Pourquoi aller en commerce international ?

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Ah, le commerce international... Pour moi, cest bien plus quune simple filière. Cest lopportunité de plonger dans un monde fascinant, où les cultures se rencontrent et les idées fusent. Jadore lidée de me confronter à des défis complexes, de développer une ouverture desprit indispensable et de contribuer à un monde plus connecté. Et puis, soyons honnêtes, la perspective dune carrière dynamique et enrichissante, ça motive énormément !

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Commerce international… Pourquoi ce choix ? Vraiment, pour moi, c’est… plus profond qu’un simple cursus universitaire. C’est une espèce d’appel, vous voyez ? Un désir intense de me frotter au monde, à sa complexité. Imaginez : des cultures différentes, des façons de penser tellement variées… passionnant, non ?

C’est le genre de truc qui me fait vibrer, cette idée d’apprendre constamment, de comprendre comment les échanges fonctionnent, comment on peut construire des ponts entre des pays si différents. Se challenger, quoi ! Sortir de sa zone de confort, un peu comme quand j’ai voyagé seule en Asie du Sud-Est l’été dernier. Complètement dépaysant. Effrayant parfois, oui, mais tellement enrichissant ! On en ressort grandi, forcément.

Et puis, bon, il y a aussi l’aspect carrière, faut pas se mentir. Qui ne rêve pas d’un job stimulant, avec des voyages, des rencontres ? J’ai lu quelque part, je ne sais plus où exactement, qu’il y avait une forte demande pour les profils internationaux… Un truc comme 70% des entreprises recherchaient des compétences interculturelles… Enfin bref, ça a l’air d’être un secteur porteur. Et ça, forcément, ça rassure un peu, non ? Pas juste pour l’argent, hein, mais pour l’idée de pouvoir construire quelque chose, d’avoir un impact.

Alors voilà. Le commerce international, pour moi, c’est un peu tout ça à la fois : une soif d’apprendre, l’envie de découvrir le monde, et l’espoir, peut-être un peu naïf, de contribuer à le rendre, ne serait-ce qu’un tout petit peu, meilleur. C’est ambitieux, je sais… mais on a le droit de rêver, non ?