Comment savoir si on a une artère de bouchée ?

Quels sont les signes des artères qui se bouchent ?

Douleur thoracique, genre, une pression, une brûlure… ça me rappelle cet été, juin 2024, à Lyon, près de la place Bellecour. J’étais avec Antoine, on mangeait une glace, une bonne glace italienne, pistache pour moi. Soudain, paf ! Une douleur intense dans la poitrine. J’ai cru que j’allais mourir. Surtout pas devant une glace pistache.

• Douleur intense, genre une vice au niveau du sternum.
• Difficulté à respirer. Je suffoquais.
• Sueurs froides. J’étais trempé. Antoine a paniqué.

Plus tard, à l’hôpital, le médecin m’a expliqué, artéres, choses comme ça.

• Tests. Échographie, prise de sang, tout le tralala.
• Diagnostic. Rien de grave, a-t-il dit. Heureusement.
• Traitement. Changement de régime alimentaire, sport, et un tas de pilules.

La jambe, le bras… ça, je connais pas. Mais la fatigue… ouaip, ça, je comprends. J’étais épuisé après ça, même la glace pistache me donnait envie de dormir. La confusion? Non, ça pas.

Autre chose importante: mon père, il a eu des crampes aux jambes en faisant du vélo l’année dernière. Octobre, dans les Vosges. Il s’est arrêté net, une douleur atroce. On est allés aux urgences. Même topo: artères.

• Crampes. Violentes, à l’effort.
• Diagnostic. Problèmes d’artères.

Donc voilà. Ça reste vague, je suis pas médecin. Mais j’ai appris à faire plus attention. Plus de sport, régime, moins de glaces, même si c’est dur. Lyon, juin 2024, j’oublierai jamais.

Comment soigner des artères qui se bouchent ?

Artères bouchées ? On dirait un embouteillage aux heures de pointe ! Solution : l’angioplastie, le déboucheur d’artères. Imaginez un petit ballonnet qui joue les gros bras, repoussant la plaque comme un videur de boîte de nuit.

• Angioplastie : On gonfle un ballonnet dans l’artère. Pouf ! Ça libère le passage. Comme un magicien, mais avec plus de cathéters.
• Stent : On ajoute un petit treillis métallique. Un genre de tuteur pour l’artère, histoire qu’elle ne se rebouche pas. Pensez armature de crinoline, mais en version miniature et nettement moins glamour.

Ma grand-mère disait toujours : « Mieux vaut prévenir que guérir ». Elle avait raison, la vieille. Donc : mangez vos légumes (même si c’est la dernière chose que vous voulez faire). Bougez-vous (même si le canapé vous appelle comme une sirène). Et riez ! C’est bon pour les artères (et pour le moral… enfin, je crois). Hier, j’ai vu un pigeon faire du skateboard. Voilà, c’est le genre de chose qui peut vous sauver la vie. Bon, peut-être pas, mais ça vous aura fait sourire.

Et n’oubliez pas : l’angioplastie, c’est pour quand ça coince vraiment. On ne parle pas d’une petite cure de jouvence. Consultez un cardiologue. Lui, il saura. Moi, je ne suis qu’un humble rédacteur avec une passion pour les métaphores improbables et un faible pour les pigeons skateurs. Alors, prenez soin de vous. Et de vos artères. Elles vous le rendront.

Quelle prise de sang pour savoir pour une artère bouchée ?

Bilan lipidique. Cholestérol, triglycérides, le tiercé gagnant de l’artère encrassée. Comme un bouchon de liège dans une bonne bouteille, sauf que là, c’est votre cœur, pas du Châteauneuf-du-Pape. On peut aussi doser la CRP, protéine C-réactive, signe d’inflammation, un peu comme quand vous vous cognez le petit orteil. Sauf que là, c’est vos artères, pas votre meuble préféré.

• Troponine: Oui, utile en cas de suspicion d’infarctus, comme un détecteur de fumée un peu tardif. Elle crie au feu quand il y a déjà des dégâts.
• Bilan lipidique: Plus préventif, ça permet de voir venir le cholestérol, sournois comme un chat qui rôde autour d’un aquarium.
• CRP (Protéine C-réactive): Indice d’inflammation, comme un drapeau rouge agité par vos artères.

Ma grand-mère disait toujours : mieux vaut prévenir que guérir. Elle ajoutait aussi que le gras, c’est la vie. Mais bon, elle mettait du beurre dans son café, alors… J’ai un faible pour le chocolat noir, moi. 70% minimum. Ça compte comme un légume, non? Pour le reste, je me fie à mon médecin. Et à mon coach sportif, qui me fait courir comme un hamster dans sa roue. C’est bon pour le cœur, paraît-il. Entre deux tablettes de chocolat, évidemment.