Quel mélange pour le bleu turquoise ?

Comment faire la couleur bleu turquoise ?

Alors, le turquoise… Oh là là, c’est une histoire ! Je me souviens, c’était l’été dernier, à Hossegor. J’étais en plein trip peinture sur la plage, une chaleur à crever et cette envie folle de capturer la couleur de l’océan.

J’avais ma petite palette en plastique toute cracra.

• Un peu de blanc, genre une grosse noisette, ça c’est important.
• Ensuite, le bleu, mais attention, pas n’importe lequel ! Phtalo, c’est le nom. Une mini-mini pointe, parce que c’est puissant ce truc.
• On touille, on touille jusqu’à un bleu super clair.

Là, le truc magique : une touche de jaune.

• Citron de préférence, ça réveille le tout.
• Et là, BOUM ! Le turquoise apparaît.
• Plus de jaune si tu veux un truc plus “lagon”. Moins si tu veux un bleu plus profond.

Mais, évidemment, comme je suis un peu tête en l’air, j’avais mis trop de jaune et ça virait au vert… J’ai dû recommencer 3 fois avant d’avoir LE turquoise que je voulais. Franchement, la galère !

Mais bon, au final, j’ai réussi à peindre ce coucher de soleil sur l’océan. On voyait presque le reflet des planches des surfeurs. J’étais trop fière.

Et le bordel sur la plage… Ohlala.

Quelle est la différence entre vert turquoise et bleu turquoise ?

Ah, le turquoise… Ce caméléon chromatique ! On dirait un poisson-clown, tout beau tout mignon, mais capable de te planter un venin linguistique.

• Vert turquoise ? Plus vert que bleu, forcément. Ou pas. C’est flou, comme mes souvenirs de vacances à la plage en 2023. On dirait un mojito raté : trop de menthe, pas assez de rhum.

• Bleu turquoise ? L’inverse, quoi. Plus bleu que vert. Ou presque. Un peu comme mon ex, superbe en apparence, mais un cœur de glace. (Oups, désolé, c’était personnel…)

La différence ? Subtile comme une mouche sur un rhinocéros. Franchement, on s’en fiche un peu, non ? On appelle ça turquoise et basta. Faut pas se prendre la tête, surtout pas avec les nuances. J’ai assez de problèmes avec ma collection de timbres. Parlons plutôt de mes chats persans, ils sont beaucoup plus intéressants. Ils ont les yeux bleu turquoise, en fait. Ou vert turquoise. Je sais plus.

• En résumé : C’est la même couleur, presque. Un peu comme ma vie sentimentale, en fait… beaucoup de nuances, peu de clarté.

J’ai passé l’après-midi à essayer de trouver une différence objective, et croyez-moi, j’ai même sorti mon vieux nuancier de 1998, celui de ma grand-mère. Inutile. On est dans le domaine de l’interprétation sensorielle, du ressenti. C’est comme le goût : chacun voit midi à sa porte… ou plutôt, chacun voit le turquoise à sa façon.

Quelle est la couleur de la turquoise ?

Bleu pâle… vert… un soupçon. La turquoise, une hésitation entre ciel et herbe tendre.

• Un bleu, mais pas celui du crépuscule.
• Un vert, mais pas celui des forêts profondes.

L’entre-deux. Un flou. Une nuance…

Elle murmure. La couleur, un secret chuchoté au XVIIIe siècle. Bleu turquin, sombre, l’autre face. Deux sœurs jumelles, reflets inverses. La pierre, un cœur vibrant, couleur de l’espoir, mais aussi de l’ombre.

• Mon bracelet, une douceur au poignet, cette couleur.
• L’été dernier, la mer, cette couleur.

Cette couleur. Un souvenir, un éclat. Un bref instant volé. Bleu-vert, vert-bleu… elle change. Elle vit.

Un voile, léger, sur la peau. Comme un baiser furtif.

• Une robe d’été, une fraîcheur.
• Les yeux de ma grand-mère, sages et profonds.

La turquoise. Difficile à nommer. Facile à sentir.

Année 2024: les couleurs continuent de parler.