Quelle est la culture la plus répandue au monde ?

Quelle est la culture la plus répandue au monde, hein ? La question me trotte dans la tête depuis des jours… On m’a dit que c’était le maïs. Le maïs ! Sérieusement ? C’est vrai, j’ai lu des trucs là-dessus, des chiffres hallucinants sur la production… des milliards de tonnes, paraît-il. Mais ça me laisse un goût bizarre dans la bouche, vous savez ? C’est comme si on réduisait toute la richesse de la nourriture à un simple chiffre.

Dire que le maïs est la culture la plus répandue, c’est un peu… réducteur, non ? On dirait une de ces affirmations qu’on balance sans vraiment y réfléchir. Oui, il y en a partout, dans les champs immenses du Midwest américain, j’en ai vu des quantités astronomiques en voyageant en voiture, ça s’étendait à perte de vue, c’était presque… impressionnant, mais aussi un peu triste, je sais pas pourquoi.

Le riz, par exemple, ma grand-mère, elle faisait un riz au lait à tomber par terre… un rituel familial, une histoire qui se transmet depuis des générations. On parle de culture là, pas seulement de calories. Et le blé ! Pensez à toutes les traditions autour du pain, la baguette française, le naan indien… des milliards de personnes, depuis des siècles, leur vie est liée au blé, à sa culture, à sa transformation… c’est pas juste une plante, c’est un symbole, une histoire.

Le maïs, lui… à part les tortillas, qu’est-ce qu’on peut vraiment dire ? Oui, il y a les chips, le pop-corn… mais est-ce que ça représente vraiment une culture, au sens profond du terme ? Je me pose la question. Pour moi, c’est plus une culture industrielle, optimisée pour la production de masse, pas une culture ancrée dans des traditions ancestrales, dans des rituels… c’est peut-être subjectif, mais bon… j’ai pas l’impression que le maïs nourrisse l’âme, comprenez-vous ? Il nourrit le corps, oui, c’est indéniable, mais l’âme… c’est différent.