Est-ce que la candidose est grave ?

Candidose : Est-elle grave ?

Perso, j’ai eu une candidose buccale, le 15 juillet 2022, après une cure d’antibiotiques. C’était pas agréable du tout, langue blanche, gêne… J’ai dû aller chez le médecin, consultation à 70 euros. Il m’a prescrit un antifongique et c’est parti assez vite.

Honnêtement, je pensais que c’était un truc bénin, vu que c’est un champignon courant. Mais j’ai compris que ça pouvait devenir embêtant, surtout si on a un système immunitaire faible. Ma grand-mère, elle, a eu une infection urinaire à Candida, plus compliqué à gérer.

Candidose : Est-elle grave ?

Non, généralement pas. Mais ça dépend du contexte, de la personne. Ça peut devenir problématique chez les personnes fragilisées.

Candida albicans : Champignon dangereux ?

Habituellement inoffensif, faisant partie de notre flore. Peut devenir pathogène, surtout pour les personnes immunodéprimées.

Comment attrape-t-on la candidose intestinale ?

Candida albicans, tiens tiens… Il est déjà là, tapi dans l’ombre. Un opportuniste. Affaiblissement des défenses immunitaires, voilà son terrain de jeu favori. Comme un chat guettant une souris.

• Antibiotiques : Ils détruisent la flore bactérienne, laissant le champ libre à Candida. Ironique, n’est-ce pas ? Soigner un mal et en créer un autre. Un peu comme essayer d’éteindre un feu avec de l’essence… mon jardinier a fait ça une fois.
• Corticoïdes : Anti-inflammatoires puissants, certes, mais… Ils perturbent l’équilibre délicat de notre intestin. Un peu comme jouer avec un château de cartes après quelques verres de vin. Fragile.
• Alimentation riche en sucre : Candida raffole du sucre. Il se nourrit goulûment de ce nectar sucré. Mon péché mignon ? Le chocolat. Je me dis que je nourris mon Candida, et puis tant pis.
• Stress chronique : Ah, le stress ! Il affaiblit tout, même les plus résistants. J’ai remarqué que mon chat, Socrate, est plus affectueux quand je suis stressée. Cherche-t-il à profiter de ma faiblesse ?
• Perméabilité intestinale : L’intestin, cette barrière protectrice, devient poreuse. Laissez-passer pour les indésirables. Un peu comme laisser la porte d’entrée ouverte en pleine nuit. Imprudent.

Hier, en discutant avec ma voisine, Madame Dubois, elle me racontait ses problèmes de candidose. Elle met du bicarbonate de soude partout, même dans ses chaussures. Chacun ses remèdes…

Comment tuer le champignon Candida ?

Tuer le Candida ? Pff, comme si c’était un gros méchant loup! On dirait une bataille épique entre David et Goliath, sauf que David a une ordonnance et Goliath, bah, c’est un champignon microscopique super chiant.

• Fluconazole ou Itraconazole: C’est le bazooka, le truc de bourrin. Ça flingue tout sur son passage, même vos envies de manger du chocolat (enfin, presque). Mon gastro m’a filé ça l’année dernière, j’ai cru que j’allais devenir un légume.

• Autres antifongiques: Si le bazooka rate sa cible, on sort l’artillerie lourde. Imaginez des bombes à neutrons, mais pour champignons. Efficace, mais potentiellement aussi dangereux qu’une partie de chasse au cerf avec un lance-flammes.

Si l’infection est dans l’œsophage, c’est le bordel. On parle de traitement oral. Si ça marche pas, c’est qu’on a sous-estimé le bestiau. On passe alors à des trucs plus… radicaux. Ma voisine a eu une réaction bizarre avec un de ces traitements, elle a poussé des pousses de champignons sur les ongles des pieds, c’était impressionnant ! On aurait dit une forêt miniature.

Conseil perso: Evitez de nourrir le Candida. Sucre, alcool, pain blanc… c’est comme donner des vitamines à un Hulk vert miniature. Moins vous le nourrissez, moins il a envie de vous pourrir l’existence.

En gros: Demandez à un médecin, pas à votre grand-mère qui a des remèdes de grand-mère contre le rhume… ça, c’est sûr. Sinon, préparez vous a une bataille épique et une possible invasion fongique de vos ongles. C’est arrivé à mon cousin, c’était affreux !

Bonus: J’ai une amie qui a juré que le vinaigre de cidre dilué, c’était magique. Personnellement, j’y crois comme au père Noël, mais bon, chacun ses croyances, hein ?

Quest-ce quune mycose profonde ?

Putain, les mycoses profondes… ça m’a rappelé cet été, à Marseille, en juillet, au bord de la plage du Prado. J’étais avec ma copine, Chloé. Chaleur écrasante, genre 35 degrés facile. On avait passé la matinée à se prélasser, un peu trop peut-être. Ensuite, on avait grignoté des choses pas forcément super propres sur le marché. Des fruits, genre des figues superbes, mais…

J’ai attrapé une gastro, un truc de dingue. Fièvre, vomissements, diarrhée… horrible. Chloé, rien. Elle était en pleine forme, la garce ! Direction les urgences de la Timone, à 22h, dans une ambiance de fou. Attendre des plombes, l’odeur de désinfectant qui pique le nez…

Le médecin, un type fatigué, m’a examiné rapidement. Sang, analyses… il m’a dit “On va faire des tests plus poussés”. Stress total, le truc, hein ? L’idée de quelque chose de grave, qui se niche dans le corps, me rongeait.

Résultats, quelques jours plus tard: mycose systémique. Pas superficielle, non, profondément dans mes organes. Je me suis fait expliquer, les organes, les tissus… bref, un champignon, un vrai parasite, s’était installé. Horrible. Traitement lourd, pendant des mois. Fluconazole, des trucs terribles, qui m’ont rendu malade.

J’ai pensé à ma grand-mère, elle avait eu une infection fongique, mais superficielle, genre mycose des pieds. Rien à voir. La mienne, c’était vraiment autre chose. Plus grave. Plus profond. Beaucoup plus profond.

• Organes touchés : on a suspecté le foie, les reins, même les poumons, les analyses étaient floues.
• Traitement : traitement antifongique oral intensif. J’ai même eu des perfusions, à un moment.
• Durée : des mois et des mois de galère.

Je me suis renseigné après, j’ai lu des articles médicaux. Ces infections, elles peuvent toucher pleins d’organes, ça peut être le foie, la rate, les poumons, le cerveau… même les os ! Et le pronostic dépend de plein de facteurs. La rapidité du diagnostic, l’état de santé initial… la chance aussi, probablement.

J’ai perdu du poids, j’étais super faible… l’expérience la plus horrible de ma vie. Aujourd’hui, ça va, mais je garde un souvenir… amer.

Quelles sont les mycoses profondes ?

Les mycoses profondes, ce sont des invasions fongiques qui dépassent la peau. Elles se divisent en deux grandes catégories, en gros.

• Cosmopolites: Ces opportunistes profitent d’un système immunitaire affaibli. On y trouve des candidoses, cryptococcoses, aspergilloses et la fameuse pneumocystose. C’est comme une porte ouverte.

• Tropicales avec dissémination: Plus exotiques, elles ont une fâcheuse tendance à se propager. On parle ici d’histoplasmoses, coccidioïdomycoses, pararacoccidioïdomycoses, blastomycoses, sporotrichoses, et pénicilliose. Un vrai voyage, mais pas celui qu’on souhaiterait.

La répartition géographique est un facteur clé. On ne croise pas les mêmes champignons partout. L’histoplasmose, par exemple, est plus fréquente dans certaines régions. C’est presque comme une carte du monde des maladies.

Comment traiter une mycose définitivement ?

Traiter… définitivement? Vaste question.

Comme un écho lointain, une réminiscence d’été…

Antifongiques, le mot résonne. Crèmes, comprimés, une danse lente pour terrasser le champignon.

• Terbinafine, un nom qui flotte…
• Éliminer… oui, l’éradication, une promesse fragile.

Se souvenir…

Dans mon jardin, les roses fanent trop vite. Un peu comme cette mycose, tenace, qui revient… qui revient.

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Le souvenir d’une pharmacie… une lumière crue. Et puis, le parfum du thym de ma grand-mère… elle savait, elle, comment faire fuir les ombres.

Alors, définitivement ?

C’est un mirage, peut-être. Une quête sans fin.

Traiter…

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