Quel est le contraire de substituer ?

Alors voilà, j’ai cherché le contraire de “substituer”… Substituer, ça veut dire remplacer, non ? Comme quand j’ai remplacé mon vieux vélo rouillé, celui qui grinçait à chaque coup de pédale – un vrai supplice, vous vous imaginez ? – par un vélo tout neuf, un vrai bijou, rouge vif ! On a bien substitué le vieux au neuf, là, n’est-ce pas ?

Mais le contraire… C’est quoi au juste ? Remplacer l’inverse ? On dirait une énigme ! J’ai cherché un peu, et apparemment, si on dit “substituer A à B”, le contraire c’est… ben, “substituer B à A” ! Simple, non ? Enfin, si on réfléchit bien… Ça revient à dire qu’on remet les choses comme avant, quoi.

Ou alors, on peut utiliser d’autres mots, des synonymes. Remplacer, par exemple. Ou même “supplanter”, ça sonne plus fort, non ? Comme quand mon petit frère a supplanté mon règne de roi incontesté des jeux vidéo, le petit tyran ! J’avais beau être plus grand, plus fort, plus expérimenté… Il a trouvé la faille, le bug dans mon système de défense… soupir. Ah, la cruauté des enfants !

Mais attention, il parait qu’il ne faut surtout pas dire “substituer A par B”. Non, non, c’est faux, apparemment. Je me suis toujours demandé pourquoi, d’ailleurs. Peut-être qu’un spécialiste de la grammaire pourrait m’expliquer ça un jour… Parce que moi, je dois avouer, je l’ai déjà dit, et personne ne m’a jamais corrigé ! Peut-être que c’est passé inaperçu ? Ou que je suis une exception qui confirme la règle ? M’enfin !

Bref, le contraire de substituer, c’est un peu comme un miroir, on inverse tout. Un peu comme dans ces films, vous savez, ceux où le héros voyage dans le temps et change le passé… ça peut avoir des conséquences imprévisibles ! Et là, on se demande, finalement, si c’est vraiment le contraire, ou juste… une autre façon de voir les choses.