Quelle est la meilleure façon de boire du café ?
Oh, la question du café parfait ! Pour moi, cest une affaire de température et dambiance. Un café trop chaud, cest une brûlure immédiate et une dégustation gâchée. Trop froid, cest une déception, une tristesse aromatique. Lidéal ? Un 60-70°C, un petit nuage de vapeur, une chaleur réconfortante qui laisse pleinement sexprimer la richesse des saveurs, un vrai moment de bonheur.
Le café… Ah, le café ! Comment le boire au mieux ? Franchement, c’est une question qui me hante, presque. C’est tellement personnel, non ? Pour moi, c’est tout une ambiance, une question de feeling. Déjà, trop chaud… Non, vraiment. Brûlure assurée. Adieu les saveurs subtiles. Et puis ce petit goût amer, de cramé… beurk ! Souvenir cuisant d’une gorgée trop rapide un matin de rush… j’en ai encore des frissons ! Trop froid ? L’autre extrême. Genre café oublié dans un coin… fade, triste à mourir. Quel gâchis !
Alors, le juste milieu ? Tiède ? Oui, mais pas trop. Autour de 60-70 degrés, paraît-il. Je n’ai pas de thermomètre, hein, je fais au pif. Mais quand je vois ce petit filet de vapeur qui danse au-dessus de la tasse… Cette chaleur douce qui enveloppe les mains… Là, je me dis, ça y est. C’est le moment. On peut y aller. Le parfum qui se libère, intense… Un vrai moment de bonheur, quoi. Comme ce matin, sous la véranda, avec le bruit de la pluie… Un café comme ça, c’est presque méditatif. J’ai lu quelque part qu’il ne fallait pas dépasser 70°C pour préserver les arômes… Enfin bref, je ne sais plus trop. L’important, c’est le plaisir, non ? Et puis chaque café est différent… Un robusta corsé du matin, c’est pas pareil qu’un arabica léger après le dîner. Des fois, j’avoue, je le bois même froid, en été, avec des glaçons… C’est un autre plaisir, plus rafraîchissant. Bref, pas de règles absolues ! Juste l’envie, le moment, l’instant présent.
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