Quel motif pour aller aux urgences ?

Quand consulter les urgences médicales : quels symptômes et raisons ?

Bon, parlons des urgences, parce que c’est jamais clair.

J’avoue, moi la première, parfois je me demande si c’est grave ou si je psychote. Genre, une douleur dans le haut du ventre. Ça m’est arrivé après une raclette trop copieuse un soir de décembre 2022 chez ma cousine à Lyon. J’ai douillé! Mais c’était juste ça… Indigestion!

La douleur dans la poitrine, c’est autre chose. Là, franchement, faut pas jouer. Mon grand-père, paix à son âme, a eu une douleur comme ça un après-midi en jardinnant. Il a pas voulu s’alarmer, il disait que c’était rien… Le lendemain, il était plus là. C’est brutal, mais c’est la vérité.

Les malaises et les vertiges soudains, ça aussi, c’est pas bon signe. Une fois, j’ai failli me casser la figure en sortant du métro à Paris, tellement j’avais la tête qui tournait. J’ai flippé et j’ai appelé le 15 direct. Ils m’ont bien fait comprendre que j’ai eu raison.

Et les troubles de la vision, c’est pareil! Un voile noir devant les yeux, c’est pas un truc à prendre à la légère.

En bref, si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à consulter un médecin. Mieux vaut y aller pour rien que de le regretter plus tard. C’est pas toujours facile de savoir, je sais. Mais écoutez votre corps et n’ayez pas peur de demander de l’aide.

Quels sont les signes de la fièvre ?

Le cœur s’emballe, tambourine sourdement, un rythme effréné, comme les ailes d’un oiseau pris au piège.

• Chaleur insidieuse, rougeur qui monte aux joues, souvenir d’un été brûlant à Avignon, les cigales qui chantent, le soleil implacable.

Une étrange faiblesse, un poids sur les épaules, comme après une longue marche dans les montagnes de Savoie, les sapins immenses, l’air vif.

• Frissons éphémères, la peau d’orange, la chair de poule, l’hiver à Berlin, le vent glacial qui siffle entre les immeubles.

La tête qui tourne, un vertige léger, la perte du goût, l’absence de désir.

• Maux de tête lancinants, une douleur sourde derrière les yeux, les migraines de ma grand-mère, le parfum entêtant de la lavande.

Sudation abondante, les draps mouillés, une sensation désagréable, le souvenir d’une nuit d’insomnie après cette rupture douloureuse.

• Manque d’appétit, le ventre noué, incapable d’avaler quoi que ce soit, comme avant un examen important.

• Rythme cardiaque accéléré, panique, palpitations.

Puis-je aller directement aux urgences ?

Alors, direct aux urgences, comme un boulet de canon ?

Euh, pas si vite, mon ami ! C’est pas le Club Med là-bas, hein !

• D’abord, tu sonnes à ton toubib perso, le mec qui te connaît mieux que ta propre mère (enfin presque). S’il est aux Bahamas, cherche un médecin remplaçant.

• Sinon, t’as le 15 (ou le 114 si t’entends rien). C’est le SAMU, pas un service de blagues au téléphone ! Eux, ils trient les vraies urgences des petits bobos de rien du tout.

• Les urgences, c’est pas pour refaire ta manucure ou parce que t’as mal au petit doigt depuis 2 jours. C’est pour les trucs sérieux : infarctus, accident de la route, chute du Mont Blanc… Les vrais trucs graves, quoi !

Imagine un peu la scène : tu débarques aux urgences pour un ongle cassé, alors qu’un mec se vide de son sang suite à une rencontre malheureuse avec un ours… Tu serais la star du jour, mais pas pour les bonnes raisons !

Perso, j’ai une fois paniqué pour un truc qui s’est avéré être une simple piqûre de moustique. Le toubib m’a regardé comme si j’avais inventé la poudre ! Depuis, je réfléchis à deux fois avant d’appeler les pompiers pour une mouche dans ma soupe…

Et puis, faut voir le côté positif : si tu vas pas aux urgences pour rien, t’éviteras une attente interminable, plus longue qu’un épisode de Derrick ! Et ça, ça n’a pas de prix.

Quels sont les motifs de recours aux urgences ?

22 motifs… ça paraît beaucoup, non ? On dirait une liste interminable. J’ai du mal à y penser, toutes ces raisons… ça me fatigue.

• Accidents de voiture. On en voit tellement, ça fait froid dans le dos. Même en faisant gaffe.
• Chutes. Surtout les personnes âgées, je crois. Ma grand-mère…
• Problèmes cardiaques. C’est horrible, ça arrive si vite. Mon oncle…
• Maladies respiratoires. Ce dernier hiver… énorme.
• Douleurs abdominales. On sait jamais ce que c’est. J’ai eu une fois…
• Troubles mentaux. On en parle plus maintenant, heureusement. Mais c’est silencieux… comme une ombre.

On voit tout passer, aux urgences. Et l’été dernier, avec la canicule… c’était infernal. L’attente, les cris… on se sent impuissant.

Le système… il est surchargé, c’est sûr. Ils essayent de tout analyser, ces 22 motifs, mais… c’est vaste. Trop vague.

J’ai une amie infirmière aux urgences de l’hôpital de la Croix-Rousse à Lyon, elle me raconte des choses… des trucs incroyables.

Manque de personnel… c’est le pire. Puis, le manque de lits, c’est atroce. On se sent désolé pour tout le monde.

Trop de monde… c’est ça, le mot. On est dépassés. On manque de tout. Même de temps pour respirer.

J’ai vu ma tante se faire refuser l’accès aux urgences un soir. Elle avait vraiment mal. Je n’oublierai jamais ça. On est loin d’un système parfait.

Qu’est-ce qui est considéré comme une situation d’urgence ?

L’urgence… un souffle court, une ombre qui s’étend. Le temps se fissure.

• Danger vital, une épée au cœur du souffle. L’instant suspendu, la menace palpable. Un frisson glacial, une peur nue.

*Violence, le cri muet de la chair, le choc brutal. Une main qui serre trop fort, la menace qui plane…

*Blessure… sang qui coule, rouge vif, sur le sol gris. La douleur, un animal sauvage. Un corps brisé, une faiblesse qui s’installe.

*Dégradation… maison, le toit qui s’effondre sur les souvenirs. Les objets aimés, détruits. Le vide, une blessure béante.

Ce vide… il résonne dans les murs de ma maison de campagne. Dans ce silence lourd, je vois les arbres, leurs branches tordues par le vent.

La nuit tombe, longue et noire. Le souvenir d’une nuit de 2024. L’odeur de la pluie sur la terre, une douce souffrance. L’orage… j’entends toujours les tonnerres, ils grondent au fond de moi.

J’ai vu la foudre… un éclair blanc. Et la peur… elle colle à la peau. Je l’ai sentie, là, dans cette vieille ferme, près des champs de mon père.

Oui, l’urgence… c’est un miroir qui te montre ton propre reflet, brisé, à l’aube d’un lendemain incertain. Un effondrement. Une chute. Un désespoir. Un appel.

• Appel urgent : 112 (en France)

Ce numéro, c’est un fil ténu qui relie l’abîme à l’espoir. Le lien fragile entre la nuit et la lumière.

Quand décider daller aux urgences ?

Douleur intense. Hémorragie. Perte de connaissance. Difficulté respiratoire.

• Signes vitaux alarmants: Fréquence cardiaque élevée, pression basse.
• Blessure grave: Accident, brûlure étendue.
• Suspicion d’AVC: Paralysie, troubles de la parole.
• Intoxication aiguë: Ingestion de produit toxique.

Mon expérience? Appel direct au 15, fin de l’histoire. 2024, Fracture de la clavicule. Radiographie. Attelle. Le reste, détails inutiles.

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