Pourquoi le cabillaud est-il si cher ?

Cabillaud cher : quelles sont les raisons de son prix élevé ?

Le cabillaud cher… oui, ça c’est un sujet. J’avoue, je regarde souvent le prix au marché et je grimace. Mais pourquoi ? Pascal Le Floch balance une explication intéressante : l’arrivée en masse de nouveaux consommateurs. Plus de gens qui veulent du poisson, forcément les prix montent, c’est la loi de l’offre et de la demande, non ?

Et c’est vrai qu’en France, on dirait qu’on redécouvre le poisson. C’est devenu un produit “tendance”, plus qu’avant, je trouve. Perso, je me souviens, petite, on mangeait du poisson pané dégueu. Maintenant, on veut du cabillaud frais, bio si possible. Ça a un impact.

Plusieurs raisons pourraient expliquer le prix élevé du cabillaud :

• Forte demande : Plus de gens apprécient le poisson.
• Ressources limitées : Les stocks de cabillaud ne sont pas infinis.
• Coûts de pêche : Le carburant, l’équipement… ça coûte cher aux pêcheurs.

Ça me rappelle cette fois, au marché de Saint-Malo en juillet dernier, j’ai vu un cabillaud à un prix… Je crois que c’était presque 30€ le kilo ! J’ai craqué, mais c’est vrai que ça pique un peu.

Pourquoi le cabillaud est-il cher ?

Cabillaud cher ? Pêche en berne.

Boulogne. Silence. Aubettes vides. Sole, maquereau. Fin.

• Ressources épuisées. Surpêche. C’est simple.
• Coûts de production. Essence, bateau, équipage… Tout augmente.
• Demande. Toujours forte. L’offre diminue. Équation.

Mon père, pêcheur. Il sait. Plus rien. Il a vendu son bateau en 2022. Crise.

La mer ? Vide. On est en 2024. J’habite près du port. Je vois.

Prix élevés = logique économique. Rudimentaire. Mais vrai. Triste.

Le cabillaud français, un souvenir. Presque.

• Changement climatique.
• Pollution.
• Mauvaises pratiques.

Tout ça contribue. Un problème. Plus complexe que ça n’y paraît. Mais pas insoluble.

Le cabillaud, un luxe. À méditer. Ou pas. C’est selon.

Le cabillaud est-il un poisson à éviter ?

Le cabillaud ? Pfff, un drame écologique sur pattes, ou plutôt… sur nageoires ! À éviter comme la peste, dis-je ! Mon grand-père, pêcheur depuis… toujours, il en pleurait des litres en voyant les stocks diminuer. Comme si on pillait un coffre-fort rempli de chocolats fins!

Conséquences désastreuses sur la biodiversité, hein ? C’est le moins qu’on puisse dire. On dirait qu’on a lâché des hordes de gobelins affamés dans l’océan !

• Pêche intensive = stocks en berne.
• Répercussions sur l’écosystème, c’est la cata !
• Même ma tante Ginette, qui ne connaît rien à la mer, le sait !

Choisir son cabillaud, une mission impossible ? À peu près. À moins d’avoir le don d’ubiquité pour vérifier l’origine à chaque poisson. Je parle d’expérience, moi qui ai une fois acheté un cabillaud qui ressemblait plus à un extraterrestre qu’à un poisson.

En résumé ? Fuyez le cabillaud comme la flamme olympique le froid sibérien. Optez pour du tofu. C’est moins glamour, mais au moins, c’est éthique (à condition qu’il ne soit pas issu d’une exploitation douteuse… bon, c’est un autre débat).

Psst… Mon voisin, Bernard, un type bizarre qui collectionne les coquillages et parle aux méduses, m’a confié qu’il y a des zones de pêche plus responsables. Cherchez par vous-même, hein ? Bon courage! J’ai mieux à faire, comme regarder ma collection de timbres de la République de San Marino.

Pourquoi le poisson est-il si cher aujourd’hui aux États-Unis ?

Poisson cher ? Normal.

• Surpêche. Océans vidés. Simple.
• Réglementation. Plus strictes. Coûte cher.
• Durabilité. Mot à la mode. Vide de sens ?

Mon dernier repas de poisson ? Sardines en boîte. 2023. Economique.

Changement climatique. Impact énorme. On en parle assez.

L’Alaska ? Je connais quelqu’un qui pêche là-bas. Plus facile avant.

Prix augmentent. Conséquence logique. Ou pas.

Plus de poisson ? Solution simple ? Plus de pêcheurs ? Plus de poissons ? Problème complexe.

• Demande. Augmente. Logique.
• Transport. Coût. Essence.
• Marchés. Spéculateurs.

La mer ? Elle a ses limites. On le sait. On s’en fout. Ou pas.
Mon père, pêcheur retraité. Il disait “la mer est vide”.

Fin.

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