Quelle viande à bouillir ?

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Pour un bouillon savoureux, optez pour :

  • Viandes maigres: Macreuse, joue, pointe, bavette à pot-au-feu. Donnent un bouillon clair.
  • Viandes gélatineuses: Jarret, jumeau, gîte, queue. Apportent onctuosité et corps.
  • Viandes grasses/demi-grasses: Tendron, flanchet, plat de côtes, poitrine. Plus riches en goût, mais bouillon plus gras. Choisissez selon vos préférences!
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Quelle viande pour un bouillon qui me réchauffe le cœur, hein ? Pas facile de choisir, j’avoue ! J’ai déjà tellement raté de bouillons… souvenez-vous de celui avec le poulet trop sec, une vraie catastrophe ! On dirait de l’eau tiède avec des bouts de plumes…

Alors, pour éviter la déception, j’ai appris à regarder de plus près. Les viandes maigres, genre macreuse ou bavette, c’est top pour un bouillon clair, presque limpide, parfait pour accompagner une bonne salade. Un peu comme celui que ma grand-mère faisait, un délice simple, elle ajoutait toujours des carottes, des navets, un bouquet garni… un vrai parfum d’enfance.

Mais parfois, j’ai envie de quelque chose de plus… riche, quoi ! Alors là, c’est les viandes gélatineuses qui entrent en jeu ! Jarret, jumeau… des noms qui me font penser aux dimanches en famille, au gros pot mijotant des heures sur la cuisinière, un vrai cocon de chaleur et de bons parfums. J’ai même essayé une fois avec de la queue de bœuf, un peu déroutant au début, mais le résultat, un bouillon onctueux, incroyable ! J’aurais jamais cru… environ 4 heures de cuisson, c’est le temps qu’il faut, c’est long, mais tellement ça vaut le coup !

Et puis il y a les viandes grasses ou demi-grasses… tendron, flanchet… hum… là, on entre dans le registre du bouillon plus copieux, plus savoureux, mais aussi, soyons honnêtes, plus gras. J’avoue que je les utilise moins souvent, sauf quand je veux un truc vraiment gourmand, réconfortant, pour les jours de grand froid… Genre un bon plat de côtes, ça, c’est le roi de la gourmandise, mais à utiliser avec modération, hein ! Sinon, on se retrouve avec un bouillon qui ressemble plus à une soupe à l’huile… et ça, je n’aime pas trop !

Donc voilà, mon petit guide personnel, un peu décousu, je l’avoue, mais plein de petites anecdotes et d’expériences. J’espère que ça vous aidera à trouver LA viande parfaite pour votre prochain bouillon, celui qui vous fera du bien, vraiment du bien, au corps et à l’âme !