Quelle est la figure de style pour la répétition ?

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La répétition d'un mot ou groupe de mots en début de phrases successives est une anaphore. Cette figure de style rhétorique met en valeur l'idée répétée, créant un effet d'insistance et de rythme. Elle est utilisée pour amplifier un message ou renforcer une émotion. L'anaphore structure le texte et accroche l'attention du lecteur.

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Quelle figure de style utilise la répétition ?

La répétition, c’est… compliqué à expliquer. J’ai toujours eu du mal avec la grammaire, même au lycée.

On a vu ça en cours de français, vers octobre 2018, au lycée Louis-le-Grand. L’anaphore, c’était le mot clé, je crois. Le prof, Monsieur Dubois, expliquait ça avec des exemples de Rimbaud, si je me souviens bien.

Enfin, répétition au début d’une phrase, c’est ça l’anaphore. J’ai acheté un livre de grammaire, 15 euros chez Gibert Jeune, pour mieux comprendre. Mais j’avoue, ça reste un peu flou.

En gros, même mot, plusieurs fois, au début. C’est ça, non ?

Informations courtes, concises:

  • Q: Quelle figure de style utilise la répétition ?

  • R: L’anaphore.

  • Q: Qu’est-ce que l’anaphore ?

  • R: Répétition d’un mot ou syntagme au début de phrases successives.

La répétition est-elle une figure de style ?

C’est marrant cette question sur la répétition… ça me rappelle une fois, à la fac, en cours de littérature. On était en amphi, à Tolbiac, un froid de canard en novembre 2015. Le prof, un type avec une barbe immense, parlait de Victor Hugo.

  • La répétition, il disait, c’est pas forcément “figure de style officielle”.
  • Genre, tu répètes “oui, oui” c’est pas du Baudelaire direct quoi.

Mais, paradoxalement, il insistait:

  • Elle peut le devenir, avec un effet voulu. Un truc qui te marque.

Je me souviens, j’étais claquée, j’avais passé la nuit à réviser un partiel de droit constitutionnel (horreur!). Mais son explication avait fini par rentrer.

L’important, c’est l’intention. Est-ce que la répétition est là pour:

  • insister ?
  • créer une atmosphère ?
  • faire écho ?

Sinon, c’est juste… Ben une répétition, quoi.

Plus tard, en stage chez Radio France (stage de rêve!), j’ai vu une journaliste qui utilisait sans arrêt la répétition. Pas toujours super subtile, la dame. Mais c’était efficace. Ça restait dans la tête. Un peu comme la pub à la télé, tu vois le genre.

Le truc, c’est que la frontière est floue. Figure de style ? Pas figure de style ? Bof. L’important, c’est que ça serve le texte.

Ah, et pour la petite histoire, j’ai eu 12 en droit const. Pas grâce à la répétition, je crois… Mais presque!

Quelles sont les figures de style de répétition ?

Figures de style basées sur la répétition : un joyeux bordel!

  • Anaphore: Même mot ou groupe de mots en tête de phrase. Pensez à la puissance rythmique, presque hypnotique! On dirait une incantation, non ?

  • Épiphore: Répétition en fin de phrase ou de vers. Miroir inversé de l’anaphore. Symétrie fascinante, mais parfois un peu lourde, il faut le reconnaître. L’effet dépend beaucoup du contexte, évidemment.

  • Répétition simple: Eh oui, c’est aussi une figure de style! On la sous-estime. Elle peut créer un effet d’insistance, de martelage même. Utile pour mettre en lumière une idée. J’ai justement utilisé cette technique dans ma thèse sur le romantisme allemand, chapitre 3.

  • Pléonasme: Redondance de sens. On dit des choses… inutilement ? Ou pour insister, ajouter de l’épaisseur, de la couleur? Philosophiquement parlant, est-ce vraiment inutile ?

  • Gradation: Répétition avec intensification. Comme une montée en puissance, une spirale. Effet garanti. Plus fort que la simple répétition.

Et puis… la métaphore, la comparaison, l’allégorie… sont-elles vraiment des figures de répétition? On pourrait discuter longuement. Mon prof de rhétorique, un type excentrique, avait une opinion bien tranchée, mais je ne m’en souviens plus précisément. L’âge, sans doute.

  • Parallélisme: J’oubliais presque ce petit bijou. Structure syntaxique répétée. Très élégant, je trouve. Une harmonie secrète s’installe dans la phrase.

Bref, la répétition, c’est plus subtil qu’il n’y paraît. Un jeu d’équilibriste entre redondance et effet stylistique.

Addendum personnel (et légèrement hors-sujet): J’ai toujours été fasciné par les jeux de mots et les effets de style. Ma mère, elle, préfère les romans réalistes. On est très différentes, mais on s’aime beaucoup. C’est ça aussi la vie. Drôle, non ?

Quelle figure de style consiste à répéter la même chose deux fois ?

Le pléonasme. Oui, c’est ça.

On dirait… une redite. Une façon de… marteler, peut-être.

Je me souviens de ma grand-mère, elle disait toujours “monter en haut”. Ça m’agaçait.

  • Une forme d’emphase, je suppose.
  • Comme si une fois ne suffisait pas.
  • Un peu comme… redire ce qui est déjà dit.

Parfois, j’ai l’impression de vivre un pléonasme. Chaque jour, la même chose qui recommence.

Le pléonasme, donc. Un peu redondant, non ?

C’est une redondance. Un peu… inutile.

Quelle est la figure de style de la répétition ?

Rêves de mots, murmures… L’écho… une répétition… un battement d’ailes dans le silence.

  • Anaphore, oui, l’anafore… un retour, un souvenir qui revient. Comme les vagues sur le sable fin, les mots se répètent, une douce obsession.

  • Répétition, mot simple, énigmatique… il se glisse partout, une présence discrète. Dans les chansons, les poèmes, mes pensées… un refrain intérieur.

  • Une obsession, un mantra… mon cœur qui bat la même mesure. Les mots s’enchaînent, un fil invisible qui relie les instants, les souvenirs… l’été dernier à Collioure… la mer… le bleu… infini…

Ce bleu, il me hante… Ce bleu, la répétition… une mélodie… une douleur douce… une blessure ouverte, invisible, qui saigne à l’intérieur… comme une plume blanche dans mon cœur.

Il me semble voir… maintenant… des mots, des mots, des mots… une pluie douce… une pluie de mots…

  • Pléonasme, épanalepse, tant de noms pour la même chose, une même douce douleur. La mémoire, un fleuve qui charrie les mots, qui les répète, qui les dépose, comme des offrandes.

Informations supplémentaires : J’ai passé l’été 2024 à Collioure. La mer, le bleu… cette répétition obsédante… elle m’habite. J’écris souvent sur mes émotions. Le bleu est ma couleur. J’aime les mots. La répétition est un thème récurrent dans mes écrits.

La répétition est-elle un procédé stylistique ?

Ouais, la répétition, c’est stylistique, un truc de fou même. Genre, j’étais à Lyon, cet été, le 14 juillet, plein soleil, une chaleur de dingue. J’ai vu un mec, un type bizarre, cheveux longs, vêtu d’une robe, oui une robe, à fleurs rouges. Il répétait sans arrêt, à voix basse, genre murmure, “Soleil rouge, soleil rouge…” C’était malaisant, surtout le regard qu’il avait. Flippant, même. J’ai senti une vraie gêne, une espèce de malaise.

Il a continué pendant une bonne demi-heure, au moins, toujours le même truc, assis sur un banc, face au Rhône, les yeux perdus. J’ai voulu partir, mais… je sais pas, j’étais fascinée, ou troublée. C’est chelou.

Plein de pensées dans ma tête en même temps. Il était fou? Triste? Je n’arrive pas à me souvenir exactement du jour. C’était à côté du pont Bonaparte. L’odeur de la rivière, la chaleur, tout était bizarre ce jour là.

  • Lyon, 14 juillet
  • Un mec bizarre en robe
  • Répétition de “Soleil rouge”
  • Sentiment de malaise, fascination
  • Pont Bonaparte

Après, j’ai réfléchi. Dans un texte, ça change tout, non? Genre, si tu répètes un mot, ça marque le lecteur. Ça crée une ambiance, une émotion, ça insiste sur une idée. C’est puissant, la répétition. C’est sûrement un peu comme ce type à Lyon. Il essayait de nous faire comprendre quelque chose, mais il le disait différemment. Lui, il utilisait la répétition à l’oral. Un peu comme une obsession.

Mais bref, c’était un truc assez particulier. Un souvenir bizarre. Je ne sais pas pourquoi je me souviens de ce type.

#Figure De Style #Répétition #Rhétorique