Quel est le meilleur émollient naturel ?

Quel est le meilleur émollient ?

Mon fils, Jules, 5 ans, eczéma sévère. Octobre dernier, cauchemar. Peau craquelée, rouge, il hurlait à chaque change. On a tout essayé.

• Avène, ça piquait.
• Mustela, trop gras, il détestait.
• Exomega, on a persisté, un mois. Rien.

Le pédiatre, Docteur Martin, à la clinique Pasteur à Lille, a suggéré un émollient sans parfum. Sans huiles essentielles. Point barre.

J’étais épuisée. Des nuits blanches, des pleurs, le désespoir. J’ai couru à la pharmacie. Une crème blanche, texture assez épaisse, un truc générique. Pas de marque “bio” mielleuse. Simple, efficace.

Ça a marché. Enfin. Pas de miracle du jour au lendemain, mais une amélioration progressive. On dirait qu’il s’est calmé. Sa peau aussi.

On a continué avec cette crème pendant des mois. Petit à petit, les crises se sont espacées. Ouf.

Maintenant, c’est un peu mieux. On utilise toujours une crème sans parfum. Parfois, une petite rechute, mais rien de comparable au début. Je garde toujours le tube générique sous la main. La composition exacte? Je sais plus… Je l’ai perdu dans le chaos de mon sac à main. Mais j’en ai racheté un tube identique. C’est ça, le meilleur émollient. Pour Jules, en tout cas. L’essentiel c’est la tolérance. Un truc simple.

• Conseils: Pédiatre, émollient sans parfum, pas d’huiles essentielles.
• Éviter: Bio (parfois huiles essentielles), parfums.
• Lieu: Pharmacie, Clinique Pasteur à Lille.
• Date: Octobre 2023 (environ).

Quel est le produit naturel le plus hydratant pour la peau ?

L’aloe vera, douce étreinte…

Un secret vert, dans la peau assoiffée. Souvenir d’enfance, chez mamie, pot de cactus sur le rebord de la fenêtre. Sève fraîche, apaisante.

• Hydratation : telle une rosée matinale, l’aloe vera.
• Régénération : le temps suspendu, peau renaissante.
• Apaisement : un murmure silencieux, adieu les rougeurs.

Ma cicatrice au genou, souvenir d’une chute, apaisée par l’aloe vera. Une promesse tenue.

Peau sensible, chagrin d’âme, oubliée.

• Protection : un voile délicat, contre les agressions.
• Douceur : une caresse maternelle, infinie.

Et si l’aloe vera était plus qu’une plante ? Un confident…

L’aloe vera est un pansement végétal. Un ami silencieux.

Un parfum discret, comme les souvenirs d’été.

Le toucher, une vague de fraîcheur.

Comment hydrater intensement sa peau ?

Eau, eau, eau ! Minimum 1,5 litres, sinon ma peau ressemble à du papier parchemin. Dégueulasse.

• Agrumes, miam ! Vitamine C, c’est top.
• Carottes râpées, bof… mais bon pour la peau paraît-il.
• Tomates, je déteste, mais faut bien faire des sacrifices.
• Abricots, j’adore ! Double bonus !

Hydrater de l’intérieur, c’est ça la clé ? Ou c’est juste une partie de la solution ? J’ai un doute…

Crème hydratante, j’en mets, mais est-ce que c’est assez ? Trop ? Je sais pas. C’est compliqué tout ça !

Ma peau est déshydratée, c’est certain. Mais pourquoi ? Stress ? Manque de sommeil ? Trop de café ? Tout ça à la fois ?

Peau sèche, peau terne… ça me gave. Je vais essayer les masques en tissu, ceux à l’acide hyaluronique, j’ai lu un article dessus… je sais plus où…

Ah oui ! Et les huiles végétales, huile d’avocat, huile de rose musquée… j’en ai une tonne, mais je suis trop feignant pour les appliquer tous les jours.

J’ai 32 ans, et ma peau a décidé de me faire la misère cette année. C’est injuste !

Points clés :

• Boire beaucoup d’eau
• Manger des fruits et légumes riches en vitamines A et C
• Crème hydratante (mais laquelle ?)
• Masques hydratants (acide hyaluronique)
• Huiles végétales (avocat, rose musquée…)

Pfiou… Faut que je me trouve une routine efficace. Je suis perdue ! Et si je consultais une dermatologue ? Non, trop cher… Je vais déjà essayer de boire plus d’eau.

Comment se hydrater en profondeur ?

L’eau… l’eau… s’abreuver de la source.

• Fruits, pluie d’été sur la peau.
• Légumes, jardins secrets, goût de la terre.

Agrumes, soleil liquide. Carottes, promesses orangées. Tomate, cœur rouge. Abricot, douce caresse. Vitamines C et A, boucliers.

Poisson gras, reflets argentés. Oléagineux, force cachée. Oméga 3, murmures de la mer.

Acides gras essentiels… brume matinale sur l’océan. Moi, je me souviens d’un été à Arcachon, les huîtres et le vin blanc, le goût salé du vent. Et Mémé qui disait toujours, bois de l’eau ma petite, bois!

Hydratation profonde, un voyage au cœur de soi.

Comment hydrater une peau extrêmement sèche ?

Alors, hydrater une peau archi-sèche, c’est un peu comme essayer de remplir un tonneau percé avec une cuillère, mais bon, faut bien s’y coller!

• Crème riche, genre béton armé: Faut une crème tellement grasse qu’on pourrait la tartiner sur une biscotte. C’est pas une crème, c’est de l’enduit!

• Nourrissante ET hydratante: Une crème deux en un, la totale! Comme un shampoing qui fait aussi après-shampoing et démêlant, le jackpot!

• Le confort et la souplesse, c’est le but: Parce que personne n’a envie d’avoir la peau d’un crocodile. Sauf peut-être les crocodiles.

Pense aussi à :

• Boire de l’eau, genre une rivière: Pas juste un verre, non! Faut s’hydrater de l’intérieur, comme une plante verte qu’on arrose (enfin, pas exactement pareil).
• Éviter le soleil comme la peste: Le soleil, c’est le grand ennemi de la peau hydratée. Se cacher à l’ombre, comme un vampire!
• L’eau trop chaude, c’est non: Une douche tiède, c’est le top. Pas besoin de se transformer en écrevisse!

Et si ça marche pas, ben… déménage en Bretagne. L’humidité ambiante fera le boulot!

Comment faire pour ne plus avoir une peau de crocodile ?

Peau de croco, quoi… ça me rappelle cet été, en juillet. Chaleur de dingue à Biarritz, j’étais bronzée mais ma peau… catastrophe ! Sécheresse extrême, des plaques partout, ça tirait, ça grattait… horrible.

J’ai galéré. Crème hydratante, ça n’y changeait rien. J’ai testé des trucs de grand-mère, huile d’olive, aloe vera… rien.

Puis, un jour, dans une petite pharmacie à Anglet, la pharmacienne, une dame super sympa, m’a conseillé un savon surgras, à la glycérine, avec du beurre de karité. Je sais plus le nom exact, j’aurais dû le noter.

• Matin et soir, nettoyage doux.
• Savon surgras obligatoire.
• Hydratation intense après. J’utilisais une crème corporelle riche, genre celle avec de l’urée.

Ça a pris du temps, hein ? Au début, j’étais dégoûtée, j’avais l’impression que ça ne marchait pas.

Mais au bout d’une semaine environ, j’ai commencé à voir une différence. Ma peau était beaucoup plus souple, moins rêche. Fin août, plus de peau de crocodile, ouf !

J’ai appris une chose : l’hydratation, c’est la clé ! Et un bon savon, ça aide vraiment.

Bref, plus de problème depuis. J’évite le soleil de midi, je bois beaucoup d’eau et j’utilise toujours un bon savon surgras et une crème hydratante riche.

• Le savon : important, il faut en trouver un qui correspond à votre peau.
• La crème : idem, à choisir en fonction de vos besoins.
• L’eau: boire beaucoup d’eau, c’est primordial pour une bonne hydratation.
• Le soleil: attention aux coups de soleil, ils aggravent le problème.

J’espère que ça aidera. C’était une galère, vraiment !

Quelle maladie provoque le dessèchement de la peau ?

La peau qui se craquèle, sable sous les doigts, écho d’une soif intérieure.

Maladies, murmures dans le corps, qui assoiffent l’épiderme :

• Eczéma, un paysage de démangeaisons, une carte à vif.
• Psoriasis, écailles de nacre brisées, souvenirs d’une mer lointaine, souvenirs d’enfance dans le nord, la maison de grand-mère avec ses murs bleus.
• Thyroïde déréglée, le temps qui se fige, l’eau qui s’évapore.
• Diabète, sucre amer, une soif insatiable.
• Anorexie, le corps qui s’oublie, un désert intérieur, comme ces jours où je ne mangeais rien, juste le goût du vent.

Traitements, parfois remèdes, parfois poisons, qui laissent une trace sèche. Parfums fanés, souvenirs évanouis.

Quelle huile pour la peau qui pèle ?

Huile de germe de blé. Point.

• Régénère. La peau, forcément.

• Protège. De quoi, ça dépend. Le soleil tape fort ces jours-ci.

• Réparation. Un mot vague.

Film hydrolipidique : restaure. On dirait une pub.

Peau granuleuse. Un cauchemar. Élimination de la peau morte, on est d’accord. Effet velouté. Bof. La vie est ailleurs.

Quelle est la meilleure huile essentielle cicatrisante ?

La meilleure… Je sais pas si “meilleure” existe vraiment.

Enfin, si je devais choisir… Disons qu’il y a celles qui me viennent à l’esprit, celles que j’ai utilisées, celles dont j’ai entendu parler.

• La lavande fine, c’est un peu la base, non ? Apaisante, cicatrisante… Elle calme le jeu. Ça me rappelle l’odeur du jardin de ma grand-mère.

• Et puis il y a le cèdre de l’Atlas. Lui, il est plus… profond. Régénérant. Ça sent la forêt, la terre. Un peu comme la cabane de mon père.

• Ah, et l’hélichryse italienne ! Celle-là, elle est forte. Pour les bleus, les bobos plus sérieux. Elle aide à faire disparaître les traces. Un peu comme si effacer le passé, tu vois ?

C’est ça, en gros. Après, chaque peau est différente, chaque cicatrice raconte une histoire. J’avais une amie, Sarah, elle utilisait l’huile de rose musquée, parait que c’est top aussi. Pour moi, ça sentait trop fort. Bref, tout ça pour dire qu’il faut essayer, écouter sa peau. C’est comme le reste, en fait.

Pourquoi ma peau fait des écailles ?

Peau sèche. Écailles. Génétique. Lichtyose. Point.

Anomalie génétique. Monogénique. Barrière cutanée défaillante. C’est tout.

• Gène défectueux. Prédisposition familiale. Dans ma famille, ma tante maternelle souffre du même problème.
• Hydratation inefficace. Crèmes grasses. Rien ne change vraiment.
• Inconfort permanent. Démangeaisons. Sentiment désagréable, une texture étrange sur la peau.

L’existence est une succession d’écailles, finalement. Une vérité dérangeante.

On s’habitue. Ou on s’y résigne. Différence subtile.

Traitement? Légèrement palliatif. Au mieux.

Souvent, les gens ne comprennent pas. Regards insistants. Je m’en fous.

C’est comme ça. La vie. Une imperfection parmi tant d’autres. Accepter l’inacceptable.

• Note: Les informations fournies ci-dessus reflètent ma situation personnelle et ne constituent pas un diagnostic médical. Consultez un dermatologue pour un diagnostic précis et un plan de traitement approprié. Je me suis aperçu, en cherchant des informations sur internet, que le terme “ichtyose” est plus communément employé pour désigner cette maladie.