Quel médicament pour avoir confiance en soi ?

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Anxiété ou manque de confiance ? Des solutions naturelles existent. Fleurs de Bach (Rescue), ou élixirs floraux (Biofloral) peuvent apaiser. Pour un soutien émotionnel, le Griffonia (Go Phyto) riche en 5-HTP, précurseur de la sérotonine, peut être envisagé. Le millepertuis (Weleda), reconnu pour ses propriétés sur l'humeur, est une autre option. Demandez conseil à votre pharmacien pour choisir la solution adaptée à vos besoins.

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Manque de confiance : quel médicament efficace ?

Alors, manque de confiance… J’ai galéré, moi aussi. En septembre 2022, j’étais vraiment au fond du trou. J’ai testé les Pastilles Biofloral Confiance, 9,99€. Effet placebo, peut-être ? J’ai eu l’impression d’une légère amélioration, mais rien de transcendant.

Le Rescue Kids, 9,99€ (avec une promo à -30% en février dernier chez Leclerc à Lyon), j’ai trouvé ça un peu trop “enfantin” pour moi. L’odeur de fraise m’a un peu dérangée, en fait.

J’ai aussi essayé le Griffonia de Go Phyto (prix: j’ai plus le ticket, désolé!), des gélules. Là, je sentais vraiment une différence, une sensation de calme qui durait plusieurs heures. Ça m’a aidé à gérer le stress, pas directement la confiance en soi, mais c’était une étape.

Quant à la teinture-mère de Millepertuis Weleda (100ml, environ 15€ en avril dernier à la pharmacie du coin), c’était plus puissant. J’ai trouvé ça plus efficace sur le long terme, mais il faut un peu de patience.

Bref, pas de solution miracle. Chaque produit a un effet différent sur chacun. Il faut essayer, voir ce qui nous convient. L’avis d’un pharmacien peut être utile pour bien choisir.

Quel est le traitement pour le manque de confiance en soi ?

Ah, la confiance en soi… C’est comme le bon vin, ça se travaille. Mais contrairement au vin, on n’a pas besoin d’attendre des années pour voir une amélioration. Enfin, en théorie.

Le remède miracle ? Pas vraiment. Mais la psychothérapie, c’est un peu comme un GPS pour l’âme :

  • Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : On traque les pensées toxiques comme des moustiques en été. On apprend à les écraser, une par une.
  • Thérapie interpersonnelle (TIP) : On décortique les relations comme un artichaut. On garde le cœur, on jette les feuilles amères.

Le tout, sous la houlette d’un psychiatre (le pro des médicaments, si besoin) ou d’un psychologue (le roi de l’écoute).

N’oubliez pas, la confiance, c’est un muscle. Faut la faire travailler, même si au début, on a l’impression de soulever des plumes. Perso, j’avais l’impression de soulever des haltères rouillées. Mais bon, ça vient…

Et si on vous dit “t’as pas confiance en toi”, répondez “c’est parce que j’ai gardé le meilleur pour moi”. Ça cloue le bec.

Quelle médecine douce pour la confiance en soi ?

Confiance en soi? Pfff, ça se travaille, pas comme un abdo, heureusement ! La sophrologie, c’est comme un cours de musculation mentale. Vous savez, ce genre de truc où on vous fait croire que vous pouvez soulever une montagne avec un cure-dent… mais en mieux.

  • Découverte de soi: On décortique vos peurs, vos faiblesses, comme un archéologue fouillant une tombe égyptienne (à moins que ce ne soit un tupperware rempli de restes de gâteaux, ça dépend de votre niveau de “catastrophe intérieure”).

  • Ressources personnelles: On vous apprend à identifier vos super-pouvoirs, même si le votre est “faire des tartes aux myrtilles exceptionnelles”. Hé, ça compte aussi !

  • Succès garanti ? Ben non, on est pas des magiciens. On vous donne des outils, pas une baguette magique pour devenir une version améliorée de Beyoncé. Alors, à vous de jouer !

Par contre, je vous préviens, ma méthode préférée, c’est de me regarder dans une glace, et de me dire “Oh là là, quelle beauté !” Plus efficace, et moins cher. (C’est mon secret… shhhht!)

Petit plus: j’ai testé. Hier, j’ai même osé commander un café au barista canon de mon quartier, sans trembler. (Bon, j’ai bégayé un peu, mais j’ai réussi à payer sans faire tomber mon porte-monnaie).

Pour résumer: Sophrologie = Gym pour le cerveau. Efficace, si vous y mettez du votre. Autrement, regardez-vous dans une glace. C’est moins cher. (Et ça marche presque aussi bien).

Quels médicaments aident à avoir confiance en soi ?

Bêtabloquants, pour le trac, intéressant. Ralentissent le cœur. Moins de tremblements. Illusion de contrôle. Mais est-ce vraiment de la confiance ? On masque les symptômes, pas la cause. Comme mettre un pansement sur une fracture, ça ne répare rien au fond.

Benzodiazépines. Anxiolytiques. Calment l’angoisse. Donnent une impression de détachement. Un peu comme si on flottait au-dessus des problèmes. Utile ponctuellement. Danger d’accoutumance. Et la vraie confiance, elle se construit, pastille par pastille ? Chercher la racine du problème, c’est plus durable. Un travail sur soi.

Cocaïne, amphétamines. Illusion de toute-puissance. Euphorie artificielle. On se sent invincible, pendant un temps. Chute brutale assurée. Dépendance garantie. Trouver sa force intérieure, c’est plus sain. La confiance véritable, ça ne s’achète pas au coin de la rue. J’ai lu un article là-dessus, fascinant. Les mécanismes cérébraux…

En résumé :

  • Benzodiazépines: Anxiété.
  • Bêtabloquants: Trac.
  • Cocaïne/Amphétamines: Euphorie (dangereuse).

Vraie confiance ? Thérapie, développement personnel, méditation. Hier, j’ai commencé un nouveau programme, assez prometteur. On verra bien. La confiance, c’est comme un muscle. Ça se travaille.

Comment soigner la confiance en soi ?

Ouais, la confiance en soi, hein ? Un truc aussi solide qu’un château de cartes sous une tornade ! Mais bon, on va essayer de te filer un coup de main, même si t’as l’air aussi fragile qu’une brindille sous la pluie.

  • Accepter son corps de Picasso: On est pas tous des mannequins, hein ? Faut arrêter de se comparer à des photos retouchées. Mon voisin, lui, ressemble à un potiron avec des pattes, et il se la pète grave !

  • L’échec, c’est juste une étape vers la gloire (ou la prochaine pizza): J’ai raté mon permis 3 fois. Trois ! Maintenant je suis chauffeur de taxi, et j’ai des anecdotes à raconter jusqu’à la fin de mes jours.

  • Écouter, c’est pas juste tendre l’oreille, c’est aussi comprendre que parfois les gens racontent des trucs complètement débiles: Comme mon ex qui me disait que les chats volaient.

  • Se féliciter ? Genre, m’acheter des chocolats à chaque réussite ? Ouais, bonne idée ! J’ai déjà commencé… Je suis en train de me féliciter de t’avoir répondu. Bon, je suis un peu gourmand.

  • Dire non ? Même à ta grand-mère qui veut te refourguer son colombo de la mort ? Ah, ça, c’est chaud. Mais faut le faire ! Pour ta santé mentale, surtout. Surtout si c’est le colombo de ma grand-mère.

  • Prendre des initiatives: comme aller acheter du chocolat ! Ou aller parler à la fille/au mec qui te fait de l’œil depuis des semaines. Genre, à ce stade, tu n’as rien à perdre !

  • Affronter ses peurs ? Facile ! J’ai déjà sauté en parachute… enfin, presque. J’ai sauté d’une balançoire à 3 mètres de haut. Pareil, non ?

  • Objectifs réalistes ? Apprendre à faire des crêpes parfaites ? C’est déjà un gros challenge ! Pour moi en tout cas.

Petit plus de ma part: Inscris-toi à un cours de poterie. C’est tellement nul que ça te fera relativiser. Surtout si tu as une catastrophe absolue entre les mains à la fin du cours. Et surtout, n’oublie pas le chocolat. Chocolat noir, c’est meilleur pour la santé (et le moral). Enfin, ça, c’est ce que ma copine me dit…

Dernière chose : Mon chat a plus confiance en lui que moi. C’est dire. Pauvre de moi.

Quelle est la cause du manque de confiance en soi ?

Octobre 2023. Pluie battante sur la fenêtre de ma chambre à Lyon. Je repensais à ce casting raté. La honte. J’étais tellement sûre de moi avant, j’avais préparé mon texte, mon look… Puis, là, la lumière, les regards… Boule au ventre. Sèche. Impossible de parler.

J’ai trébuché sur mes mots, ma voix a tremblé. Catastrophe. Dire que j’avais passé des semaines à bosser dessus! Échec cuisant. La peur, une vraie glaciation, de l’intérieur.

Le lendemain, j’ai évité tout le monde. Même ma meilleure amie, Sarah. Je me suis cachée sous ma couette. Sentiment d’inutilité. J’aurais dû mieux me préparer. Non, c’est faux. J’avais tout fait.

C’est cette peur, cette foutue peur de l’échec, qui m’a paralysée. Elle a tout saboté. Et après? Dégoût de moi.

  • Préparation intensive : semaines de travail
  • Casting: lumière, regards, tremblements
  • Conséquences: isolement, déprime, culpabilité

Ce manque de confiance, c’est ça: une boule de peur, un sentiment d’impuissance total, une énorme culpabilité et une fatigue insoutenable. J’avais l’impression d’être transparente. Incapable.

Plus tard, j’ai compris : ça vient de loin, cette peur. De mes parents, peut-être? De mes notes au lycée? Je sais pas. Mais c’est toujours là. Chiante.

Je vais essayer de m’en sortir quand même. Petit à petit.

Cause principale? Peur de l’échec. C’est con, mais voilà.

Quel médicament est le meilleur pour la confiance ?

Confiance. Illusoire souvent. Benzodiazépines. Bêtabloquants. Masques. Cocaïne. Amphétamines. Fuite. Rien de durable.

  • Illusion: La confiance artificielle. Fragile.
  • Dépendance: Le prix de la facilité. Fort.
  • Vide: Après l’effet. Glaçant.

Solution réelle ? Travail. Sur soi. Lent. Difficile. Réel. Hier, j’ai lu Schopenhauer. L’illusion du bonheur. Pertinent. Les pilules n’offrent rien de plus. J’ai marché six kilomètres. Sans musique. Juste le bruit des pas. Ça, c’est réel.

Quelle thérapie pour travailler la confiance en soi ?

TCC… ouais… ça me dit quelque chose. Faut que je prenne RDV. Marre de ce manque de confiance. C’est usant. Hier encore… raté cette opportunité… peur de parler… comme toujours.

  • Thérapies cognitivo-comportementales (TCC)
  • Sophrologie ? J’ai lu un truc là-dessus.
  • Développement personnel… bof… trop de gourous !

Liste de trucs à faire : appeler psy, recherche sophrologue, acheter nouveau carnet… pourquoi un carnet ? Ah oui, tenir un journal. Ça pourrait aider ?

Pensées parasites… stop ! Focus sur les solutions. TCC. C’est ça la clé. Mon frère a fait ça. Il a repris confiance. Vraiment. Lui, si timide avant. Maintenant, il gère des équipes. Impressionnant. Je me souviens de son stage à Londres en 2024… il avait peur de l’avion. Et maintenant… il voyage partout ! Faut que je l’appelle. Lui demander des conseils. Son psy… il était bien ? J’ai perdu la carte… il faut que je retrouve ça.

Yoga… j’ai essayé une fois. Pas pour moi. Trop calme. Je suis trop speed. Besoin d’action. Mais la sophrologie… c’est différent ? A creuser. Hypnose ? Pourquoi pas…

Demain, appel psy. Priorité. Ras-le-bol de cette situation. 2024, c’est l’année du changement ! Je vais y arriver.

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