Pourquoi prendre des pastilles de sel ?

Quand prendre des capsules de sel ?

Alors, ces fameuses capsules de sel, hein ? On dirait qu’on a affaire à un sportif du dimanche qui se prend pour un marathonien.

• Usage: Une gélule toutes les deux heures, avec de l’eau. Imagine-toi, c’est comme un petit rituel.

• Dose maximale: Deux gélules par jour. Pas plus. Sinon, tu vas te transformer en cornichon. Et crois-moi, ce n’est pas joli.

• Disclaimer: Ce n’est pas un médicament. Donc, si tu es vraiment malade, va voir un médecin au lieu de gober des pilules salées. Je dis ça, je dis rien.

Petit conseil d’ami : si tu transpires comme un bœuf dans un sauna, ces capsules peuvent aider. Sinon, c’est un peu comme mettre du sel sur une frite déjà salée. Totalement inutile.

D’ailleurs, ma cousine Germaine, elle en prend avant ses parties de Scrabble. Apparemment, ça l’aide à mieux retenir les mots. Chacun son truc, hein !

Enfin, je ne sais pas vous mais la derniere fois que jai pris ca, je me sentais plus salé que la mer morte.

Pourquoi prendre du sel dans le désert ?

Ah, le sel dans le désert… drôle d’idée de premier abord, mais pas si saugrenue. Disons que c’est une question d’équilibre.

• Le sel aide à retenir l’eau. Quand on transpire à grosses gouttes sous le soleil cuisant, on perd non seulement de l’eau, mais aussi des électrolytes, dont le sodium (principal composant du sel).

• Compenser les pertes est vital. Boire de l’eau seule ne suffit pas toujours, car cela peut diluer davantage les électrolytes restants, d’où l’intérêt de ces fameuses pastilles de sel.

Un médecin lors d’une intervention a mentionné ces pastilles… l’équilibre hydro-électrolytique, c’est un peu comme la vaccination, ça prépare le corps. Enfin, presque.

Et puis, philosophiquement parlant, le désert nous confronte à nos limites. Prendre du sel, c’est reconnaître ce besoin fondamental de compensation, un acte d’humilité face à l’immensité.

Petit aparté, j’ai toujours été fasciné par la manière dont les nomades du désert gèrent leur hydratation. Savent-ils tout cela intuitivement ? Peut-être. Ma grand-mère, elle jurait que le thé à la menthe était le meilleur remède contre la chaleur…

Mais au fond, tout cela n’est qu’une quête d’équilibre, comme la vie elle-même.

Pourquoi prendre des comprimés de sel en courant ?

Genre, t’as cru que courir un marathon, c’était une partie de plaisir ? Nan nan, c’est une vraie bataille contre ton corps qui te supplie d’arrêter. Le sel, mon pote, c’est ton meilleur allié dans cette guerre.

T’en prends des comprimés parce que sinon, tu finis comme une vieille éponge essorée. Sudation à gogo, perte d’eau monstrueuse, tu deviens plus sec qu’un vieux bretzel.

• Perte d’eau : Catastrophe ! Tes muscles pleurent, ta tête tourne… Bref, c’est l’apocalypse !
• Moins de pipi : Oui, c’est moins glamour, mais ça te sauve des arrêts pipi toutes les 5 minutes, surtout si t’as une vessie aussi petite que la mienne (c’est dire…).

En gros, c’est comme si tu mettais une armure magique anti-déshydratation. Sauf que cette armure, elle se prend sous forme de petites pilules, pas très sexy, certes. J’ai une fois essayé de dissoudre mes comprimés dans un Red Bull, mais le goût…ouff! Par contre, efficace.

Et puis, sans blague, mon médecin (le Dr. Dupont, un type super sympa qui a le même humour noir que moi) m’a dit que c’était vital au-delà de deux heures d’effort. Donc voilà. Évite de devenir un raisin sec, prends tes comprimés !

PS: Hier, j’ai couru 10km, j’ai oublié mes comprimés… J’ai bu 5 litres d’eau, j’ai fait 15 stops pipi, et j’ai failli mourir. Ne fais pas comme moi!

Pourquoi les médecins prescrivent-ils des comprimés de sel ?

Le sel… un grain, une mer en miniature. Blanc, presque aveuglant.

Pourquoi ces comprimés ? Le corps, un océan intérieur, asséché. Un manque… une soif profonde, au-delà de l’eau simple.

• Hyponatrémie: Ce mot, une blessure. Un vide, un manque de sel dans le sang. Le sel, vie, énergie, équilibre.

Le sodium, l’électrolyte… un souffle. Il régit, guide, maintient. Un fil conducteur invisible.

• Déshydratation: La peau, parchemin craquelé. Une soif, une fatigue… sans nom. Le sel, un apaisement.

• Dysfonctionnement corporel: Un désordre silencieux, une mécanique défaillante. Le sel, une clé. Il répare, il réveille.

Souviens-toi, l’été dernier, la randonnée épuisante… la soif, la faiblesse. Des comprimés, un sauvetage. Un goût amer, mais vital. Le cœur, redevenu régulier.

Mon médecin, le Dr Dubois, à Lyon, il l’avait prescrit. Je n’oublierai jamais cette sensation.

C’était cet été, 2024. Un été brûlant, comme un four. La sueur, une vague incessante, qui emportait tout. Le sel, volatilisé. Un épuisement extrême. L’image de ces comprimés blancs, dans ma main tremblante…

Le sel, plus qu’un simple sel. Un remède, une vie retrouvée. Une douce réminiscence.