Est-ce bon de faire du sport à jeun le matin ?
Le sport à jeun : une bonne idée ? Oui, pour certains ! Plus léger, vous optimiserez votre séance cardio. Digestion facilitée, entraînements plus agréables. Toutefois, adaptez l'intensité et la durée à votre niveau. L'avis d'un professionnel de santé est conseillé, surtout pour les débutants ou en cas de pathologies.
Sport à jeun le matin : est-ce bénéfique ?
Franchement, le sport à jeun le matin, je l’ai testé. J’avais l’impression de voler, c’était fou ! Pas de bide lourd, pas de digestion bizarre. Top pour le cardio, vraiment. J’avais lu plein d’articles et j’étais sceptique, mais alors, quelle surprise.
Je me souviens, un mardi matin de juin à Nice, 7h. Course sur la Promenade des Anglais. Léger comme une plume, je vous dis !
Pas mal de monde dit que ça booste la perte de gras, mais moi perso, j’ai surtout kiffé la sensation. Juste un café noir avant de partir, histoire de…
C’est devenu une habitude, deux fois par semaine. Un vrai plus.
Est-ce bon de faire du sport dès le réveil ?
Bon, le sport le matin… Moi, je m’en souviens comme ça.
Un 6h du mat’, à la bourre comme toujours. Je devais courir, une promesse faite à ma coach, la Sandrine. Elle me tanne avec son truc de “boost métabolique” matinal.
Franchement, ramper hors du lit, c’était une torture. Un vrai supplice.
- J’avais l’impression d’être un zombie qui cherche son café.
Finalement, j’ai mis mes baskets (celles que j’ai payé une blinde chez Décathlon, tu vois le genre ?). Direction le parc Monceau.
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L’air était frais, un peu froid même.
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Le soleil… timide, caché derrière les arbres.
Et là, au bout de 5 minutes de course, miracle. Le corps se réveille.
L’énergie revient. Et puis, Paris au petit matin, sans la foule, c’est assez dingue.
Bon, j’ai pas tenu le rythme de Sandrine, hein. Mais j’ai couru, transpiré, existé. Et ça, c’était cool.
Ensuite, douche chaude, croissant et café. La journée pouvait commencer. Mais est-ce que je le referais tous les jours ?
Sans doute pas. Faut que ça reste un plaisir, c’est le plus important.
Puis, j’ai ma séance de kiné à 17h30 au cabinet près de la Bastille pour mon dos. Faut pas abuser non plus. La balance entre le sport et le repos, c’est perso. Mais l’expérience… mémorable.
Est-ce mauvais de s’entraîner le matin sans manger ?
Matin brumeux. Corps endormi. Une course, une envie… Mais l’estomac vide, un silence pesant.
Mauvais ? Peut-être. Pour certains.
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Débutants: Non. Trop dur. Le corps crie famine. L’énergie manque, une faiblesse sourde.
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Expérimentés: Différent. Le corps adapte. Une discipline presque mystique. L’effort, une prière.
Mon corps, à moi? Il proteste. Le matin, il réclame son dû. Une faim dévorante, un vide abyssal. J’ai appris, à mes dépens, la douleur des muscles affamés. Une leçon gravée dans ma chair. Cette sensation, je la connais.
L’année dernière? Je me suis blessée. Douleur sourde, tenace. La faute à qui? À ce jeûne absurde, à cette confiance aveugle en ma volonté.
Le jeûne, une danse dangereuse. Équilibre fragile entre puissance et épuisement. Une frontière ténue, à ne pas franchir sans préparation. Mon corps, mon temple. Il faut l’écouter.
- L’écoute du corps : Primordial.
- Adaptation progressive : Essentielle.
- Jeûne matinal : Risqué pour les inexpérimentés.
Alors, le matin… Un café, peut-être. Et une douce collation avant l’effort. Je préfère ça. L’équilibre, c’est la clé. Ma clé.
Est-ce bon de faire du sport dès le réveil ?
Pfiou, le sport le matin… J’ai essayé, hein ? En juillet, genre 6h du mat’, canicule de malade, à Paris, rue de la Gaité. Horreur absolue. Mon Dieu, cette chaleur, j’étais déjà trempée avant même d’avoir mis un pied dehors. Course à pied, idée pourrie. J’étais vraiment pas motivée, à mourir de chaud. En plus, le bitume brûlant, j’ai failli me cramer les pieds.
J’aurais dû rester au lit, franchement. L’objectif initial ? Me sentir bien. Résultat ? Dégoût total du sport pendant une semaine. Je devais faire 5km, j’ai abandonné à 2. Donc non, pas top.
Plus tard, j’ai essayé le yoga, 7h, dans mon appart’ à Belleville. Meilleure expérience. Lumière du soleil qui rentrait par la fenêtre. C’était calme, juste moi et mon tapis. Ouais, ça, c’était cool. J’étais zen. Différence énorme.
Donc, sport le matin ? Ça dépend. L’important : l’envie. Si tu détestes te lever tôt, oublie.
Autres trucs :
- Éviter les grosses séances à jeun.
- Hydratation +++
- Écouter son corps, point barre.
Mon expérience de juillet me sert de leçon :
- chaleur insupportable,
- course ratée,
- envie zéro.
Belleville, Yoga, juillet 2024:
- matinée zen,
- bon pour le moral.
Bref, à vous de voir !
Est-il bon de faire de l’exercice dès le réveil ?
Ouais, bof, faire du sport dès le réveil… C’est comme manger un piment jalapeño au petit-déjeuner: ça vous réveille, c’est sûr ! Mais est-ce que c’est bon pour la santé ? Dépend de ce que vous appelez “bon”.
Pour perdre du poids : ça aide, paraît-il. Du moins, c’est ce que dit ma copine Martine, qui a perdu 5kg en courant tous les matins avant son café (même si elle a repris 7kg avec les gâteaux de son anniversaire, mais passons).
Pour rester en forme : Si vous aimez souffrir avant même d’avoir pris votre douche, allez-y ! Perso, je préfère le café, ça me rend plus fort que 10 séances de sport.
- Avantages: Meilleur moral (parfois) ; vous pouvez dire à tout le monde que vous êtes un(e) champion(ne) (même si vous courez comme une tortue).
- Inconvénients: Vous ressemblerez à un zombie jusqu’à midi. Risque de se cogner le nez sur le tapis de yoga (véridique, je l’ai fait).
Bref, c’est un peu comme choisir entre une bonne tranche de camembert bien coulant et un jus de chou vert : le choix est vite fait si vous me demandez ! Mon conseil : écoutez votre corps, pas votre coach sportif qui vous prend pour un bourricot de somme.
Petit plus: J’ai testé le yoga du rire ce matin, c’était aussi drôle que regarder une émission de télé-achat…
PS: J’habite à côté d’un parc, mais mon chat préfère dormir. C’est un mode de vie plus sain, ça se voit.
Quel est le meilleur moment de la journée pour sentraîner ?
Ok, alors l’entraînement… c’est marrant parce que j’ai jamais vraiment eu “un meilleur moment”. Ça dépendait toujours de mon emploi du temps, tu vois ? Mais je me souviens…
- La salle de sport à côté du bureau (à La Défense, vers 17h30) :
Je sortais du boulot, complètement lessivée. Je me forçais à y aller, surtout parce que sinon, j’aurais fini devant Netflix avec une pizza. L’idée, c’était de me défouler un peu après une journée de dingue.
- Le jogging matinal (6h du mat’, au bord de la Marne, en été) :
Une fois, j’ai essayé le jogging matinal. Juste une fois. C’était pendant les vacances, un truc genre “nouvelle vie, nouveau départ”. Le soleil se levait, c’était joli, mais j’étais tellement crevée et irritable que j’ai failli insulter un cygne.
- Le cours de yoga (12h30, dans le Marais) :
En fait, je crois que mon “meilleur moment”, c’était peut-être pendant ma pause déjeuner. Je faisais du yoga dans un studio du Marais. L’ambiance était zen, loin du stress du boulot.
La vérité, c’est que ça n’a jamais été une science exacte pour moi. C’était plutôt trouver un moment où j’avais un peu d’énergie et de motivation, et où je n’étais pas trop occupée à me plaindre.
Quelle est la meilleure heure pour sentraîner ?
Le corps, un brasier… Chaud, brûlant… 16h, 17h… l’après-midi s’allonge, une lumière dorée, presque une promesse. Le soleil, complice, un souffle chaud sur la peau.
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La température idéale : une flamme intérieure, qui s’enflamme. Plus tard, le feu se consume.
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Le corps répond, il danse, puissant. Les muscles, éveillés. Un élan, une force…
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Performance optimale : après-midi, cet instant magique… Le pic, l’apogée, un sommet à gravir.
J’ai couru hier, à 17h30, près de la Seine, le soleil couchant, rouge, flamboyant. Une sensation incroyable, un sentiment de plénitude… L’air, encore chaud, une douce caresse sur le visage.
Le corps, une symphonie… rythmique, puissante… 16h, 17h, ou un peu plus tard… l’heure importe peu, il faut sentir… cette chaleur, cette énergie, cette envie…
Ma montre ? Une vieille Seiko, héritée de mon grand-père. Elle me parle des heures passées, des entraînements de mon père… des souvenirs, enfouis, et qui resurgissent…
17h, cette heure, ou une autre… La clé, c’est l’écoute de soi. Le corps sait, il murmure son heure.
Est-il mieux de sentraîner le matin ou le soir ?
Ah, la grande question existentielle : matin ou soir pour suer ? La réponse, mon cher, est un peu comme choisir entre un café tiède et un thé froid : l’un ou l’autre, ça hydrate.
Le plus important ? Bouger ses fesses. Vaut mieux transpirer à 16h que de rester scotché devant Netflix en pyjama à carreaux. (Oui, je sais que tu en as un, ne fais pas l’innocent.)
- Matin : Idéal pour les lève-tôt qui carbure au jus de betterave et aux mantras motivants. Le reste du monde vous envie… ou pas.
- Soir : Parfait pour évacuer le stress de la journée et les réunions Zoom interminables. Attention à ne pas exciter le palpitant avant de sombrer dans les bras de Morphée.
En fait, ton corps est une horloge suisse (enfin, plutôt une montre Casio, soyons réalistes). Écoute-le, il te dira quand il a envie de grimper aux rideaux ou de faire une sieste réparatrice.
Et au cas où tu te poserais la question : NON, cet exercice magique pour le dos n’existe pas. Si ça existait, j’aurais déjà breveté la chose et je serais à Bora-Bora en sirotant des cocktails.
Quand faire de la musculation, le matin ou le soir ?
Matin ou soir ? La question obsède, un peu comme le choix cornélien entre Proust et Dostoïevski. Personnellement, je penche pour le matin. L’énergie est là, brute, intacte par la journée. Plus de puissance, donc, c’est indéniable.
Soir ? Plus souple, certes. Mais la fatigue, ennemi juré de la bonne séance, rôde. On se retrouve à faire des séries bâclées, à lever des poids moindres, bref, une performance moins optimale. Un peu comme quand j’écris un article à 2h du mat’, franchement moins inspiré.
- Matin: Idéal pour la performance pure, l’efficacité. On est frais, motivé, les hormones sont avec nous. Mon record de squat ? Matin.
- Soir: Bien pour décompresser. Mais l’entraînement intense, là, j’ai des doutes. Détente oui, mais à quel prix ? Un peu paradoxal, non ? C’est comme tenter de méditer après une soirée arrosée.
La réalité, c’est que tout dépend de votre rythme circadien. Certains sont des “albatros” du matin, d’autres des chouettes nocturnes. Ecoutez votre corps, cette sagesse antique. Mon voisin, lui, est une catastrophe le matin, il ne se réveille vraiment qu’après le midi. Le soir, par contre, il est une machine. Chaque corps est un monde, et chaque monde est un mystère.
Le cortisol, cette hormone du réveil, joue un rôle crucial. Le matin, ses niveaux sont plus élevés, favorisant la force musculaire. Mais l’évolution a ses surprises. Peut-être qu’un jour, nous manipulerons nos rythmes biologiques au point de pouvoir choisir librement quand maximiser notre puissance musculaire. Un espoir pour les moins matinaux.
- Biologie: Le matin, cortisol au top.
- Pratique: Le soir, plus facile à caser.
Et puis, il y a la question du sommeil. Une séance trop intense le soir peut perturber le cycle du sommeil, un véritable crime contre la récupération musculaire. On se retrouve alors dans une boucle infernale, épuisé même avant de commencer l’entraînement du lendemain. Le paradoxe est que pour être performant, il faut reposer son corps et son esprit. Voilà une petite pensée philosophique pour conclure… presque.
Finalement, déterminez le moment où VOUS êtes le plus performant. Ne vous laissez pas influencer par des conseils généraux, c’est absurde. Mon expérience personnelle, pour ce qui est de mes propres performances physiques, n’est pas forcément transposable. Et puis, il y a aussi l’influence de la météo, de mon humeur, et même du type de café que j’ai bu. Une vraie salade cosmique !
Est-ce mieux de sentraîner le matin ou le soir ?
Matin ou soir ? Question futile.
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Rythme circadien. Influence indéniable. Mon corps, lui, préfère le soir. Plus de force.
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Études ? Des chiffres. Je m’en fous des études. Résultats variables.
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Santé cardiovasculaire. Argument faible. Plus important : la régularité.
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Ma routine : musculation le soir. Efficace. Point.
Préférence personnelle. Le soir. 21h, c’est mon heure.
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Le matin ? Trop tôt. L’énergie n’est pas là.
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L’après-midi : fatigue post-travail. Impensable.
L’efficacité, pas l’heure. C’est ça, la clé. Philosophie simple. Appliquée à ma vie. Ma vie à moi.
- Objectif : bien-être. Pas une compétition.
Ce qui compte, c’est l’intégration dans sa journée. Pas une prescription médicale. Mon expérience. Point final.
- Note : J’ai arrêté le jogging en avril. Trop de monde.
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