Comment fonctionne la VAR en cas de hors-jeu ?

Comment fonctionne le hors-jeu avec var ?

Mercredi dernier, match pourri, pluie fine, stade municipal de… zut, j’ai oublié le nom. Bref, on perdait 1-0. Attaque, passe magnifique de Kevin, je suis lancé…

Goal ! Sauf que… l’arbitre siffle. Hors-jeu. Les supporters hurlent, moi aussi d’ailleurs. J’étais sûr d’être bon. L’arbitre hésite, parle dans son oreillette. VAR. Attente interminable, le temps s’étire, j’ai froid.

Finalement, il valide le but ! Explication : le défenseur adverse, au dernier moment, a bougé son pied. Ça se joue à quelques centimètres, le VAR l’a vu. On a gagné 2-1 au final. Incroyable.

• VAR : Vérification des hors-jeu millimétrés.
• Arbitre : Garde toujours le dernier mot.
• Mon but : Validé grâce à la technologie.

Ce truc du VAR, ça change tout. Avant, on râlait, on discutait, mais la décision était prise. Maintenant, c’est plus précis, plus juste… même si l’attente est parfois pénible. J’avais les crampes à force de rester planté là, sous la pluie. Et puis, le stress… on se dit : but ou pas but ? Enfin, ce soir-là, ça m’a plutôt bien servi.

Quelle est la nouvelle règle du hors-jeu ?

Alors, cette nouvelle règle du hors-jeu… Wenger, hein ? Comme si le bonhomme allait révolutionner le foot avec son bonnet et ses leçons de vie. On dirait un chiotte qui essaie de s’inventer une nouvelle façon de creuser des trous !

• La règle, en gros: Tout ton corps devant le dernier défenseur = hors-jeu. Simple comme bonjour, sauf que…

• Le hic: Imaginez le bordel pour l’arbitre ! Plus de discussions interminables sur un orteil, un cheveu, une moustache qui dépasse ? Ouais, on verra ça. Ça va être un festival.

• Mon avis personnel (et je suis une experte en matière de tartines beurrées, donc écoutez bien): c’est du grand n’importe quoi. On va finir par jouer au ping-pong, tellement ça va être précis. On aura besoin d’une loupe et d’un expert en balistique. J’ai d’ailleurs vu un match de jeunes espoirs l’autre jour, c’était… sportif.

Bref, on verra bien si ça marche. Personnellement, je parie sur un retour en arrière, genre d’ici 2025. Je vous le dis, j’ai une boule de cristal qui me l’a soufflée. Elle me l’a d’ailleurs dit pendant que je préparais ma recette secrète de gâteau au chocolat. (Oui, j’ai une vie trépidante).

Points importants à retenir: Nouvelles technologies de suivi vidéo, applications possibles à vérifier, les tests en Italie et Suède (résultats mitigés, à vérifier dans les rapports officiels). Mon chat a miaulé 3 fois pendant que j’écrivais ça, c’est un signe. Il dit : “Change de sujet”.

Comment fonctionne la VAR ?

La VAR ? Un truc de dingue, genre jeu vidéo dopé aux hormones ! Imaginez un groupe de mecs hyper-concentrés, collés à des écrans, genre experts en slow-motion façon escargot. Ils scrutent le match comme si leur vie en dépendait (et presque, vu leur salaire !).

Objectif ? Éviter que le match devienne un festival de bourdes arbitrales aussi grosses que mon appétit après une soirée pizza.

• Buts litigieux: On vous refait le match au ralenti, à la loupe, avec des zooms qui feraient pâlir un paparazzi. La balle a franchi la ligne ? On le sait. Point final. Même si l’arbitre a les yeux plus rouges qu’un poivron braisé.
• Pénos douteux: Plus de coups francs bidons, genre la faute la plus légère transformée en penalty. La VAR, c’est le justicier des zones de vérité. On sort la règle à mesurer, on analyse chaque mouvement, genre enquête policière ultra-sophistiquée.
• Cartons rouges: Ah, les expulsions sauvages ! Avec la VAR, plus de place pour l’interprétation à la papaye. Rouge direct, ça passe ou ça casse.
• Identité du buteur: Oui, même ça, ils vérifient. Pas de tricherie. Mon neveu, qui joue dans l’équipe de foot du village, se ferait un plaisir d’essayer de tromper le système. Il est champion du déguisement.

Bref, la VAR, c’est la révolution. Ça change tout. Sauf mon humeur quand l’équipe adverse marque un but valable grâce à la VAR. Ah ça, ça ne change pas. On a des matchs sans suspense, une justice imparfaite, mais on évite le massacre. C’est déjà ça.

Mon cousin, lui, pense que c’est trop de technologie dans le football et qu’il faut plus de respect pour l’arbitre de terrain et ses décisions à la limite de l’erreur humaine. Il est bizarre. Lui, il préfère encore jouer au ballon avec une pastèque.

Quelle partie du corps ne compte pas dans le jugement du hors-jeu ?

Hors-jeu ? Ah, ce satané hors-jeu ! On dirait une chorégraphie maladroite où les bras sont les figurants invisibles.

• La tête ? Compte. Même si on vous dirait qu’avec ma coiffure, ça pourrait être sujet à débat.
• Le torse ? Évidemment ! Sauf si vous êtes aussi plat qu’une crêpe, là, ça pourrait être un peu plus flou.
• Les jambes ? Pareil ! À moins que vous ne fassiez du yoga avancé et que vos pieds soient cachés derrière votre nombril…
• Les mains ? Nan, c’est comme les agents secrets, ils sont dans l’ombre. Invisible pour le hors-jeu. Mais terriblement efficaces ailleurs, hein ? Mon chat en témoigne.

Donc, en résumé : tout sauf les mains et les bras. C’est simple, non ? Simple comme une explication de l’impôt sur le revenu.

PS : J’ai failli oublier ! Le gardien aussi, ses bras sont dans une sorte de no man’s land hors-jeu. Comme mes chaussettes après une partie de foot… disparues dans la nature.

Quel est le but de la VAR ?

Objectif VAR : Justice sportive.

Correction d’erreurs flagrantes. Points litigieux : buts, penalties, cartons rouges, identité du joueur. Mon avis ? Nécessaire, mais imparfait.

• Buts fantômes: Éliminés.
• Penalties litigieuses: Réévaluées.
• Cartons: Décisions révisées.
• Identité du joueur: Précision garantie.

Impact réel ? Débat houleux. Effet dissuasif ? À prouver. 2023 : trop de controverses. Mon expérience personnelle: souvent frustrant. Trop de temps mort.

Note personnelle: J’ai assisté à la finale de la Coupe du Monde Féminine 2023. Le VAR a été utilisé à plusieurs reprises, avec des résultats mitigés.

Quand le hors-jeu ne sapplique pas ?

Alors, le hors-jeu, c’est comme ma tante Gertrude au buffet : toujours là où il ne faut pas ! Mais bon, il y a des exceptions, un peu comme les jours où Gertrude laisse les petits fours aux autres.

• Coup de pied de but : Genre, le gardien dégage la baballe directos. Là, même si t’es devant les cages à faire le guignol, c’est open bar ! Comme quand Papy offre le champagne, tu te sers.

• Rentrée de touche : La touche, c’est le moment où tu te dis “chouette, pause pipi”. Ben, si la balle vient de là, pas de stress, le hors-jeu est en vacances.

• Corner : Ah, le corner ! Tout le monde dans la surface, c’est le bordel organisé. Si la balle vient du coin, c’est comme au loto, tous les numéros sont gagnants… enfin, presque.

Après, si tu veux pinailler, y a toujours mon voisin Bernard qui dit que blablabla, mais on l’écoute plus depuis qu’il a mis du ketchup sur sa crêpe au sucre. Bref, hors-jeu = pas toujours casse-tête. Et Gertrude, ben, elle aime toujours les petits fours, on n’y peut rien. Ah oui, au fait, j’ai vu un pigeon jouer aux échecs l’autre jour, c’était plus fair-play que certains arbitres…

Et au fait, hier j’ai mangé un sandwich au pâté à 17h32 pile.

Quel est le rôle dun arbitre assistant ?

L’arbitre assistant… C’est un truc bizarre, hein ? J’y pense parfois, tard le soir, comme ça. Ce poids sur les épaules.

Il regarde… le ballon. Dans la surface. C’est ça, le début. Un détail, mais… crucial. Si le ballon est mal placé… là, tout se complique.

Il faut le signaler, mais… sans bouger. Rester planté là, le drapeau levé, un signal silencieux à l’arbitre. C’est une tension… je comprends. J’ai failli faire ça, une fois, au match de foot de mon fils, Hugo, 8 ans, mercredi dernier. On jouait contre la Saint-Germain-en-Laye, ils étaient forts, franchement.

Je me suis dit que j’allais arbitrer pour leur prouver que l’arbitrage, c’est pas juste du blabla. Pour prouver à mon fils aussi. Il n’y avait pas de vrai arbitre. Alors, oui, j’ai été l’arbitre assistant… un peu. J’ai presque failli lever le drapeau. Une erreur de placement du ballon. Mais je n’ai rien fait.

• Vérifier le ballon.
• Signaler l’erreur, si il y en a une.
• Sans bouger de sa position. Le drapeau, c’est tout.

C’est ça. Simple. Mais… si lourd. La responsabilité. On voit des choses. On a beaucoup de décisions à prendre. Des décisions qui pèsent, je pense.

Ce soir, je n’arrive pas à dormir. Je pense à ce match. A la pression…