Comment Ricardo cuit-il les crevettes ?

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Alors, Ricardo, lui, il est malin avec ses crevettes ! Il les jette dans une poêle bien chaude, et là, faut pas être timide avec le feu. Ce que jaime bien, cest quil insiste pour ne pas surcharger la poêle. Ça, cest crucial, sinon elles bouillent au lieu de griller. Et le moment où elles rosissent, cette couleur, cest le signal ! Un petit retournement, un assaisonnement, et hop, cest prêt en un clin dœil. Franchement, 3 minutes, cest la perfection pour des crevettes juteuses et savoureuses.

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Ricardo et ses crevettes… un truc de fou ! Sérieusement, j’ai testé sa méthode, et… wahou ! Poêle brûlante, presque fumante – j’avoue, j’ai un peu hésité la première fois, peur de tout cramer. Mais non, il a raison. Faut y aller franco. Pas trop de crevettes à la fois, ça, c’est VRAIMENT important. J’ai fait l’erreur une fois, une seule… beurk, des crevettes bouillies, sans saveur. On aurait dit… je sais pas, des trucs caoutchouteux. Horrible !

Alors que là, quand elles sont bien espacées… Le bruit, déjà ! Ce petit grésillement… Et puis la couleur ! Ce rose orangé, presque doré par endroits… Magique ! Un petit coup de spatule, vite fait, elles doivent juste être rosées, pas plus. Sel, poivre, un peu de piment d’Espelette, pourquoi pas ? (Mon petit secret, chut !) Et voilà ! Trois minutes, il dit ? Ouais, à peu près ça. Disons que le temps de préparer l’apéro, et hop, c’est prêt. Des crevettes juteuses, tendres, un goût… Comment dire ? Le goût de la mer, quoi ! On les a dévorées avec des amis, l’autre soir, avec un petit rosé bien frais… Un vrai bonheur. Simple, rapide, efficace. Merci Ricardo ! (Je me demande ce qu’il fait avec des gambas ? Faudrait que j’essaie…)