Quel est le poisson d’eau douce le plus cher ?
La carpe Koï, poisson d'eau douce originaire du Japon, est souvent considérée comme le plus cher. Les spécimens de qualité supérieure, notamment la variété Kohaku, peuvent atteindre des sommes considérables. Un record de plus d'1,6 million d'euros a été établi pour une carpe Koï nommée "S-Legend", faisant d'elle le poisson le plus cher au monde.
Poisson deau douce le plus cher ?
Le poisson d’eau douce le plus cher? Oula, c’est simple: la carpe koï, et pas n’importe laquelle! Celles qui viennent direct du Japon, les vraies de vraies, ça peut chiffrer sévère.
J’ai lu une histoire incroyable, je crois que c’était en 2018 ou 2019… Un truc de fou. Une carpe koï, une Kohaku de 101 cm, surnommée “S-Legend”, vendue…accrochez-vous… plus d’1,6 million d’euros! Un truc de dingue, j’en revenais pas.
Une femelle de 9 ans, si je me souviens bien. Ça lui a carrément valu le titre de poisson le plus cher du monde. C’est fou, non? J’imagine le collectionneur… et le bassin qu’il doit avoir.
Poisson d’eau douce le plus cher? Carpe Koï (surtout Japon)
Prix record? 1 600 000+ €
Nom de la carpe record? S-Legend (Kohaku)
Taille de S-Legend? 101 cm
Quel est le poisson le plus cher au Japon ?
Le poisson le plus cher du Japon ? Un thon, évidemment ! Pas n’importe quel thon, hein ! Un mastodonte, un roi des mers, un spécimen aussi gros que ma voiture (une Clio, faut pas déconner non plus !).
788 000 dollars, ça pique ! J’aurais pu acheter une île déserte avec ça, genre, une toute petite, genre un rocher avec un palmier, mais bon.
- Le truc de fou ? C’était à Toyosu. Le marché aux poissons, quoi. Imaginez la cohue ! Plus de monde qu’à une braderie de soldes.
- Vendredi 5 janvier. Journée mémorable, pour le porte-monnaie de l’acheteur, surtout.
Ce thon, c’est du rouge, hein, pas du pané surgelé du supermarché. Non, non, on parle d’un truc de légende. On dirait un sous-marin, ce truc.
Bref, un thon de luxe ! Si j’avais gagné au loto, j’aurais probablement fait pareil (enfin, peut-être pas… j’aurais plutôt investi dans des chats persans).
Points importants: Prix astronomique, thon rouge géant, enchères à Toyosu.
Punaise, j’en salive encore en y pensant… Ah, et j’ai oublié de préciser: ma mère déteste le poisson. Ironie du sort.
Pourquoi le thon est-il si cher au Japon ?
Bleu profond. L’océan froid d’Aomori. Un frisson. Millions d’euros. Oma… Oma… le nom résonne. Comme les vagues. Contre la coque. Du bateau. Le bateau qui l’a pêché. Ce thon. Ce roi.
- Oma: Un lieu, une légende. Le thon d’Oma.
- Aomori: Froid. Nord. Richesse. Poisson. Abondance. Mais… rareté.
- Millions: Un prix. Vertigineux. Comme la profondeur. De l’océan.
Le thon… Chair rouge. Presque noire. Une texture. Un goût. Unique. Cher. Si cher. Pourquoi ? Oma… Le meilleur. La qualité. L’excellence. La tradition. Les enchères. Le rituel. Le premier thon. De l’année. Un symbole. De prospérité. Un morceau de rêve. Sur un lit de riz. Un luxe.
Je me souviens… Marché aux poissons. Tsukiji. L’odeur. Le cri. Des vendeurs. La foule. L’excitation. L’adrénaline. Les flashs. Des appareils photo. Un instant. Suspendu. Le thon. Vendu. Disparu. Englouti. Par la ville. Tokyo. Insatiable.
- Enchères: La compétition. Le prestige. La folie.
- Tradition: Un héritage. Un savoir-faire. Respect.
- Qualité: La chair. La texture. Le goût. Incomparable.
Oma… Plus qu’un nom. Une promesse.
Quel est le nom des poissons japonais ?
Poisson japonais… Fugu. Dangereux celui-là. Toxique même. On enlève les parties toxiques. Sinon… aïe.
Hirame… Plat comme une… plie ? Ouais une plie. Je préfère grillé. Avec du citron. Faut que j’en achète. Demain peut-être. Ou pas.
Iwashi… Sardines… J’en ai mangé en boîte l’autre jour. Avec du riz. Simple et bon. Iwashi, facile à retenir.
Kasago… Rascasse… Jamais goûté. Ça doit être bon. Kasago. À essayer un jour.
- Fugu: Poisson-globe. Risqué. Très risqué.
- Hirame: Différents types de plies. Grillées, un délice.
- Iwashi: Sardines. Boîte, riz. Parfait.
- Kasago: Rascasse. Mystère culinaire.
Liste de courses… Pain, lait, bananes… Peut-être des iwashi ? Non, fugu. Je rigole ! Trop peur. Hirame alors. Et des pommes. Rouges. J’aime bien les pommes rouges. Granny Smith. Trop acides. Fuji, c’est bien. On verra.
Hier soir… Film nul. Vraiment nul. J’aurais dû lire à la place. J’ai commencé un nouveau bouquin. Sur les poissons. Non je blague. Sur l’histoire du Japon. Intéressant.
Pourquoi le bœuf a-t-il été interdit au Japon ?
Attends, pourquoi le bœuf interdit au Japon, déjà ? C’était pas juste une question de religion ou… de respect des animaux ? Manger de la viande et prier, incompatibles ? Cent jours d’attente ? Bizarre.
C’était l’empereur Tenmu en 675, avril. Interdiction de la viande à quatre pattes. Bœuf donc, mais pas que. Et les oiseaux ? Les poissons ? On pouvait en manger ? Ma grand-mère disait toujours… non, ça n’a rien à voir.
- Religion : Le shintoïsme, bouddhisme ? Influence ?
- Empereur Tenmu : Pourquoi lui ?
- 675 : Contexte historique ? Qu’est-ce qui se passait d’autre ?
- Viande à quatre pattes : Restriction précise, les autres viandes étaient ok ?
- Purification : 100 jours avant de prier, c’est long ! D’où ça vient ?
- Sanctuaires/temples : Lien fort avec la religion, forcément.
Est-ce que c’était une question de santé ? De ressources ? Ou juste un caprice d’empereur ? Difficile à savoir vraiment. Mais cette interdiction, elle a duré combien de temps ? Et puis, aujourd’hui, on mange du bœuf au Japon, hein. Alors, qu’est-ce qui a changé ? Un truc m’échappe.
- Levée de l’interdiction : Quand, pourquoi ?
- Consommation actuelle : Populaire ou pas ?
- Perceptions modernes : Qu’en pensent les Japonais d’aujourd’hui ?
Faudrait que je demande à Hiro, mon prof de japonais. Il saurait sûrement ça. Ou alors, je cherche sur internet. Mais bon, on trouve tellement de trucs faux…
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