Quel geste faire pour soulager la prostate ?

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Oh là là, la prostate, ce satané gland ! Le vélo, cest génial pour la forme, sauf si on a des soucis de prostate. Des heures sur une selle dure, cest une torture ! Franchement, il faut privilégier une selle ergonomique, voire un vélo couché. Lidée, cest déviter toute pression inutile sur la zone. On nest pas des robots, il faut écouter son corps !

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Oh là là, la prostate… Ce satané gland qui vous pourrit la vie, hein ? On en parle jamais assez, sauf quand ça devient insupportable, genre, impossible de dormir parce que vous avez l’impression d’avoir une boule de bowling coincée là-dessous. Vous connaissez ça, vous ? Ce sentiment désagréable, cette pression constante…

Le vélo, par exemple… J’adorais ça, le vélo ! Des balades à la campagne, le vent dans les cheveux… Jusqu’à ce que… Eh oui, jusqu’à ce que ça arrive. Des heures sur ma vieille selle en plastique dur, une véritable torture ! J’en pleurais, presque. Je me suis même retrouvé plusieurs fois sur le bas-côté, à me tordre de douleur. C’est là que j’ai compris : on n’est pas des machines, on est des êtres humains, avec des besoins… et une prostate, ma parole !

Alors, j’ai fait des recherches, bien sûr. J’ai lu des trucs… des études, paraît-il, qui disent que 70% des cyclistes souffrent de problèmes de prostate à un moment donné… 70% !!! Je sais pas si c’est vrai, mais ça m’a un peu refroidi. Enfin, refroidi, c’est un mot… disons que ça a confirmé mes soupçons.

Maintenant, je suis passé à une selle ergonomique. Une vraie révolution ! Un peu cher, c’est vrai, mais je peux vous dire que le confort… ça n’a rien à voir. Je me sens tellement mieux. Et puis, j’ai même songé au vélo couché… Bon, je suis pas encore prêt à en acheter un, j’ai l’impression d’être un escargot sur la route avec ça, mais je réfléchis sérieusement à la question.

Le principal, c’est d’écouter son corps, non ? Si vous sentez une gêne, une douleur, n’insistez pas ! Changez de selle, faites des pauses, voyez un médecin… Franchement, mieux vaut prévenir que guérir, hein ? Parce que moi, j’ai attendu trop longtemps… et j’ai vraiment regretté. Alors, écoutez-moi bien, vous, soyez prudents !