Pourquoi faire bouillir l’eau pendant 1 minute ?

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Faire bouillir de leau pendant une minute à 100°C (à moins de 1000 mètres daltitude) garantit lélimination de la plupart des micro-organismes nocifs, assurant ainsi une eau potable plus sûre. Cette méthode, validée par des études, est efficace pour prévenir les maladies dorigine hydrique.
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Pourquoi faire bouillir l’eau pendant 1 minute

L’accès à de l’eau potable est essentiel pour la santé humaine. Cependant, dans certaines régions, l’eau du robinet peut présenter des risques pour la santé en raison de la présence de micro-organismes nocifs. L’ébullition est une méthode simple et efficace pour éliminer ces agents pathogènes et rendre l’eau potable.

Destruction des micro-organismes

Lorsque l’eau atteint 100 °C, la température d’ébullition, les micro-organismes qui s’y trouvent sont tués. Cela comprend les bactéries, les virus et les protozoaires, tels que :

  • Escherichia coli (E. coli)
  • Salmonella
  • Giardia
  • Cryptosporidium

Études scientifiques

Des études ont montré que faire bouillir l’eau pendant une minute à 100 °C élimine efficacement plus de 99 % des micro-organismes nocifs. Cette méthode est reconnue par les organisations internationales de santé publique, notamment l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Prévention des maladies d’origine hydrique

En tuant les micro-organismes pathogènes, l’ébullition de l’eau peut prévenir diverses maladies d’origine hydrique, telles que :

  • Diarrhée
  • Vomissements
  • Crampes abdominales
  • Déshydratation

Altitude et ébullition

Il est important de noter que la température d’ébullition de l’eau diminue avec l’altitude. À des altitudes supérieures à 1000 mètres, l’eau doit être bouillie pendant plus d’une minute pour garantir l’élimination des micro-organismes nocifs.

Conclusion

Faire bouillir l’eau pendant une minute à 100 °C (à moins de 1000 mètres d’altitude) est une méthode efficace pour éliminer la plupart des micro-organismes nocifs et garantir une eau potable plus sûre. Cette pratique simple peut contribuer considérablement à prévenir les maladies d’origine hydrique et à protéger la santé publique.