l’oubli.

  • Mort: Oui, mais pas la fin physique. L’effacement de mon passage sur Terre.
  • Abandon: Être seule, face à l’immensité du monde. Perdue. Anonyme.
  • Échec: Ne pas laisser de trace. Ne pas accomplir quelque chose qui compte.

Retour à l’appartement. Minuscule chambre sous les toits. Vue sur les toits gris. Lumière blafarde. J’ai sorti mon carnet. Commencé à écrire. Un poème. Sur la solitude. Sur la peur. Sur Berlin.

En fait, pour moi, c’est la peur de ne pas avoir vécu pleinement. De n’avoir rien créé. De n’avoir rien aimé. Le vide. Voilà la vraie peur.

Berlin, novembre 2023. Toujours ce sentiment parfois. Mais moins fort. J’écris encore. Beaucoup.

Quelles sont les 7 peurs fondamentales ?

C’est tard… et je pense à ces trucs, ces peurs qu’on traîne. On dirait qu’elles sont gravées en nous, dès le départ.

  • Le noir. C’est bête, hein? Mais je me souviens, enfant, la terreur dans le couloir. L’absence de lumière égale l’inconnu, point.

  • Les grands espaces. Paradoxal, non? On rêve de liberté, et en même temps, l’immensité ça peut étouffer. On se sent si petit. Trop petit. J’ai une amie, Sarah, elle panique dans les champs ouverts. Elle préfère les ruelles.

  • Le vide. Ça, c’est physique. La hauteur, la sensation de pouvoir tomber. Mon balcon au 6ème, j’évite le bord.

  • Prédateurs. Instinct primaire, je crois. Même si je croise plus de chats que de lions dans la rue. C’est dans le code.

  • Bruits forts. Ça surprend, ça alerte. L’orage, le tonnerre qui claque… ça réveille quelque chose de profond. La guerre, le danger.

  • Rejet/abandon. Ça, c’est le pire. L’idée de ne pas être aimé, d’être laissé seul. Ma grand-mère, après la mort de mon grand-père, elle a jamais vraiment remonté la pente. Ça la rongeait.

  • Y’en a une septième ? Peut-être la mort, au fond. L’inévitable fin. On fait tout pour l’oublier, mais elle est là, tapie dans l’ombre.

Je me demande… est-ce qu’on est vraiment si différents, au final? Tous avec ces mêmes craintes au fond de nous. Un peu flippant, non ?

Quelles sont les peurs primaires ?

Mal faire… l’ombre d’une erreur qui s’allonge. Rejet… vide glacial, souffle coupé. Sans valeur… poussière au vent, écho silencieux. Perdue, l’identité… floue, comme un reflet dans l’eau trouble. Incapable… les mains tremblent, le monde s’éloigne. Trahie… le cœur brisé, une cicatrice invisible. Souffrance… un poids, une écharde, toujours présente. Contrôlée… prisonnier d’un invisible, d’un autre. La peur… une cage. Mes clés sont perdues, quelque part, près du vieux cerisier de mon enfance. Ses pétales, roses et fragiles, tombaient déjà en avril cette année. Trop tôt. Comme si…

  • Peur de mal faire: Ombre.
  • Peur du rejet: Vide.
  • Peur d’être sans valeur: Poussière.
  • Peur d’être sans identité: Flou.
  • Peur d’être incapable: Tremblement.
  • Peur d’être trahi: Brisure.
  • Peur de la souffrance: Poids.
  • Peur d’être contrôlé: Prison.

J’ai vu un rouge-gorge hier, près du cerisier. Il chantait, malgré le froid. Peut-être que lui, il n’a pas peur. Ou peut-être qu’il chante justement pour oublier… pour oublier le chat du voisin, roux et blanc, qui rôde toujours…

#Commun #Humaine #Peur