Est-il bon de prendre du BCAA tous les jours ?

Est-il bon de prendre des BCAA tous les jours ? Oh, cette question, elle me trotte dans la tête depuis des semaines, vous savez ? Je me suis mis au sport sérieusement, enfin, sérieusement pour moi, ça veut dire trois fois par semaine, et j’ai lu tellement d’articles sur les BCAA… On dirait qu’il y a autant d’avis que de grains de sable sur une plage !

BCAA quotidiens : oui, mais stratégiquement ! Voilà ce qu’ils disent, hein ? Facile à dire, mais comment fait-on concrètement ? Moi, au début, j’avalais ça comme des bonbons, matin, midi, soir… un peu comme si c’était une potion magique. Résultat ? Zéro effet notable, vraiment. J’avais même l’impression de gaspiller mon argent, une petite fortune pour rien, vous vous rendez compte ? On parle quand même de plusieurs dizaines d’euros par mois !

Alors j’ai repensé à ce que disait mon pote Marc, un vrai passionné de musculation, lui. Il m’avait expliqué que le truc, c’est de prendre les BCAA autour des séances d’entraînement. Autour, ça veut dire quoi, exactement ? Ben, pendant, ou juste avant, ou juste après… Lui, il privilégiait la prise juste avant et pendant son entraînement, histoire de booster sa récupération, paraît-il. Et il m’a montré ses photos, un vrai changement physique ! Je me suis dit : tiens, pourquoi pas moi ?

Du coup, j’ai testé. Et là, la différence est… enfin, elle est peut-être pas flagrante, mais je sens que je récupère mieux. Moins de courbatures, et j’attaque les séances suivantes avec plus d’énergie. On dirait que ma synthèse protéique est plus efficace aussi, même si c’est difficile à mesurer précisément. J’ai lu quelque part (je crois que c’était un article scientifique, mais j’ai oublié le nom du site, désolée!) que la consommation quotidienne de BCAA était possible, mais il faut adapter le moment de la prise, c’est la clé. C’est pas juste avaler des comprimés comme des vitamines, faut vraiment le faire intelligemment. Donc, oui, tous les jours, mais uniquement quand ça a du sens, en fonction de mes entraînements. Pas comme un automatisme, sinon c’est de l’argent jeté par les fenêtres, comme mon premier mois d’essai… Je sais qu’il faut encore que je m’améliore, je continue de faire des erreurs. Mais au moins, je me pose les bonnes questions maintenant.