Quelle est la meilleure année pour un Bordeaux ?

Ah, le Bordeaux… Rien que d’y penser, je sens déjà ce parfum subtil qui me monte au nez. Me demander quelle est la “meilleure” année, c’est… C’est un peu comme me demander lequel de mes chats j’aime le plus ! Impossible de choisir vraiment, hein ?

Bon, okay, si on doit parler chiffres et “légendes”, 1945 et 1961, oui, ce sont des millésimes… comment dire… gravés dans le marbre. J’imagine le contexte, vous voyez ? 1945, juste après la guerre. Un vin qui sort de terre à ce moment-là, un vin français, c’est pas juste du raisin fermenté, c’est un symbole, non ? Un goût d’espoir, un goût de… “on a gagné”, quoi !

Et 61, paraît-il, c’est l’élégance incarnée. J’avoue, j’ai jamais eu la chance d’en goûter un… Un jour peut-être ?

Mais au fond, et c’est là où je deviens un peu moins “experte” et un peu plus “buveuse passionnée”, le meilleur Bordeaux, c’est pas celui qui a la meilleure cote, ou celui qui coûte une blinde. C’est celui qu’on ouvre avec des amis, en riant. Celui qui accompagne un bon repas, une conversation qui dure jusqu’au bout de la nuit. Celui qu’on a envie de boire, tout simplement.

Tiens, l’autre jour, j’ai ouvert un Bordeaux… j’sais plus trop quelle année, honnêtement. Pas un grand cru, c’est sûr. Mais on était tous ensemble, autour d’une table, à refaire le monde. Et ben, ce Bordeaux-là, il était parfait.

Alors, vous voyez, 1945, 1961, okay. Mais votre “meilleur” Bordeaux, c’est peut-être celui qui vous attend dans votre cave, prêt à être partagé. Non ?