Quel est le type de commerce de Yves Rocher ?

Yves Rocher… commerce de gros de produits de beauté, disent-ils. Mouais, c’est vrai, mais ça dit pas tout, vous voyez ? C’est tellement plus que ça ! “Grande Entreprise”, “B2B”… Ces termes froids, ça me laisse de glace. Ils ne rendent pas justice à la magie, à la petite histoire derrière la marque. Genre, moi, je me souviens encore du premier pot de crème à la camomille que ma grand-mère avait. L’odeur, douce et réconfortante… on aurait dit un champ en fleurs. Est-ce que “commerce de gros” évoque ça, franchement ? Non !

Et puis, cette idée de “produits de beauté”… C’est réducteur, je trouve. Pour moi, Yves Rocher, c’est presque une philosophie. Un respect de la nature, une connexion avec la plante… Je me rappelle cette pub, il y a longtemps, avec les champs de fleurs en Bretagne. Ça m’avait marquée. On sentait presque le vent marin, l’air pur… C’est plus qu’un simple mascara ou un shampoing, c’est toute une ambiance.

SAS, B2B… pfff… On s’en fiche un peu, non ? Ce qui compte, c’est l’expérience. Ce sentiment de bien-être, de se faire du bien avec des produits qui sentent bon, qui font du bien à la peau. J’ai lu quelque part, je ne sais plus où, qu’ils utilisent beaucoup d’ingrédients naturels. Un truc genre 70% ou plus, je crois. Bon, après, je ne suis pas une experte hein! Mais ça me rassure, cette idée.

Alors oui, “commerce de gros”, techniquement, c’est peut-être la bonne définition. Mais pour moi, Yves Rocher, c’est bien plus que ça. C’est une madeleine de Proust, un souvenir d’enfance, une promesse de douceur. Et ça, aucun classement “Grande Entreprise” ne pourra jamais le traduire.