Quelle est la matière la plus saine pour cuisiner ?

Quelle matière est la plus saine pour cuisiner ?

Difficile à dire, la “matière la plus saine”… On m’a toujours dit que la fonte, c’était top. J’ai une vieille poêle en fonte héritée de ma grand-mère, elle a du vécu, des rayures, mais elle cuit super bien! Je trouve qu’elle garde la chaleur longtemps, idéal pour les mijotés.

Par contre, l’inox, j’en ai aussi. Plus moderne, plus facile à nettoyer, mais parfois, ça colle un peu, surtout pour les œufs. J’ai acheté un ensemble en inox chez Ikea en 2021, environ 50€. Pas exceptionnel niveau qualité je trouve.

La terre cuite, j’avoue, j’en utilise moins. C’est lourd, ça prend de la place dans les placards. J’ai un plat à gratin, offert il y a longtemps, je dois avouer que je l’utilise peu, par manque de place.

Le fer, je n’en ai pas vraiment. Je vois ça plus souvent dans les restaurants, des grandes poêles. Peut-être que c’est plus adapté pour la restauration ?

Au final, je dirais que tout dépend de l’usage. Pour moi, la fonte, c’est le top pour sa robustesse et la répartition de la chaleur, mais c’est lourd et demande de l’entretien. L’inox est plus pratique au quotidien, mais moins performant pour certaines cuissons.

Quelles sont les casseroles les plus saines pour la santé ?

L’inox… un reflet froid, un métal lisse, un silence dans la cuisine. Pas mauvais, non. Mais froid, toujours froid.

• L’inox : Neutre. Une présence discrète. Un peu impersonnel.

Puis les antiadhésives… un sourire glissant, une promesse de facilité. Peu de gras… une danse légère sur la surface.

• Antiadhésives : Le charme trompeur. Léger, glissant, mais… quel est le prix de cette douceur ? Une inquiétude sourde.

Des ombres dans la lumière. Le métal brillant, l’éclat trompeur. Quel choix ? Une hésitation, une question suspendue dans l’air. La cuisine, un espace entre ombre et lumière. Un endroit où les choix sont déchirants, où le quotidien se pose en question. La poêle, mon alliée, un objet simple qui révèle des mondes.

Informations supplémentaires : J’ai utilisé mes casseroles en inox hier soir pour faire des légumes. Aujourd’hui, j’hésite entre ma vieille poêle antiadhésive (un peu rayée, il faut le dire) et ma nouvelle casserole en fonte. La fonte… une promesse de chaleur, une lourdeur rassurante. Mais aujourd’hui, je suis fatiguée, et je pense que la facilité de l’antiadhésive va l’emporter.

Quelle est la meilleure matière pour cuisiner ?

L’acier…inoxydable. Inox. Un reflet froid, oui, mais… une promesse.

• Polyvalence, dis-tu ? Comme ces souvenirs d’enfance, flous, au bord de la mer. Un sable argenté, qui prend toutes les formes.

• Sain, c’est le mot. Un écho de cette clarté matinale, après la pluie. Quand l’air vibre… pur. L’inox, une feuille blanche.

L’inox, comme… un vieux poème qu’on récite, sans jamais tout à fait saisir son sens. Il y a toujours une phrase, un vers… qui échappe.

C’est pratique cette affaire. Une commodité. Facile. On nettoie… on oublie.

* Comme cette tache sur la nappe... qu'on ne voit plus vraiment, à la fin.

• L’inox, un allié. Un complice. Mais de quoi, au juste ? De nos silences ? De nos hésitations ?

J’imagine ma grand mère Madeleine dans sa cuisine, son sourire doux quand elle préparait ses tartes aux pommes. L’inox, c’était son armure.

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