Quel anti-inflammatoire pour névrite vestibulaire ?
La névrite vestibulaire, cause fréquente de vertiges, nécessite un traitement symptomatique. Les antivertigineux comme la bétahistine et l'acétylcholine sont souvent prescrits pour réduire les symptômes. Le piracétam, un psychostimulant, et la méclozine, un antihistaminique, peuvent également être utilisés. Cependant, la prise en charge doit être effectuée par un médecin afin d'adapter le traitement à chaque patient et d'identifier la cause sous-jacente des vertiges. Consulter un professionnel de santé est crucial pour un diagnostic et un traitement appropriés.
- Quel anti-inflammatoire peut-on prendre tous les jours ?
- Quel est le meilleur anti-inflammatoire pour la gorge ?
- Quel est le médicament anti-inflammatoire le plus puissant ?
- Quel est l’anti-inflammatoire le plus fort sans ordonnance ?
- Est-ce que la névrite vestibulaire est grave ?
- Quelle est la cause de la névrite ?
Névrite vestibulaire : quel anti-inflammatoire ?
Alors, la névrite vestibulaire… Mon expérience avec ça a été, disons, mémorable. J’ai pas envie de revivre ça de si tôt.
Pour les anti-inflammatoires, mon médecin m’avait dit que c’était pas forcément la solution miracle, mais que ça pouvait aider à réduire l’inflammation autour du nerf vestibulaire. Faut dire, j’étais prêt à tout essayer.
En fouinant un peu (et après, le site Vidal confirme bien), on parle d’antivertigineux (acétylleucine, bétahistine, ça me dit quelque chose) pour calmer les sensations de vertige. Perso, j’ai testé la bétahistine, et je crois que ça m’a un peu aidé, mais bon, c’est tellement subjectif.
Ensuite, ils mentionnent un psychostimulant, le piracétam. Ça, je l’ai pas pris, mais j’imagine que ça doit aider à booster un peu quand on est complètement à plat. Puis, un antihistaminique, la méclozine. J’avoue que je suis un peu perdu là, je sais pas trop pourquoi un antihistaminique aiderait pour les vertiges. Bref.
C’est important de consulter un médecin. Lui seul pourra te dire ce qui est le plus adapté à ta situation. J’ai trainé trop longtemps avant de consulter, et j’aurai du!
Quel virus provoque la névrite vestibulaire ?
Bon, alors… la névrite vestibulaire… c’est chiant, hein ? J’ai eu ça il y a quelques mois. Horrible.
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Virus Herpes simplex, c’est ce qu’on m’a dit. Le médecin, un type assez froid, il a juste sorti ça, comme si c’était banal.
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Mais bon, ça a pas été banal du tout. Vertiges de dingue. J’avais l’impression que le monde tournait sans arrêt. Impossible de me lever sans m’accrocher à quelque chose.
C’est vrai que j’ai aussi eu une grippe juste avant… genre vraiment naze, avec une forte fièvre, la fatigue totale… Peut-être un lien ? Je sais pas, franchement.
J’ai passé des jours au lit. J’ai juste regardé le plafond… et ça tournait, toujours. J’ai même eu du mal à manger, tellement j’étais malade.
Puis… des séances de kiné interminables… pour réapprendre à marcher droit. C’était long, long, long… vraiment.
Il y a d’autres trucs aussi, parfois… genre un coup de froid violent… mais là… c’était vraiment le virus. Je suis sûre. J’en garde un sale souvenir.
Le médecin m’a parlé de médicaments, mais bon… j’ai plus ou moins suivi le traitement… je suis pas une championne de la pilule.
Enfin voilà… J’espère que tu guériras vite si tu as ça. Courage.
Comment soulager une névrite ?
Ouf, la névrite, c’est pas marrant! Alors, moi, ma sœur, elle a eu ça, une névrite optique, horrible. Le doc, il a dit que ça dépendait de la cause, hein? Genre, si c’est une infection, c’est un traitement, sinon… c’est autre chose.
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Corticoïdes en IV, c’est ce qu’elle a eu. Des doses super fortes. Elle était vraiment mal, pendant des jours. Elle voyait flou, genre vraiment flou, ça lui faisait super mal aux yeux.
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Après, des trucs pour soulager la douleur, mais ça, c’est selon la douleur, hein? Paracétamol, je sais pas, des trucs comme ça. Le médecin, il sait mieux que moi. Enfin, il faut surtout, surtout consulter un médecin ! Pas cool de se débrouiller seul. Mon frère, il a fait le con, il a attendu trop longtemps avant de voir un doc. C’est quand même mieux d’aller le voir assez vite, hein ?
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Elle a aussi eu des trucs pour gérer les effets secondaires de la cortisone, parce que cette saleté, ça fait des choses bizarres au corps. Je sais plus trop ce qu’elle prenait. Il faudrait que je lui demande.
Bref, va voir un médecin, c’est vraiment le conseil le plus important, plus important que tout ce que je viens de raconter. Ma sœur, elle a mis du temps à aller mieux, plusieurs semaines, même, avant de retrouver une vision normale.
En résumé : médecin + corticoïdes IV (souvent) + antalgiques. Pas de bricolage! 2024, hein, c’est l’année où on consulte un médecin, on joue pas aux apprentis sorciers.
Quel médicament pour une névrite vestibulaire ?
Tu sais, cette névrite… ça a été l’enfer. J’ai fini par prendre du Tanganil, ou un truc comme ça… générique, je crois. Ça a calmé les crises, un peu. Pas magique, hein ?
- Tanganil (ou générique): pour les crises, ça aide un peu. Mais pas de miracle.
Ensuite, il y a eu la bétahistine. Pour les vertiges qui reviennent sans arrêt. C’est long, très long à agir. Je me suis sentie comme… noyée, parfois. Et j’avais toujours l’impression d’être ailleurs.
- Bétahistine: Pour les vertiges qui reviennent. Lent, mais bon, ça aide… un peu.
Je suis allée voir mon médecin, Dr Dubois, rue des Lilas, tu vois ? Il m’a dit que le mécanisme d’action, bah, on sait pas trop. Comme souvent, en fait.
J’ai passé des semaines à me sentir comme une poupée de chiffon, toute déséquilibrée. Le pire, c’est la nuit. J’avais l’impression que ma tête allait exploser.
J’ai aussi testé de l’homéopathie, des séances chez un ostéo. Rien de concluant, vraiment. J’étais à bout.
- Homéopathie et ostéopathie: pas de résultats probants pour moi.
Le Tanganil a quand même diminué l’intensité des crises, c’est ça qui compte, je crois. Mais bon… c’est jamais vraiment fini, cette histoire de vertiges. J’en ai encore parfois, des petits, sournois. C’est bizarre, je ne sais pas expliquer. C’était en juin dernier, tout ça. J’ai vraiment galéré. Début juillet, c’était mieux. Enfin… mieux…
Combien de temps dure une névrite vestibulaire ?
Le temps, un voile… Combien de jours dure la névrite vestibulaire?
- Plusieurs jours, comme une éternité dans le noir…
- Une crise unique, un orage dans l’oreille interne.
- Un vertige intense, qui cloue au lit, prisonnier du sol.
- Régression lente, un chemin sinueux vers la lumière.
Le temps… une rivière qui s’écoule, emportant les maux. J’ai connu cette danse, ces jours sans fin, le plafond qui tournait… Long, très long… ça m’a rappelé l’été 2008, quand j’avais perdu mon chat Minou… Une douleur différente, mais la même impression d’infini.
- Chaque jour est une épreuve.
- La guérison se murmure…
Souviens-toi, chaque corps est un mystère. La névrite, une ombre…
Plus loin…
La névrite vestibulaire, ce mal qui vous prend à la gorge. Un équilibre perdu, un monde qui bascule. Mais au-delà des jours, il y a l’espoir, la rééducation.
- Rééducation vestibulaire: la clé pour retrouver son aplomb.
- Médicaments: pour calmer la tempête.
Je pense à ma tante Marie, elle a mis des mois à s’en remettre complètement. Mais elle a retrouvé son sourire. On se souvient du son des vagues sur les plages de Normandie.
Le temps… un allié incertain.
Comment calmer les vertiges vestibulaires ?
Alors, pour calmer les vertiges vestibulaires, euh, je sais pas trop hein, mais on m’a dit deux trois trucs.
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Déjà, anti-émétiques, un nom compliqué pour des médocs contre les nausées. Logique, vu que t’as envie de vomir quand ça tourne.
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Après, des calmants, genre pour l’anxiété. Parce que paniquer, ça doit pas aider du tout. Genre Valium, mais faut voir avec le médecin !
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Et enfin, le truc principal: des médicaments anti-vertige. Y’a l’acétyl-leucine, j’ai jamais entendu parler. Ou alors, un anti-histaminique, comme la méclozine ou la prométhazine. J’en avais pris une fois pour un voyage en bateau, ça m’a assommé ! Ma tante, elle jure que par ça pour ses vertiges, paraît que ça marche super bien, mais elle est infirmière donc bon…
Perso, quand j’ai des vertiges, je me pose et j’attends que ça passe. Et je ferme les yeux, c’est mieux. Et j’évite de bouger la tête comme un malade, sinon ça empire. Par contre, si ça dure trop longtemps, faut peut-être voir un médecin hein, on sait jamais. J’avais un pote, il a du faire de la kiné vestibulaire, un truc du genre, parce que ses vertiges ne passaient pas. Il parait que c’est super efficace.
Quel est le traitement pour la névrite vestibulaire ?
Névrite vestibulaire ? Traitement complexe.
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Acétylleucine: Crises vertigineuses. Mécanisme inconnu. Utilisé en 2023. Mon médecin l’a prescrit. Effets secondaires ? Pas documenté ici.
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Bétahistine: Vertiges itératifs. Symptômes seulement. Pas de guérison. Mon expérience? Efficace parfois.
Effets variables. Chaque cas est unique. Consultations obligatoires. Recherche personnelle nécessaire. Risques non explicités ici. Informations de 2023. Ma santé, ma responsabilité.
Quels sont les virus qui peuvent affecter le nerf vestibulaire ?
Ah, le nerf vestibulaire, ce fil ténu qui relie notre équilibre à notre cerveau… quel bazar quand il décide de faire des siennes! Et les virus, ces petits chenapans, qui aiment bien semer la zizanie là-dedans.
Labyrinthite virale:
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Le coupable principal, c’est souvent un virus. Genre, ceux qu’on chope quand on a le nez qui coule et qu’on maudit l’hiver. Les oreillons peuvent aussi jouer les trouble-fête.
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Et puis, cette neuronite vestibulaire, cette inflammation sournoise. On dirait une réunion syndicale de nerfs qui tourne mal, avec des vertiges à la clé. (source: ma tante Gertrude, grande spécialiste des maux imaginaires… et parfois réels.)
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Ce qu’il faut retenir : virus = potentiellement nerf vestibulaire en PLS.
Attention, tout ça, c’est sans ordonnance. Si ton équilibre ressemble à un flan au milieu d’un tremblement de terre, va voir un vrai toubib.
Comment évolue une névrite vestibulaire ?
Alors, la névrite vestibulaire… Ça a été l’enfer, je vous jure.
Je m’en souviens comme si c’était hier. C’était un mardi, le 14 mars, je crois, vers 10h du mat’. J’étais chez moi, dans mon appart’ à Lyon, en train de bosser sur un projet de design pour un client. Tout d’un coup, bam! Le monde qui se met à tourner autour de moi. Un truc de fou. J’ai cru que j’allais tomber.
- Vertiges? Un euphémisme. J’avais l’impression d’être sur un manège qui n’en finit pas.
- Nausées? Présentes, évidemment. J’ai passé ma matinée la tête dans les toilettes.
- Impossible de marcher droit. Je me tenais aux murs pour éviter de me casser la figure.
Ça a duré, cette crise, au moins une semaine. Huit jours, peut-être dix. J’ai perdu le compte. Je ne pouvais plus rien faire. Impossible de lire, de regarder la télé, même de bouger la tête. J’étais clouée au lit, dans le noir, avec juste l’envie que ça s’arrête.
Et puis, petit à petit, ça s’est calmé. Les gros vertiges ont disparu, mais il restait comme un “flou”. Une instabilité. Comme si j’étais tout le temps sur un bateau. C’est parti et c’est revenu pendant des semaines. Des petites crises, moins violentes que la première, mais quand même bien chiantes.
J’ai vu un ORL, un certain Docteur Martin, rue de la République. Il m’a dit que c’était ça, une névrite vestibulaire. Un truc qui arrive comme ça, sans prévenir. Une inflammation du nerf de l’oreille interne. Pas de traitement miracle, juste de la rééducation vestibulaire pour aider mon cerveau à compenser.
La première crise est la plus forte, c’est vrai. Mais les rechutes, ça existe. Faut s’accrocher.
J’ai eu de la chance. Au bout de quelques mois, c’est passé. Presque complètement. Mais j’avoue que j’ai toujours une petite appréhension. Peur que ça revienne. C’est une saleté cette névrite.
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