Quels sont les principaux éléments du modèle de communication de Lasswell ?

Lasswell et son modèle… Vous avez déjà entendu parler ? C’est un truc qui, quand j’y pense, est tellement simple et tellement profond à la fois. Cinq petites questions, et pourtant… ça résume tout l’acte de communiquer. Vraiment tout.

Il demande “Qui ?” L’émetteur, quoi. La source. Comme moi, là, en train de vous écrire ça. Ou comme ce prof d’histoire que j’avais au lycée, passionnant, qui arrivait à nous captiver pendant des heures. Lui, c’était un émetteur hors pair, vraiment.

Ensuite, “Dit quoi ?” Le message. Ben oui, forcément, il faut bien quelque chose à dire ! L’info, l’émotion, l’idée… tout ce qu’on veut transmettre. Par exemple, cette anecdote sur mon prof d’histoire, c’est mon message, là, maintenant.

Et “Par quel canal ?” Ah, le média ! Aujourd’hui, on en a tellement… Écrit, oral, vidéo, réseaux sociaux… Un vrai casse-tête parfois. Moi, j’avoue, j’ai un faible pour l’écrit. Plus posé, plus réfléchi, non ? Enfin, ça dépend. Prenez une discussion animée entre amis, c’est tout autre chose. Impossible à retranscrire à l’écrit !

“À qui ?” Le récepteur. Vous, par exemple, en train de me lire. Ou la classe entière, pendue aux lèvres de mon prof d’histoire. Le public, quoi. Et c’est là que ça devient intéressant, parce que le message peut être super bien construit, si le récepteur n’est pas réceptif… On peut parler dans le vide, quoi. J’ai tellement vu ça… des discours magnifiques, mais personne n’écoute. C’est frustrant, non ?

Et enfin, la question la plus importante, je trouve : “Avec quel effet ?” L’impact. Qu’est-ce que ça change, au final ? Est-ce que mon message a touché sa cible ? Est-ce que mon prof d’histoire a réussi à nous transmettre sa passion ? J’ai lu quelque part, je ne sais plus où, qu’un message réussi, c’est un message qui provoque une réaction, une émotion, une réflexion… un changement, même infime. Et ça, c’est pas toujours facile à mesurer. Mais quand ça marche… waouh !