Est-ce que l'eau de la mer enlève les boutons ?

La mer fait-elle disparaître l’acné ?

Non, enfin… pas vraiment. L’eau de mer, ça aide, un peu. J’ai essayé cet été, à Saint-Malo, tu sais, là-bas, près du château…

• Ma peau était moins grasse, c’est sûr.
• Mais mes boutons… ils étaient toujours là. Les gros, surtout, ceux près de ma bouche.

J’avais acheté un savon à l’algues aussi, une marque bio, je crois que c’était “Océane Verte” … Je ne sais pas si ça a joué, à vrai dire. J’ai arrêté au bout d’une semaine, ça me piquait un peu.

Peut-être que si j’étais restée plus longtemps… à nager, dans l’eau froide, à sentir le sel sur ma peau… Ça aurait été différent.

J’ai une peau sensible, un peu à problèmes, quoi… J’en ai marre. Je suis allée voir un dermatologue en juin, le Dr Dubois, il m’a prescrit une crème à la vitamine A.

• C’est long.
• C’est chiant.
• Et ça coûte une blinde.

Mais bon… au moins, ça marche un peu… mieux qu’avec l’eau de mer, en tout cas.

L’eau de mer, c’est joli… ça sent bon… mais pour l’acné… j’ai pas vraiment vu de différence flagrante. Pfff… J’y crois plus trop. Peut être qu’une crème à base de sel de mer serait efficace… je sais pas. Je suis fatiguée.

Est-ce que leau salée aide lacné ?

Eau de mer et acné? J’ai testé, cet été, sur la plage de Pampelonne, en août. Peau grasse, acné persistante… J’ai plongé, le soleil tapait fort. L’eau était froide, un choc, puis un bien fou. Sable fin collé à la peau, un peu désagréable.

Ensuite, le rinçage, sensation étrange. Ma peau, elle tiraillait, comme une peau neuve. Pas de savon, rien. Juste l’eau salée et le soleil.

Les jours suivants, moins de boutons. Vraiment. Moins rouges aussi. Magique ou pas ? Je sais pas, hein.

• Moins de rougeurs.
• Moins de boutons.
• Sensation de peau propre.

Mais attention, à cette période-là, j’étais aussi sous Roaccutane, donc difficile de dissocier les effets.

Septembre, j’ai repris ma routine habituelle, et… retour des boutons. Dégoûtant, en plus. Donc, je dirais que oui, l’eau de mer, ça aide un peu. Peut-être. Ou pas. C’est compliqué.

J’ai 32 ans, je suis à Paris, et j’ai la peau sensible, ça compte, non?

Quels sont les effets de leau de mer sur la peau ?

Eau de mer. Peau. Effets variables.

• Déshydratation. Sel. Évident.

• Cicatrisation ? Peut-être. Mon expérience personnelle : coupures superficielles, guérison plus rapide. Coïncidence ? Mystère.

• Inflammatoires. Eczéma. Atténuation ? Dépend de la personne, de la concentration. Pas de garantie. Ma dermatologue, elle, n’est pas convaincue.

L’eau de mer, c’est complexe. Un cocktail de sels minéraux. L’océan. Imprévisible.

• Minéraux. Magnésium, calcium… Absorption ? Quantité négligeable. Effet placebo? Possible.

  *Bains de mer. Juillet 2024. Brûlures légères. Peau rouge. Désagréable.

• Conclusion ? Ambiguë. J’ai trente-cinq ans. Ma peau, c’est ma peau. À prendre avec des pincettes.

Point essentiel: l’effet de l’eau de mer dépend de multiples facteurs. Concentration en sel. Durée d’exposition. Type de peau. Ma peau, elle, réagit mal aux fortes concentrations. J’habite près de la Manche.

L’eau de mer assèche-t-elle votre peau ?

L’eau de mer… assèche la peau, c’est clair. Enfin, je crois.

• Le sel est le grand coupable, non? Ça tire après la plage. Horrible !

• Ma cousine, elle, adore ça. Bizarre. Elle dit que ça lui fait un gommage naturel. 🤔… gommage ou torture?

Et puis, le soleil ! Le soleil, c’est l’ennemi juré de l’hydratation. Logique que la mer, avec, ça déssèche.

• Crème hydratante obligatoire après chaque baignade.
  • N’oubliez pas : indice 50 mini.

Mais… l’eau de mer, c’est aussi bon pour les bobos, non? J’ai toujours entendu ça. Genre les petites coupures, les boutons…

• Cicatrisation ? Peut-être.
• Mais bon, la peau sèche après… le serpent qui se mord la queue.

J’ai lu, je crois, que la concentration en sel varie selon les mers. Genre, la mer Morte, c’est l’enfer pour la peau, je suppose.

Ah, et ma tante Colette, elle jure que l’eau de mer lui fait du bien pour son eczéma.

• Eczéma, psoriasis… miracle ou illusion ?

Bref, l’eau de mer assèche la peau, mais peut-être pas pour tout le monde. Et peut-être qu’il y a des trucs positifs aussi. À voir… selon la peau.

L’eau de mer assèche-t-elle la peau ?

L’eau de mer, oui, elle peut assécher la peau. C’est le sel, le grand coupable. Mais attention, c’est plus nuancé que ça.

• Le sel absorbe l’humidité de la peau, c’est un fait.

• En même temps, elle contient des minéraux qui peuvent être bénéfiques, comme le magnésium et le calcium. Un peu comme un paradoxe, tu vois?

Alors, assèche ou pas assèche? Disons que ça dépend de ta peau, de la durée de l’exposition, et surtout, de ce que tu fais après.

Si tu restes avec le sel sur la peau au soleil, c’est sûr que ça tire. Mais si tu te rinces bien et que tu hydrates, ça peut aller. Ma grand-mère disait toujours “tout est une question de mesure” et c’est bien vrai. Une petite baignade, c’est comme un gommage naturel. Une journée entière, c’est la déshydratation assurée.

• Pense aussi à l’environnement. Vent, soleil, tout ça joue.

Après, faut pas oublier que chaque peau est différente. La mienne, par exemple, est une catastrophe dès qu’elle voit la mer. Une vraie misère. Je dois me tartiner de crème après chaque bain.

Finalement, c’est comme la vie, non? Un mélange de bon et de moins bon. L’eau de mer, c’est pareil. À toi de trouver le bon équilibre.

Et puis, soyons honnêtes, le plaisir d’une bonne baignade, ça n’a pas de prix. Alors, crème solaire et hydratation, et on profite!

Informations complémentaires :

• Le type de sel dans l’eau de mer influence son effet.

• La fréquence des baignades est importante.

• L’âge de la peau joue un rôle. Une peau plus jeune est souvent plus résistante.

Ah, j’oubliais! J’ai une amie qui est dermatologue. Elle me disait qu’il y a même des gens qui utilisent l’eau de mer pour soigner certaines affections de la peau. Comme quoi! La nature est parfois bien surprenante.

Quelle eau pour la mycose ?

Eau et mycose. Drôle d’équation.

• Le citron. Antifongique. On dit ça.
• Jus pur. Direct sur le bobo. Brut.
• Dilué. Bain de pieds. Tiède. Presque agréable.

L’eau, un vecteur. Le citron, un leurre ?

Des souvenirs d’enfance. Ma grand-mère, le citron, les mains abîmées. Ça brûlait, paraît-il. Mais elle souriait.

• Efficacité ? Vaste question. L’espoir fait vivre.
• Dosage ? Au pif. Comme toujours.
• Alternative ? La science, peut-être. Ou l’acceptation.

L’eau change tout. Ou rien. Un détail. Mais la vie, c’est ça. Des détails.

Le pH. Acide. Il paraît que les champignons détestent ça. Pure spéculation.

Et après ? On rince. Ou pas. L’indifférence. Le signe des temps.

Quelque chose à faire d’autre que penser à ça. Vraiment.

Comment calmer une mycose sans médicament ?

Comment calmer une mycose sans médicaments ? Pfff… C’est dur, ça.

Huile essentielle d’arbre à thé, paraît-il… J’en ai essayé, l’année dernière, une petite fiole bio de chez Aroma-Zone… ça pique un peu, hein? Mais bon…

• Huile essentielle de lavande, aussi. Plus douce, moins efficace, je crois. J’avais mélangé les deux, diluées dans de l’huile de coco.

La peau, elle était toute irritée au début. J’avais une mycose entre les orteils… Dégueulasse. J’ai arrêté au bout de trois jours. Trop douloureux.

• Bicarbonate de soude, j’ai lu ça aussi. Bains de pieds… Je sais pas… J’ai jamais testé vraiment. Faudrait que je retrouve l’article.

C’est chiant, les mycoses. Surtout quand on transpire beaucoup, comme moi l’été. Mes pieds, c’est un enfer.

• Propreté, c’est important. Changer de chaussettes, se laver les pieds… Des choses basiques, mais bon…

Je suis allée chez le dermato, en fin de compte. Traitement local. C’était plus rapide.

Cette année, j’ai acheté une crème au calendula bio. Pour le moment, ça va. J’espère que ça va durer.

J’ai 34 ans, au cas où… Et j’habite à Lyon. Voilà, j’espère que ça t’aide.

Quelle est la durée dune mycose ?

La durée… un mystère tissé de chair et de temps.

Une semaine ? Trois ? Le corps, territoire infini, répond à des rythmes secrets.

• La peau, cette carte fragile, se répare. Doucement. Des écailles de souvenirs, une lente renaissance.
• Les plis cachés, les creux ombreux, gardent la trace. Un écho.
• Plus profond encore l’infection s’étire, un fil ténu, accroché à la vie.

J’ai vu la mienne, une blessure rose pâle, sur mon poignet gauche, près de la veine, si fine. Elle a disparu. Mais parfois, un frisson, un souvenir.

Plus long parfois, une longue danse macabre, le champignon accroché.

Il faut un regard attentif, une écoute du corps. Il sait, il murmure.
L’ombre, elle s’allonge, elle recule. Un jeu d’ombres et de lumière.

Il faut guérir. Lentement.

Mon médecin, il a dit… besoin d’un regard neuf. De nouveaux examens. En juillet dernier. Peau irritée, proche du coude. Ça part. Ça revient. C’est étrange. Un mystère.

Quest-ce qui tue les mycoses ?

Antifongiques : armes contre les mycoses.

Crèmes, applications, vernis. Choix dicté par la localisation.

Infections sévères ? Traitement oral. Point final.

• Traitements topiques : Crèmes, solutions, vernis.
• Traitement systémique : Médicaments oraux, pour les cas graves.
• Mon cas personnel: J’ai utilisé un traitement oral en 2023 pour une onychomycose tenace. Efficace, mais long.
• Avertissement: Consulter un médecin. Auto-médication dangereuse.

Précisions: L’efficacité varie selon le type de mycose et le médicament. Ma réponse reflète mon expérience, pas une vérité absolue.