Comment arrêter de crier sur ses enfants ?

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Arrêter de crier sur ses enfants :

Sentez la colère monter ? Isolez-vous un instant. La gestion des émotions est cruciale. Respirez profondément, méditez si possible. Évitez de réagir impulsivement. Une fois apaisé, engagez une discussion calme avec vos enfants. Une parentalité positive commence par le contrôle de soi.

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Crier sur ses enfants : comment arrêter ?

Mon Dieu, crier sur mes enfants… ça m’arrive encore, même si j’essaie vraiment de m’améliorer. Le 15 juillet dernier, Jules, mon petit dernier, a renversé son verre de jus d’orange partout, j’ai senti la tension monter… direct!

J’ai fui. Dans la salle de bain, j’ai respiré profondément, compté jusqu’à dix. Ça aide, vraiment. Ensuite, j’ai expliqué calmement à Jules que les dégâts se nettoient, et on a nettoyé ensemble. Pas de cris, juste de la patience.

Ma technique maintenant? Prendre du recul. Même une minute, juste pour respirer et me calmer, ça change tout.

Question: Comment calmer sa colère avant de crier sur ses enfants? Réponse: S’isoler brièvement, respirer profondément et méditer.

Question: Est-ce que ça fonctionne toujours ? Réponse: Non, parfois c’est plus difficile qu’autre chose, l’émotion est trop forte.

Question: Quel est le bénéfice de cette méthode? Réponse: Plus de calme et communication plus constructive avec les enfants.

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L’air brumeux de janvier… Ces noms, ces chiffres, une danse étrange sur l’écran. Un murmure de promesses, ou peut-être juste le vent dans les rideaux.

  • AB InBev, un goût amer et doux à la fois, la mémoire d’une soirée en terrasse, un verre à la main… 15,821… un chiffre qui résonne… lointain.

  • Abbott Laboratories, la solidité d’un chêne, la promesse d’un avenir lent et sûr. 27,876… un sommet froid et serein.

  • Abbvie, ombres et lumières, un mystère médical, un espoir fragile, un chiffre, 19,392, accroché au ciel nocturne.

  • Abercrombie & Fitch, l’odeur du coton, une jeunesse éphémère, un souvenir flou, 17,331… l’écho d’un rivage disparu.

L’incertitude persiste, le poids du choix, cette hésitation, cette envie de plonger malgré tout…

Ces actions… des fragments d’un puzzle, un avenir à construire, brique par brique, chiffre après chiffre… une navigation incertaine sur une mer de données… Mon appartement, le café refroidi sur mon bureau…

Données d’octobre 2023. La réalité est capricieuse, elle change plus vite que ces quelques lignes… Je sens le brouillard revenir. Des fragments…

Est-ce normal de crier après ses enfants ?

Alors, c’est normal de crier après les enfants? Euh… Pas vraiment, quoi.

Beaucoup de parents pensent que crier, c’est pas grave si tu tapes pas. Mais en vrai, c’est pire qu’on croit.

  • C’est vrai, c’est pas comme une claque, mais…
  • Ça peut casser la confiance de l’enfant.
  • Son estime de soi en prend un coup aussi.
  • Et puis, faut faire gaffe, parce que ça peut créer d’autres problèmes après, genre… des angoisses ou des trucs comme ça.

Moi, ma soeur, elle criait tout le temps, genre tout les jours. C’etait le chaos tout le temps à la maison.

Du coup, vaut mieux essayer de se calmer, même si c’est dur. Ya plein d’astuces.

Et si ça va pas, tu peux toujours aller voir un psy, tu sais, pour les parents! Franchement, ça aide bien.

Ah oui, un truc important : ne jamais crier devant les copains, ça les humilie. Et ne jamais oublier de dire que tu l’aime après la crise.

Pourquoi est-ce que je crie tout le temps sur mes enfants ?

Pourquoi je gueule tout le temps ? Putain, c’est ça le problème, hein ? Fatigue ? Ouais, sûrement.

Travail infernal, boulot à la con… 8h par jour, c’est pas humain. Trop de dossiers, toujours dans l’urgence… je comprends plus rien. Et puis, les courses… la maison…

  • Lessive
  • Repassage (j’ai même pas le temps de mettre un jean propre aujourd’hui !)
  • Le dîner
  • Et les devoirs de Léo !

C’est ça. C’est l’accumulation de tout ça, cette pression… Je deviens folle. On est à bout. On crie. On se sent nulle.

Et puis… est-ce que je suis une mauvaise mère ? Sérieux, je me pose la question. Parfois, je me dis que je devrais me calmer, mais c’est plus fort que moi.

Peut-être un burn-out ? Je sais pas… besoin de vacances. Urgence vacances ! Un truc au soleil… farniente total… j’en rêve.

Faut que je trouve une solution… Mais laquelle ? Psychologue ? Non, je sais pas… trop cher. Trop de paperasse aussi.

Peut-être juste… apprendre à respirer ? Ouais… je sais, ça sonne bête, mais bon… on essaye quoi. Même si j’ai déjà essayé la sophrologie. Trop hippie pour moi finalement, ça n’a rien changé.

Bref, le stress, voilà la réponse. Ou peut-être plus de café… ou moins… je ne sais pas. Le bordel quoi.

Points clés: Stress, Surmenage, Burn-out possible, Besoin de vacances URGENT !

Pourquoi je crie tout le temps sur mes enfants ?

Trop-plein émotionnel. Crier : l’expression brute.

  • Joie. Ou douleur. La palette est large.

  • Autorité parentale. L’intonation se durcit. Sécurité oblige.

Je crie. Alors ?

Que faire ? La question est mal posée.

  • Écouter. Vraiment.

  • Observer. Les déclencheurs. Le comportement de l’enfant. Le vôtre.

Ma fille, Léa, 8 ans, me provoque. C’est sa nature. Et après ? J’ai un rendez-vous chez le dentiste le 15 juin. C’est important.

  • Solution ? Inexistante. Réponse unique impossible.

Acceptez. L’imperfection. La vôtre. Celle de vos enfants.

Pourquoi est-ce que je crie toujours sur mon enfant ?

Frustration. C’est le déclencheur.

  • Ignorance. Votre enfant ne comprend pas.
  • Écoute. Une arme oubliée.
  • Sécurité. Un havre pour s’exprimer.
  • Jugement. L’ennemi.

Ma fille déteste les brocolis. Ça me rappelle ma propre enfance.

Comment faire obéir ses enfants sans crier ?

Avoir des enfants, c’est comme dompter des singes survoltés dopés au sucre. La clé ? Pas de cris, mais de la stratégie digne d’un général cinq étoiles!

Règles ? Oubliez le blabla. Des règles claires, comme des lois gravées dans le marbre. Pas de négociations, point barre. Mon fils, il touche à mon cactus à 150€ une fois, je confisque sa console pendant une semaine. C’est une loi de la nature, maintenant!

Punitions ? Proportionnelles, oui, mais dissuasives. On n’est pas là pour faire des câlins. Si je trouve ma collection de timbres rares dans les toilettes, il y aura des conséquences. Très sérieuses. On parle de corvées jusqu’à la fin des temps.

L’humour ? J’ai essayé. Mon petit dernier a trouvé hilarant que je lui fasse des grimaces en lui demandant de ranger sa chambre. Ça a fonctionné une fois. Une seule. L’humour, c’est pour les faibles.

Dialoguer ? Ah, le dialogue… J’ai plutôt l’impression de négocier un traité de paix avec la Corée du Nord. Plus de dialogue qu’un échange de menaces nucléaires!

Conseil bonus (le mien): La menace subtile. “Si cette chambre n’est pas rangée, je vais peut-être… nettoyer ta collection de figurines Star Wars…avec l’aspirateur.” Efficace. Miracleusement efficace.

  • Règles strictes: Dura lex, sed lex. Comme je dis à mes enfants!
  • Punitions radicales: Pas de pitié, pas de faiblesse!
  • Humour ? Plus drôle pour moi que pour eux.
  • Dialogue ? Plus proche d’une joute verbale.
  • Menaces subtiles: L’arme secrète! (Fonctionne à tous les coups, ou presque…)

(Petit secret : mon mari a aussi une collection de timbres… on est jamais trop prudent.)

#Éducation Douce #Gérer Colère #Parents Calme