Quel taux de TSH pour Basedow ?

Alors, cette histoire de TSH et de Basedow… ça me rappelle mon oncle Robert, vous savez ? Il avait des palpitations, il perdait du poids comme une fusée… on se demandait tous ce qu’il avait. Et puis les analyses… une TSH… mais tellement basse ! Je me souviens du docteur, il avait dit quelque chose comme “en dessous de 0,1 mUI/L, c’est franchement inquiétant”. 0,1 mUI/L… ça sonne comme un chiffre sorti d’un film catastrophe, non ?

En fait, ils lui avaient expliqué après, que c’est un signal d’alerte ultra-fort pour un Basedow. Une TSH aussi plate, quasiment inexistante… c’est comme si votre corps criait “au secours, j’ai trop d’hormones thyroïdiennes !” Vous imaginez la frayeur ? Et je crois qu’il avait encore plus de 0,4…

Après la TSH, il y a eu tous ces autres tests, les TRAKs et la T4L, je crois… des trucs barbarement compliqués, dont je ne comprends toujours pas le sens. Mais le but, c’était de confirmer ou pas le Basedow. Et j’avoue, on a tous un peu retenu notre souffle, pendant qu’on attendait les résultats. On se disait : “est-ce que c’est ça ? Est-ce qu’il a vraiment la maladie ?” ça vous met une pression…

Parce qu’une TSH normale, ils m’ont dit après (et je crois que c’est important de le préciser), ça ne veut pas dire qu’on n’a pas la maladie, c’est dingue, non ? Donc, même si la TSH n’est pas effondrée, il faut rester vigilant. Il faut se fier à l’ensemble des symptômes. Bref, l’expérience de mon oncle m’a appris une chose : le corps, c’est un mystère… et il faut l’écouter, même si on ne comprend pas toujours ce qu’il nous dit. Et croyez-moi, cette histoire de 0,1 mUI/L, ça ne s’oublie pas !