Quel métier faire quand on ne sait pas quoi faire ?

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Incertain sur votre voie professionnelle ? Explorez le secteur associatif (ONG, œuvres caritatives) pour un travail riche de sens. Les métiers créatifs offrent aussi un exutoire idéal aux personnalités sensibles, favorisant l'expression et l'épanouissement.

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Quel métier choisir quand on est perdu : conseils dorientation ?

Ah, le fameux “je suis perdu, quel métier je fais ?”. Je connais ça ! J’ai galéré un moment, genre à 25 ans, après un master en… histoire de l’art (oui, oui !). Bref, j’étais paumé complet.

Franchement, les associations, c’est une piste à explorer. J’ai fait du bénévolat chez les Restos du Cœur à Nice en 2018. C’était dur, mais hyper gratifiant. Tu te sens utile, tu vois des résultats concrets.

Après, si t’es du genre sensible (moi, je pleure devant les pubs pour chiens, c’est dire !), les métiers créatifs, c’est une option à considérer. J’ai une amie qui est devenue illustratrice freelance, elle adore son job !

Elle vend ses créations sur Etsy et elle organise des ateliers de dessin dans un café à Paris. Elle m’a dit que ça lui permet de se sentir vraiment elle-même et d’exprimer toutes ses émotions.

Infos courtes et concises :

  • Que faire quand on est perdu professionnellement ? Explorer le bénévolat et les métiers créatifs.
  • Où faire du bénévolat ? Associations caritatives comme les Restos du Cœur.
  • Quel type de métiers pour les personnes sensibles ? Métiers créatifs (illustration, écriture, musique, etc.).

Comment trouver le métier qui me plaît ?

Trouver sa voie: Pas de recette magique. Analyse froide.

  • Motivations: Identifiez vos moteurs. Ambition ? Sécurité ? Créativité ?

  • Introspection: Vos valeurs. Vos forces. Vos faiblesses. Honnêteté impérative.

  • Compétences: Inventaire précis. Ce que vous savez faire. Ce que vous êtes. Mon cas: graphisme, mais aussi capacité d’analyse des données.

  • Projet: Objectif clair. Étapes concrètes. Délais. Je vise une direction artistique chez une agence de 2024, Lyon.

  • Adaptation: Formation. Expérience. Réseautage. Rigidité n’est pas une option.

Parcours personnel: J’ai pivoté. De la finance à la création visuelle. Risqué, mais plus stimulant.

Note: Le chemin est sinueux. Préparez-vous à l’imprévu. 2024 sera charnière.

Comment puis-je trouver un métier qui me passionne ?

Perdu la notion du temps… Hum… Jouer à des jeux vidéo ? Non, pas un métier ça. Enfin… streamer ? Trop de monde fait ça. Peinture. Ouais, peindre. Mais je suis nulle. Ah ! Restauration de tableaux ! C’est précis ça.

Souvenirs d’enfance… Vétérinaire ! Beurk, le sang. Archéologue ? Creuser, creuser. Toujours aimé les histoires. Écrire ? Romancière ! Mais faut des idées. Je lis pas assez. Biographie… Tiens, parler de restauration de tableaux dans une biographie. Qui a restauré la Joconde ? Faut que je google ça.

Je veux pas bosser dans un bureau. C’est clair. Ni avec des clients relous. Marre des gens. Je supporte pas les bruits forts. Genre open space, bye bye.

Point de rencontre… Mes forces ? Euh… Patiente ? Minutieuse ? Passions : art, histoire, et… manger des cookies ? Parcours pro… Y a quoi en restauration ? École du Louvre ?

  • Restauration de tableaux : Besoin de formation. Longues études ? Cher ?
  • Archéologue : Plein air. Voyage. Mais précaire ? Beaucoup de travail sur le terrain.
  • Romancière : Flexibilité. Mais solitude. Difficulté à être publiée ?

Demain, bibliothèque. Faut que je me renseigne. La Joconde… qui l’a restaurée ? Mystère. Internet est mon ami. Cookies. Chocolat ou pépites de chocolat blanc ? Dilemme.

Comment trouver le métier qui me convient ?

Trouver sa voie, c’est un sacré cheminement! On dirait une quête initiatique, non ? Commençons par le pourquoi, la motivation, la flamme intérieure. Qu’est-ce qui vous anime vraiment ? Argent? Passion? Impact social ? C’est la base.

Ensuite, l’introspection, c’est pas juste se regarder dans une glace. Il faut creuser. Tests de personnalité, discussions avec des proches, même un peu de psychanalyse si besoin ! J’ai moi-même essayé un test de Rorschach, une expérience… instructive.

Puis, on liste les talents. Pas juste “je sais coder”, mais “je comprends vite les langages complexes, je suis patient face aux bugs, j’aime le challenge”. Différence subtile, mais importante. On note aussi les qualités, le “savoir-être”. Persévérant ? Créatif ? On fait une vraie liste de courses des compétences.

Ensuite, le projet professionnel se dessine. On combine les motivations, les talents, et on vise. Réaliste, mais ambitieux. Attention à ne pas sombrer dans les fantasmes ! Ma sœur a rêvé d’être astronaute, elle a fini dans le marketing spatial… C’est déjà pas mal !

Enfin, l’adaptation. Le monde bouge, on bouge avec. Formation, reconversion, c’est crucial. L’année dernière j’ai suivi un MOOC en data science, passionnant. Il faut savoir s’adapter, s’améliorer.

  • Motivation: Pourquoi travailler ? Passion ? Sécurité financière ?
  • Introspection: Tests, discussions, auto-analyse. Essentiel !
  • Compétences: Savoir-faire + savoir-être. Soignez la description !
  • Projet: Objectif réaliste et ambitieux.
  • Adaptation: Formation, reconversion. Le marché du travail évolue.

Bonus personnel: J’ai galéré, moi aussi. Après des études de lettres (quelle erreur !), je me suis finalement reconverti en freelance, grâce à une formation intensive en ligne. La vie, c’est parfois du bricolage.

Points supplémentaires à considérer :

  • Réseautage: Parler aux gens, surtout ceux qui exercent des métiers qui vous intéressent.
  • Stages/jobs d’été: Tester sur le terrain avant de s’engager.
  • Mentorat: Trouver un guide expérimenté pour vous accompagner.

Comment savoir quoi faire de sa vie ?

Trouver sa voie ? Vaste programme.

  • Vibration intérieure. Se demander ce qui nous anime vraiment. Pas ce qui plaît aux autres.

  • Forces et faiblesses. Inventaire impitoyable. Le talent, c’est la paresse qui s’ignore.

  • Expérimenter. L’échec est un professeur patient. J’ai raté mon permis 4 fois. Et après ?

  • Entourage. Les bonnes personnes vous élèvent. Les autres… vous connaissez la chanson. Ma tante Gertrude était insupportable.

  • Chemin incertain. L’acceptation. La vie est rarement une autoroute. Plutôt un sentier escarpé.

  • Projet de vie. L’organisation. Mais l’improvisation a son charme. Et ses dangers.

Il n’y a pas de recette miracle. Juste des tentatives. La vie est une série de choix. Et de renoncements. Chaque décision, un pas. Vers où ? L’avenir nous le dira. Ou pas.

Comment trouver un métier qui a du sens ?

Mercredi dernier, 14h, coincée dans le métro. Soudain, l’affiche : «Devenez auxiliaire de vie». Bam. C’est comme si le temps s’arrêtait. J’étouffais dans mon boulot de marketing. Plein de fric, zéro sens. Là, j’ai su. L’aide aux autres. C’est ça mon truc.

Plus jeune, je passais des heures chez ma grand-mère malade. La rassurer, l’aider. J’adorais. Oublié depuis. Zappé sous des tonnes d’ambition mal placée.

Le soir même, recherche Google: formation auxiliaire de vie. Un tas de trucs. Différents diplômes. J’ai enregistré plusieurs liens. Un peu flippée, aussi. Changer de vie comme ça.

Le lendemain, j’en ai parlé à Sophie, ma meilleure amie. Infirmière. Elle m’a dit: fonce. Ses yeux brillaient en me racontant ses journées. Ça m’a convaincue.

  • Identifier ses valeurs: ok, l’aide aux autres, le contact humain.
  • Redonner du sens à mon job actuel: impossible. Trop tard.
  • Métiers à impact: bingo, le secteur médical !

Maintenant? Je suis inscrite à une formation. C’est dur. Beaucoup de boulot. Mais je me sens… vivante. Enfin. Une vraie utilité. Mon compte en banque est moins rempli. Mon cœur, lui, déborde.

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