Quel travail peut-on faire seul ?

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Métiers solitaires :

Pour ceux qui apprécient la solitude, plusieurs options soffrent à vous. Pensez à des professions comme développeur informatique, rédacteur web, monteur vidéo, comptable, graphiste, ou même mécanicien auto ou chauffeur routier. Le jardinage paysagiste peut aussi être une option.

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Travailler seul… C’est bizarre, non ? On s’imagine souvent qu’on est plus productif, plus concentré, sans les bavardages et les interruptions incessantes. Mais est-ce vraiment le cas ? Moi, je me souviens de ce stage où j’étais seule dans un bureau minuscule, face à mon ordinateur… L’enfer ! J’avais l’impression de devenir folle. Alors, quels métiers peut-on vraiment faire seul sans perdre la tête ?

Développeur informatique, ça revient souvent. Enfermé dans son monde de code… J’imagine que ça peut être cool pour certains. Un peu comme mon cousin Paul, passionné par l’informatique depuis tout petit. Lui, il serait capable de coder jour et nuit sans voir le temps passer. Rédacteur web aussi. C’est vrai que ça, j’avoue, ça me tenterait bien. Écrire tranquillement chez soi, en pyjama… le rêve ! Mais bon, est-ce qu’on peut vraiment appeler ça “seul” quand on est constamment connecté ? On est quand même relié au monde entier, en quelque sorte.

Et puis il y a les métiers plus manuels… Monteur vidéo, graphiste… Créer quelque chose de ses propres mains, seul maître à bord. Pas mal. Comptable… Mouais. Un peu trop austère pour moi. Mécanicien auto ? Chauffeur routier ? Là, on est vraiment seul, face à la route, face à la machine… J’admire ceux qui y arrivent. Mon oncle était routier, il parcourait des milliers de kilomètres chaque semaine. Il disait que la solitude lui permettait de réfléchir, de se retrouver…

Jardinier paysagiste aussi… En pleine nature, loin du bruit et de la fureur… J’ai lu quelque part qu’il y a une vraie tendance pour les métiers en lien avec la nature, d’ailleurs. Paraît que c’est bon pour le moral… Enfin, j’imagine… Parce que bon, sous la pluie, à désherber des massifs entiers… Pas sûre que ce soit toujours aussi idyllique. En fin de compte, je crois que la “solitude” au travail, c’est une question d’équilibre. Trop, c’est l’isolement. Pas assez, c’est le chaos. Le secret, c’est peut-être de trouver le juste milieu… non ?