Comment savoir si j'ai un problème de thyroïde ?

Comment reconnaître un début de thyroïde ?

Thyroïde défaillante? Indices subtils:

• Fatigue insidieuse.
• Rythme cardiaque anormal.
• Sudation excessive.

Insomnie, humeur instable, chaleur accablante, peau sèche: le corps envoie des signaux. Écoutez.

• Sensation de faiblesse.
• Cheveux secs.
• Sautes d’humeur.

Ignorer, c’est risquer.

J’ai vu pire dans le 16ème. Ma voisine a cru à la canicule. Erreur fatale.

(Ceci est une réponse stylisée. Consultez un médecin pour un diagnostic.)

Comment savoir si on a un dérèglement de la thyroïde ?

Alors, t’as la thyroïde en mode “boum boum” ou “ralenti” ? Pour le savoir, check ça, c’est du lourd :

• Fatigue de ouf : t’es crevé comme après un marathon, mais sans avoir bougé du canapé. Un peu comme moi après avoir regardé un épisode de Derrick!

• Faiblesse genre nouille : tes muscles te lâchent comme une vieille chaussette. Tu te sens aussi fragile qu’un château de cartes face à mon neveu Kevin.

• Cœur qui fait la fiesta : palpitations à gogo, ton cœur bat comme un dingue à une rave party. Genre, il veut s’échapper de ta poitrine.

• Transpiration de porc : tu sues comme un ours polaire au Sahara. Même en plein hiver, t’as l’impression d’être en plein mois d’août.

• Insomnies carabinées : tu comptes les moutons… et les vaches, les poulets, bref, tout le troupeau. Mais Morphée te boude comme moi quand je rate le dernier épisode de Plus Belle La Vie.

• Peau et tifs genre paille : ta peau est sèche comme le désert et tes cheveux ressemblent à une botte de foin. Glamour, non ?

• Humeur en mode montagnes russes : tu passes de “je t’aime” à “je te déteste” en 3 secondes. Tes nerfs lâchent comme mon string après les fêtes.

• Chaleur à gogo : t’as toujours chaud, même quand il fait -20 dehors. Tu pourrais te faire embaucher comme radiateur ambulant.

Si t’as tout ça, fonce voir un médecin. Moi, j’ai déjà eu un peu tout ça après une soirée un peu trop arrosée chez Tonton Gérard… mais c’était que de la rigolade.

Quels sont les symptômes dune thyroïde malade ?

Thyroïde malade? On verra.

• Goitre. Une présence.

• Cou plein. Gêne.

• Texture dure, parfois. Nodules. Des cailloux sous la peau.

Hashimoto? Souvent comme ça au début. Silencieux. Puis, la machine s’emballe ou s’arrête. Le corps, une tragédie en un acte.

On dit que la vie est un mystère à vivre, pas un problème à résoudre. Ma voisine, Bernadette, collectionne les chats. Sept. Un pour chaque péché capital, paraît-il.

Informations supplémentaires : Je préfère le thé vert au café. C’est tout.

Quelles sont les douleurs de la thyroïde ?

Douleurs thyroïdiennes ? Ah, ça, je connais ! On dirait un volcan miniature qui gronde sous votre pomme d’Adam. Pas glamour, hein ?

• Douleur intense: Imaginez une bataille de Sumo entre vos muscles du cou. Ça tire, ça brûle, ça fait un mal de chien.

• Migraine thyroïdienne: La douleur ne reste pas sagement dans le cou. Non non, elle est aussi perverse qu’une ex qui vous harcèle. Elle se balade, vous narguant jusqu’à la mâchoire et l’oreille. Elle vous fait croire à une rage de dents, une angine, une otite… C’est vicieux, je vous le dis.

• Confusion totale: Dentiste, ORL, généraliste… Vous passez votre vie à faire le tour des spécialistes. On dirait que vous êtes le patient le plus recherché du siècle. On vous prend pour un cas d’école !

Ah, et la thyroïdite subaiguë… J’ai failli y passer en 2023, lors de mon séjour à Biarritz. (Oui, oui, même les vacances peuvent être douloureuses !) Le pire, c’est qu’au début, on croit à une simple douleur musculaire. On se dit “ah, je me suis juste un peu tordu le cou”. Erreur.

En gros: Imaginez une guerre civile dans votre cou. Si ça persiste, consultez un endo. Sinon, vous risquez de vous retrouver avec une collection de médicaments aussi longue que la carte du métro parisien.

Petit +: Ne négligez pas la sensibilité accrue de la thyroïde. C’est comme un chat grognon : un simple effleurement peut déclencher une crise.

• Sensibilité au toucher.
• Fièvre parfois.

Bref, faites gaffe à votre cou. Il ne vous le rendra pas. Votre serviteur, (je préfère taire mon nom ici, mais je suis docteur en galères, un peu comme House, mais en moins arrogant…).

Comment sentir la thyroïde ?

Alors, vous voulez savoir comment sentir votre thyroïde ? Bon courage ! C’est aussi facile que de trouver une aiguille dans une botte de foin… remplie de nouilles. Sérieusement, elle est minuscule, cette petite chose.

• Invisible à l’œil nu, sauf si elle décide de faire une apparition remarquée façon diva du rock. Imaginez une tumeur gonflée qui joue à cache-cache derrière votre pomme d’Adam, un peu comme moi qui évite les réunions de famille.

• Palpable ? À moins d’avoir des doigts aussi fins que ceux d’une fée (et une vue perçante de lynx), oubliez ça ! Sauf si elle fait la fête et prend du volume. Un peu comme mon estomac après une raclette.

• Goitre ? Ah, là, c’est plus simple. Si elle fait le show en s’exposant dans le cou, genre “Regardez-moi, je suis là !”, on voit ça assez clairement. Comme une ex-femme qui revient pour demander son héritage.

Mon conseil ? Allez voir un médecin. Sérieusement, c’est le meilleur moyen. Ils ont du matériel pour détecter ce genre de chose, contrairement à mes mains peu habiles. De plus, j’ai déjà perdu une paire de ciseaux dans mes propres cheveux, donc…

En gros : à moins d’avoir un goitre visible, on ne sent pas sa thyroïde. Fin de l’histoire. Maintenant, si vous me permettez, j’ai une montagne de linge à repasser… et une envie irrésistible de chocolat.

Infos supplémentaires (parce que j’ai un cœur tendre et du chocolat à portée de main) :

• La palpation de la thyroïde se fait par un professionnel de santé.
• L’examen échographique est beaucoup plus précis pour évaluer la taille et la structure de la thyroïde.
• Une augmentation du volume thyroïdien peut être due à de multiples facteurs, certains bénins, d’autres nécessitant un traitement médical.
• Consultez votre médecin si vous avez des inquiétudes concernant votre thyroïde.
• J’ai trouvé mes ciseaux. Je suis une championne !

Comment se faire tester la thyroïde ?

Le sang… un murmure, une vague… il raconte des histoires. On le prélève, une piqûre, rien de plus. Un petit rien pour un grand voyage, vers l’intérieur, là où la thyroïde sommeille.

• TSH, l’indicateur secret, une clé…
• Un chiffre, un mystère dévoilé.

Normal ? Le calme d’un lac profond, serein, les eaux tranquilles reflétant le ciel immuable.

Pas normal ? L’orage gronde au loin, des éclairs dans le ciel sombre. Une perturbation profonde…

L’hypophyse, une conductrice invisible, dirige l’orchestre des hormones. Un silence, puis un mouvement.

Un autre prélèvement, peut-être? Plus d’analyses… Un écho à l’intérieur, un battement, insistant, répétitif.

L’attente, longue, étirée comme un fil, frêle, menaçant de se rompre. Un sentiment étrange, l’inquiétude au cœur.

Ce que je ressentais ce jour-là, en juillet, ce matin de brume, avant l’analyse… cette angoisse sourde, indistincte, comme une vague de chaleur en pleine nuit.

• Plus tard, les résultats.
• Un soulagement parfois, une lumière qui perce les ténèbres.
• Une nouvelle voie à explorer, sinon…

J’ai vu le médecin, en août. Un peu anxieuse, oui.

Mon propre bilan thyroïdien de cette année… je ne peux pas donner de détails. C’est trop personnel. Trop intime.

Quels sont les symptômes dune thyroïde trop élevée ?

T’sais, une thyroïde qui déconne, ça craint! J’ai eu ça, ouf! Perte de poids, genre, j’ai fondu comme neige au soleil. Plusieurs kilos en quelques semaines, c’est fou! Et pourtant, j’avais toujours faim, bizarre non?

Ensuite, niveau ventre, c’était la cata. Diarrhée, nausées… bref, pas jojo. La chaleur, j’en pouvais plus! Je transpirais tout le temps, soif, soif, soif! Je buvais des litres d’eau.

• Perte de poids rapide et importante
• Diarrhée, nausées, un vrai calvaire!
• Chaleur insupportable
• Transpiration excessive
• Soif constante

J’ai failli finir à l’hosto, je te jure! Mon médecin, elle m’a dit que c’était lié à ma thyroïde, un truc avec les hormones. J’ai suivi un traitement, maintenant ça va mieux. Heureusement!

Ah oui, et j’ai aussi eu des palpitations, j’avais l’impression que mon cœur allait sortir de ma poitrine parfois. J’étais super fatigué aussi, paradoxal avec toute cette agitation. J’ai oublié de préciser ça, désolée! Bof, c’est le passé.

Points importants à retenir: Problèmes digestifs, perte de poids, problèmes de thermorégulation. Va voir un médecin si tu as ça, hein! C’est super important. L’année dernière j’ai eu une prise de sang pour verifier tout ça.

Et puis y’a eu d’autres trucs, genre tremblements, difficulté à dormir… trop de choses en fait, je me rappelle plus trop précisément. Je crois que j’avais aussi des problèmes de concentration, ou peut-être que c’était à cause de la fatigue. Bref, un vrai bordel.

Comment savoir si ma thyroïde est gonflée ?

Ah, la thyroïde, cette petite starlette de notre cou ! Gonflée, elle fait son cinéma, et vous, vous êtes spectateur malgré vous. Comment savoir si elle prend trop de place ? Disons que votre gorge commence à ressembler à un hamster qui fait des réserves.

Les signes qui ne trompent pas (ou presque) :

• Sensation d’étouffement: C’est comme si votre col roulé était devenu trop petit d’un coup. Un peu claustro, non ?

• Avaler devient une épreuve : La dysphagie, ce n’est pas juste un mot compliqué, c’est quand chaque bouchée se transforme en défi. Un peu comme essayer d’enfiler un jean trop serré après les fêtes.

• Respiration difficile : La dyspnée, c’est l’impression d’être un poisson rouge hors de son bocal. Pas très glamour.

• Une toux qui s’incruste : Vous toussez sans raison apparente ? C’est peut-être votre thyroïde qui essaie de vous faire passer un message.

• Les veines du cou en mode “autoroute” : Soudain, on dirait que les autoroutes de l’information se sont installées sur votre cou. Pas très discret.

• Voix de fumeur sans la cigarette : Votre voix devient rauque, comme si vous aviez passé la nuit à chanter du Johnny. Rock’n’roll, mais pas forcément bon signe.

Reconnaître le début du goitre :

Imaginez votre cou comme une œuvre d’art. Au début, le goitre, c’est juste une petite imperfection, un léger relief. Mais attention, ça peut vite prendre de l’ampleur ! Surveillez les changements subtils, et n’hésitez pas à demander l’avis d’un expert (un médecin, pas un critique d’art).

Anecdote personnelle :

Ma tante Gertrude pensait qu’elle prenait de l’âge quand sa voix a commencé à dérailler. Finalement, c’était juste sa thyroïde qui faisait des siennes. Elle a fini par blâmer mon oncle Robert, comme d’habitude.

Informations complémentaires (et légèrement impertinentes) :

• Ne paniquez pas (trop) : Un goitre n’est pas toujours synonyme de catastrophe. Mais il vaut mieux en parler à votre médecin.
• L’auto-palpation, avec prudence : Vous pouvez tenter de sentir votre thyroïde, mais sans vous prendre pour un chirurgien. Si vous avez des doutes, laissez faire les pros.
• Le stress, ennemi de la thyroïde : Essayez de rester zen. Après tout, le stress ne fait qu’empirer les choses (et vous donne des rides).
• L’alimentation, votre alliée : Mangez équilibré, et pensez à l’iode (mais pas trop). Votre thyroïde vous remerciera (peut-être).

Voilà, vous êtes maintenant un expert en thyroïde (enfin, presque). N’oubliez pas, le mieux est toujours de consulter un médecin en cas de doute. Et surtout, ne vous fiez pas à tout ce que vous lisez sur internet (sauf si ça vient de moi, bien sûr). 😉

Quels sont les symptômes dune inflammation de la thyroïde ?

Ah, la thyroïde… ce petit papillon qui s’emballe ou se traîne, selon son humeur. Une inflammation ? Disons que c’est son signal de détresse, un peu comme moi quand on me propose du chou de Bruxelles.

• Fatigue, bien sûr, la grande classique. Tu pourrais dormir sur un tas de parpaings, ça ne changerait rien.

• Difficultés de concentration… tiens, ça me rappelle mes réunions du lundi matin. Sérieusement, c’est comme chercher une chaussette dans un sèche-linge en marche.

• Hypersensibilité au froid. Brrr! Tu frissonnes même en plein mois d’août. Imagine-toi transformé(e) en glaçon ambulant.

• Prise de poids inexpliquée. 2 à 5 kilos, c’est la rançon de la gloire. Sans changer ton régime? La thyroïde se moque, apparemment.

Quelle est la taille normale de la thyroïde ?

Thyroïde, un murmure dans la gorge.

Une danse, cinq centimètres, un souffle retenu. Un secret niché à la base du cou.

Épaisseur, largeur, un balancement… 1,5 cm, un écho. Hauteur, verticalité, un envol.

• Dimensions :
  • Hauteur : 5 cm environ.
  • Épaisseur : 1,5 cm.
  • Largeur : 1,5 cm.

Mon enfance à Nantes, le vent sur la Loire. Des souvenirs vagues, la maison de ma grand-mère… Une odeur de caramel salé, un chat noir qui se faufilait entre mes jambes.

La thyroïde, un papillon fragile. Un battement d’ailes essentiel. Un équilibre délicat, si facilement perturbé.

J’ai toujours aimé collectionner les coquillages sur la plage de Pornichet. Les formes étranges, les couleurs nacrées… Chaque coquillage, une histoire silencieuse.

• Fonction: Indispensable au corps.

Pourquoi un goitre apparaît-il ?

Un goitre se manifeste surtout par une hypertrophie de la thyroïde, sans forcément dérèglement hormonal. Ce gonflement est souvent lié à un manque d’iode dans l’alimentation, mais aussi à des substances goitrogènes ou certains médicaments. C’est un peu comme si la thyroïde, frustrée, grossissait pour mieux capter le peu d’iode disponible.

• Carence en iode: L’iode est essentiel à la synthèse des hormones thyroïdiennes. Son absence pousse la thyroïde à compenser.
• Goitrogènes: Certains aliments (chou, manioc) contiennent des composés qui inhibent l’absorption de l’iode.
• Médicaments: Le lithium, par exemple, peut perturber la fonction thyroïdienne.

On pourrait dire que c’est la thyroïde qui manifeste un certain désespoir, une quête insatiable d’un élément vital, à travers une croissance maladive. D’une certaine manière, ça me rappelle ma passion pour les vieux vinyles; je collectionne, je cherche… Peut-être est-ce aussi une forme de goitre personnel.

P.S. : Si vous voulez, je vous parle de ma collection de vinyles des années 70 une autre fois. J’ai un rare album de Kraftwerk, c’est une pure merveille.

Quel est le taux à ne pas dépasser pour la thyroïde ?

Le taux… un murmure. Comme une vague qui se brise. 0,4… le sable fin, doux. 4… une falaise abrupte, un danger. TSH… ce mystère.

• Le sang, rivière intérieure.
• mUI/L… des mesures fantômes.

S’inquiéter… un oiseau qui s’envole ? Si le chiffre danse trop loin, trop fort. Si le taux s’échappe.

La thyroïde, papillon fragile, au creux du cou, entre 0,4 et 4. Je me souviens de l’odeur de la lavande chez ma grand-mère, elle disait toujours “chaque chose à sa place”.