Qui a Moncler ?

Qui a Moncler ? Oh, Moncler… Ce nom, ça me ramène à tant de choses. Des souvenirs flous d’hiver, des images de doudounes brillantes, presque comme des armures contre le froid glacial… Vous savez, ce genre de froid qui vous transperce jusqu’aux os, celui qu’on ressent à Chamonix, par exemple, où j’ai failli me geler les doigts en faisant du ski il y a quelques années. Heureusement, j’avais mon… non, pas de Moncler, à l’époque, hélas ! Mais j’aurais bien aimé !

Remo Ruffini… Alors lui, c’est une autre histoire. Le cerveau derrière tout ça, disent-ils. 64 millions d’euros en 2003… Waouh ! Je n’arrive même pas à imaginer une telle somme. C’est comme si on me disait qu’on m’offre toute la fortune de Picsou ! Imaginez, transformer une marque… en un empire, valant des milliards ! Des milliards, vous vous rendez compte ? C’est fou, non ?

Il vient d’une famille du textile, parait-il. On dirait un conte de fées, un de ces récits où le petit garçon modeste devient un géant de l’industrie. Un autodidacte, en plus ! Pas besoin de grandes écoles, juste de la passion, du flair, peut-être un brin de folie… et beaucoup de travail, j’imagine. Un peu comme mon oncle Jean-Pierre, lui aussi parti de rien et qui a monté sa petite entreprise de menuiserie. Il n’a pas fait fortune, loin de là, mais il a réussi à construire quelque chose de solide, de beau, grâce à sa persévérance. Et ça, c’est inspirant, non ?

Ruffini, lui, il a réussi bien au-delà de l’imaginable. Il a imposé sa vision, ses règles… Il a dû affronter des défis immenses, des moments de doutes, j’imagine. Mais il a persévéré, et aujourd’hui, Moncler, c’est… c’est une légende, quoi ! On ne peut pas le nier. Alors chapeau bas, Monsieur Ruffini. Vraiment.