Quand les palpitations sont-elles dangereuses ?

Oh, ces palpitations… On dirait que mon cœur s’enflamme, parfois, comme un petit oiseau fou qui bat des ailes à toute vitesse. Quand est-ce qu’on s’inquiète vraiment ? C’est ça la question, hein ? Parce que moi, j’ai eu ça, plusieurs fois. Surtout après mon marathon improvisé (bon, d’accord, c’était une course de 5km, mais pour moi, c’était un marathon!) où j’ai fini les poumons en feu et le cœur qui tambourinait dans ma poitrine comme un batteur de heavy metal. J’étais toute rouge, à bout de souffle… normal, me direz-vous. Mais ce n’était pas juste une petite accélération, non non, c’était… intense.

Rarement dangereuses, disent-ils… Ah oui ? Facile à dire, quand on ne sent pas son cœur cogner contre ses côtes comme un pivert acharné ! J’ai lu quelque part – je crois que c’était un article, ou peut-être un forum, je ne me souviens plus trop – que 90% des palpitations sont bénignes. Ouf. Mais les 10% restants… ça fait quand même flipper un peu, non ?

Alors quand faut-il foncer chez le médecin ? C’est clair qu’un simple coup de stress, comme avant un examen important (j’ai encore des sueurs froides quand j’y pense!), c’est différent d’une douleur thoracique aiguë qui vous laisse sans souffle. Ma grand-mère, elle, avait des palpitations avec des vertiges et des malaises… ça, c’était pas bon du tout. Elle a fini par faire un électrocardiogramme, et heureusement tout était rentré dans l’ordre. Mais l’angoisse, pendant ces quelques jours d’attente, ah ça… ça, on n’oublie pas !

Donc, pour résumer, si vos palpitations s’accompagnent d’essoufflement – genre vous pouvez à peine parler – de douleurs thoraciques, de vertiges, ou d’un malaise général… allez voir un médecin, point barre. Ne prenez pas de risques. La santé, c’est précieux, et mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit. Même si ça vous semble “juste” des palpitations, si ça vous inquiète… eh bien, allez voir un professionnel. C’est plus simple, et plus rassurant au final.