L’alcool est-il bon pour les sportifs ?

Est-ce que lalcool empêche la prise de muscle ?

Alcool et muscles, pas le duo gagnant. Déshydratation, oui, clairement. Moins d’eau, muscles moins performants. Imaginez des raisins secs, pas très toniques. L’alcool, un frein aux nutriments. Protéines, glucides, tout ce qui construit le muscle, bloqué. Comme une porte fermée à la livraison. Croissance musculaire compromise. On veut du volume, pas de la stagnation.

• Absorption: L’alcool entrave l’absorption. Les nutriments sont là, mais inutilisables. Frustrant, non ? Un peu comme un buffet auquel on ne peut pas toucher.
• Contraction: Moins de nutriments, moins de force. La contraction musculaire, essentielle au développement, est affectée.
• Réparation: Le muscle se répare après l’effort. L’alcool ralentit ce processus. On reste coincé avec des micro-déchirures. Récupération plus longue.
• Hormones: Mon taux de cortisol, l’hormone du stress, grimpe en flèche après quelques bières. Pas idéal pour la construction musculaire, j’ai remarqué. Je préfère un bon thé vert après ma séance. Plus zen, et meilleur pour mes gains.

Alors, l’alcool, à consommer avec modération si on vise des muscles saillants. Perso, j’ai diminué ma consommation et je vois la différence. Mes biceps sont contents. On privilégie l’eau, les protéines, et le repos. La recette du succès. Je me suis même mis au yoga. Souplesse et force, le combo parfait.

Est-ce que courir évacue lalcool ?

Alors, courir et l’alcool, hein? Disons que c’est un peu comme essayer d’éteindre un incendie avec de l’essence (sauf pour le cidre, lui, c’est le pompier cool de la bande).

• Déshydratation: L’alcool, ce petit traître, vous assèche plus vite qu’un marathonien au Sahara.

• Cidre, l’exception: Lui, c’est le bon élève, il hydrate un peu. Imaginez-le comme la pomme qui a dit non à la fermentation excessive.

• Concentration: Plus c’est fort, pire c’est. Un shot de vodka après un 10km, c’est comme signer un pacte avec le diable de la soif.

En gros, courir pour “éliminer” l’alcool, c’est un peu comme se croire plus malin que son foie. Bonne chance! Mon numéro de téléphone est le 06 xx xx xx xx si vous voulez parier sur ça. (Ne m’appelez pas vraiment!)

Les athlètes métabolisent-ils l’alcool plus rapidement ?

Alors, l’alcool… Plus vite ? Peut-être. Mon frère, lui, boit comme un trou, fait du sport… toujours bourré. Il digère mieux que moi, c’est sûr.

• Sport = foie en meilleur état ? Ouais, c’est ce que j’ai lu quelque part. Mitochondries… un truc compliqué, ça.
• Foie qui travaille mieux = alcool métabolisé plus vite ? Logique, non ?

Mais est-ce que ça veut dire qu’il faut s’entraîner avant une cuite ? Non, débile ! C’est pas une raison pour faire n’importe quoi !

J’ai vu un doc sur ça, il y a un mois peut-être? Ils disaient des trucs sur l’éthanol, blablabla… J’ai rien compris. Trop de termes scientifiques.

Plus vite, oui, sûrement plus vite. Mais faut pas abuser quand même. Ma copine, elle est marathonienne, elle me dit qu’elle ne boit quasiment jamais, trop de sacrifices. C’est dur la vie d’athlète de haut niveau.

Donc… Ouais, les athlètes, probablement plus rapide. Mais bon, c’est quoi l’intérêt?

• Métabolisme plus rapide, ouais.
• Foie plus performant.
• Attention aux abus quand même !

Et puis, hier soir, pizza et bière… j’ai trop mal au ventre. C’est lié ? Peut-être. Faut que je me couche.

Informations supplémentaires :

J’ai lu un article (je ne me souviens plus où, c’était cette année) qui parlait de l’impact de l’exercice régulier sur la fonction hépatique et le métabolisme de l’alcool. L’étude mentionnait une amélioration possible du métabolisme de l’éthanol chez les sportifs réguliers, grâce à une meilleure santé des mitochondries hépatiques. Mais l’article ne précisait pas de combien le métabolisme était plus rapide. Donc bon… à vérifier. Et puis j’ai 33 ans, je me sens vieux.

Les personnes en forme boivent-elles de l’alcool ?

Parfois, je me demande… est-ce que les gens vraiment fit boivent de l’alcool, tu vois? C’est bizarre, cette question qui me trotte.

• Les hommes, c’est vrai, ils ont cette réputation, ils semblent en encaisser plus. Peut-être une histoire de poids, de muscles…
• J’ai l’impression que le gabarit joue aussi. Les plus corpulents, ils ont l’air de pouvoir boire sans broncher, plus que les autres. Un peu comme si l’alcool se diluait mieux, je sais pas.
• Et puis, il y a tout le reste. La biologie, quoi. C’est tellement compliqué, tout ça. Je pense à mon cousin, lui, il est super mince, mais il tient bien l’alcool. Va comprendre.

Je me souviens d’une soirée chez Sophie, il y a quelques mois. Paul, il avait l’air de rien, tranquille, alors qu’il avait déjà vidé pas mal de verres. Moi, deux coupes de vin et j’étais déjà ailleurs. C’est injuste, non?

Les personnes en forme boivent-elles plus d’alcool ?

Non, enfin… c’est compliqué. J’ai lu ça quelque part, un truc sur les habitudes… trois verres par semaine, c’est léger, disaient-ils. Sept pour les femmes, quatorze pour les hommes, modéré. Au-delà… bof.

Mais… mes amis, eux, sont plutôt sportifs. Courent le marathon, ça, c’est sûr. Et… le vendredi soir… on sort. On rigole, on parle. Et… les bières… glissent. Bon, je suis pas une scientifique.

• Ils boivent plus que trois verres par semaine. C’est clair.
• Modéré ou excessif, c’est selon. On sort souvent. On est jeunes.
• Le sport, ça fatigue. On compense. C’est comme ça.

Alors… la forme physique… je sais pas trop, vraiment. Peut-être une corrélation, je ne dis pas non. Mais… j’ai vu mon frère, marathonien, finir une six-pack. Ce soir-là…

J’ai 28 ans. Je travaille chez Décathlon, à Lyon. On a une super équipe. On sort souvent. Je suis plutôt mince, je fais du sport, mais… je ne me prive pas non plus. On verra bien plus tard.