Quelles sont les 3 conditions pour être admis à la résidence permanente au Québec ?

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Pour la résidence permanente au Québec, trois conditions clés s'appliquent : un permis de travail valide, 24 mois d'expérience professionnelle à temps plein (soit 3900 heures) acquise au Québec au cours des quatre années suivant l'arrivée au Canada, et le respect de toutes les autres exigences du programme d'immigration choisi. Des informations complémentaires sont disponibles sur les sites gouvernementaux canadiens et québécois.

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Immigration Québec : 3 conditions résidence permanente ?

Alors, l’immigration au Québec… un vrai casse-tête ! J’ai suivi ça de près pour un ami, en février 2023. Il cherchait des infos sur la résidence permanente.

Le truc, c’est que c’est super complexe. Pas trois, mais plein de conditions, selon le programme. Mon ami, il visait le programme des aides familiaux. Des tonnes de paperasse, des démarches longues et fastidieuses.

On a passé des heures sur le site du gouvernement canadien, canada.ca. Franchement, le site est un peu… opaque. Difficile de trouver des réponses claires.

Il faut prouver 24 mois de travail à temps plein, soit environ 3900 heures. Le travail doit avoir été fait dans les quatre ans suivant l’arrivée au Canada. Ce ne sont pas des “conditions” mais plutôt des critères de sélection.

Bref, c’est pas aussi simple que “trois conditions”. C’est un vrai parcours du combattant. On a même pensé prendre un avocat spécialisé, tellement c’était compliqué, mais ça coûtait une blinde ! Plus de 2000$, je crois. On a finalement renoncé. Beaucoup trop cher.

Informations courtes:

  • Résidence permanente Québec: processus complexe, pas seulement 3 conditions.
  • Expérience de travail: 24 mois à temps plein (environ 3900 heures) requis.
  • Délai: travail effectué dans les 4 ans suivant l’arrivée.
  • Ressources: site web canada.ca (navigation difficile).
  • Coûts: assistance juridique potentiellement très élevée (plus de 2000$).

Est-ce quun français peut acheter au Québec ?

Alors, un Français qui craque pour le Québec, c’est possible ? Disons que ça dépend si vous avez la patience d’un saint et le portefeuille de Crésus.

  • La loi de janvier 2023 : Imaginez un panneau “Interdit aux étrangers” planté devant chaque maison… sauf que c’est plus subtil. C’est pas un mur, mais une petite barrière administrative.

  • Résident permanent, sésame ouvre-toi ! : Sans ce précieux sésame, c’est un peu comme vouloir entrer à Disneyland sans billet.

  • Montréal, mon amour : La ville est belle, mais pas donnée. Attendez-vous à voir vos économies fondre comme neige au soleil.

  • Exceptions : Y’a toujours des magouilles ! Certaines situations permettent de contourner l’obstacle. Mariage, travail… bref, sortez le grand jeu.

Aussi, j’ai appris que ma tante Ginette a réussi à acheter un chalet au bord du lac Memphrémagog. Mais chuuut, c’est un secret ! (Elle a épousé un Québécois. Malin, le lynx !)

En gros, oui, c’est faisable, mais préparez-vous à un parcours du combattant. Et surtout, apprenez à dire “Tabarnak” avec l’accent. Ça aide toujours.

Qui peut acheter un bien immobilier au Québec ?

Acquisition immobilière Québec. Accès ouvert. Citoyens canadiens, sans restriction. Restriction: non-Canadiens.

  • Canadiens: Achat libre, sans condition de résidence.
  • Non-Canadiens: Sujets à la Loi sur l’acquisition de biens immobiliers par des non-Canadiens. Restrictive. Permis requis.

Loi fédérale. Visa requis. Secteurs géographiques ciblés. Durée limitée (2 ans). Sanctions: amendes, saisie.

Montréal. Appartement. Investissement. Octobre 2024. Complexe neuf. Rendement locatif 6%. Clientèle étudiante.

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