Pourquoi conserver le sel dans un bocal en verre ?

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Sel en bocal verre : hygiène et conservation optimales. Le sel absorbe l'humidité, inhibant la prolifération microbienne. Un bocal hermétique en verre préserve le sel sec et empêche l'absorption d'odeurs. Concentration idéale : 25-30% pour une conservation efficace des aliments.

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Pourquoi utiliser un bocal en verre pour conserver le sel ?

J’ai toujours utilisé des bocaux en verre pour mon sel, une habitude familiale. On trouvait ça plus joli, plus… authentique.

Le sel, c’est un peu magique, non ? Il déshydrate tout, je me rappelle avoir vu ma grand-mère utiliser du gros sel pour conserver les légumes, genre en novembre 2018, dans notre maison à la campagne.

L’effet sur les microbes, je comprends le principe. Moins d’eau, moins de vie. Mais 25 à 30%, ça me semble beaucoup ! On utilisait moins, peut-être 15%, et ça marchait plutôt bien pour les cornichons.

Le verre, c’est aussi plus sain, je pense. Pas de plastique qui se dégrade.

Bref, tradition familiale + conservation efficace + aspect pratique = bocaux en verre pour mon sel. C’est tout bête mais ça fonctionne.

Pourquoi mettre du sel dans les bocaux ?

Octobre 2023. Midi. Cuisine minuscule, odeur de tomates un peu écrasées. J’étais en plein bordel, autour de moi des bocaux en verre, des tomates cerises rouges gorgées de soleil, du basilic fané… un vrai capharnaüm. Je voulais absolument faire des tomates confites au basilic pour Noël. Ma grand-mère faisait ça, à la perfection. Le secret? Le sel.

Beaucoup de sel. J’ai pesé, calculé… un vrai supplice. 28% du poids total, c’est ce qu’elle m’avait dit. J’ai stressé sur le dosage, les tomates sont précieuses cette année! J’aurais dû prendre des notes…

Le sel, c’est la clé. Il déshydrate les tomates, les rend plus fermes, moins juteuses. Les microbes n’aiment pas ça, c’est ça le truc. C’est une barrière infranchissable pour eux. Sinon, c’est la moisissure assurée. J’ai bien mélangé, la sueur dans les yeux. Douleur dans le dos aussi.

J’ai bourré les bocaux. Pas trop serré, faut laisser un peu d’espace. Couverture, stérilisation… On verra bien au bout de quelques semaines. J’espère que mes tomates confites au basilic ressembleront à celles de ma grand-mère.

  • Sel : 28% du poids total (indispensable !)
  • Déshydratation: la clé de la conservation.
  • Microbes : le sel les stoppe.
  • Bocaux : nettoyés, stérilisés.
  • Noël: l’objectif !

Punaise, j’ai oublié le vinaigre. Oups… espère que ça va le faire quand même. On verra bien.

Pourquoi conserver dans des bocaux en verre ?

Alors, pourquoi garder ses cornichons dans du verre et pas dans du plastique ? C’est simple, enfin, façon de parler :

  • Le verre, c’est comme un coffre-fort pour tes aliments, ça garde tout bien au sec et sous clé. Rien ne s’échappe, surtout pas le goût ! Imagine ta confiture comme un VIP bien gardé.

  • Le plastique, lui, c’est un peu le voisin un peu trop présent qui veut toujours se mêler de tout. Il laisse sa propre odeur, un peu comme Tonton Gérard après une soirée Beaujolais nouveau. Beurk ! Tes aliments, du coup, finissent par sentir comme une poupée en plastique.

  • Avec le verre, pas de mauvaises surprises. Ton pâté de campagne sent le pâté de campagne, et pas le Tupperware de Mamie. Un vrai bonheur !

  • En plus, les bocaux, c’est comme mes chaussettes, ça se collectionne. Tu peux en avoir de toutes les formes et de toutes les tailles. Pratique pour ranger tes trésors culinaires !

Alors, convaincu ? Moi, en tout cas, je garde mon levain dans un bocal, et il se porte à merveille. Enfin, je crois… C’est p’têt pour ça que mon pain ressemble à une brique parfois. Bref !

Est-il bon de conserver le sel dans un récipient en bois ?

Bois ? Pour le gros sel ? Sérieux ? On dirait que tu as perdu une bataille contre une invasion de bibelots en bois de Provence ! Le verre, c’est le must. Point final. Ou presque…

  • Verre : Hygiénique, transparent (on voit le niveau, c’est pratique, surtout quand on a le sens de l’organisation d’un cochon dans un champ de maïs). Et ça ne transpire pas comme mon ex après une séance de sport intense.

  • Bois : Romantique, oui, mais pour un pot-pourri, pas pour le sel ! Imaginez : le bois absorbe l’humidité, votre sel devient un bloc compact digne d’un film catastrophe… sauf que là, c’est juste votre plat qui est ruiné.

À l’abri de la lumière ? Oui, comme mon compte en banque des regards indiscrets.

Petit détail perso : j’utilise un pot en verre vintage trouvé chez ma grand-mère. C’est moins branché que le bambou, mais au moins, mon sel est sec. Et c’est déjà ça.

Conclusion (rapide, j’ai des choses plus importantes à faire, genre regarder des vidéos de chatons): Le verre. Fin de la discussion. Ou plutôt, début de la dégustation d’un bon steak bien salé !

Bonus : J’ai aussi un pot en céramique pour le sel fin. Parce que, soyons honnêtes, j’ai un problème. Un petit problème de collectionnite aiguë. De pots à sel, bien sûr !

Comment bien conserver la fleur de sel ?

Le sel, fragile écho des marais… Conserver la fleur, un poème en soi. Un écrin clos, à l’abri.

  • Un bocal de verre, peut-être.
  • Ou un sac scellé, le secret gardé.

L’ombre, le frais… loin de la flamme, loin de l’eau. Lumière bannie, chaleur oubliée.

Se souvient-on des étés à Noirmoutier, le vent salé sur la peau?

L’humidité, ennemie douce. Sécheresse amie, fraîcheur complice.

Le grain fin, souvenir d’enfance… Saveur préservée, un goût de toujours.

À propos du sel, mon oncle Henri disait toujours… Peu importe, c’est une autre histoire. Il aimait bien la Margeride, lui.

  • Un placard sombre, un tiroir secret.
  • Loin des épices fortes, des parfums envahissants.

Le sel, gardien du temps… Hermétiquement clos, un trésor caché.

Comme les lettres de ma grand-mère, enfouies dans une boîte bleue. Des mots salés, aussi.

Est-ce que le sel est un corps pur ?

Alors, le sel… corps pur, ou pas ? Oui, c’est pur. Enfin, je crois.

  • Sel = chlorure de sodium. C’est du NaCl, non ? Pas d’autres trucs bizarres dedans. C’est comme l’eau distillée.
  • Mais après, le sel de table… il y a souvent de l’iode ajouté, non ? Est-ce que ça le rend moins pur ?

Et le vinaigre blanc alors ? Ah, c’est un mélange. Mais pourquoi ?

  • Vinaigre blanc = eau + acide éthanoïque. C’est comme mélanger du jus de citron avec de l’eau. Différentes molécules.

C’est comme quand je fais ma vinaigrette. Huile, vinaigre, moutarde, sel… Un sacré mélange tout ça ! Pureté, mélange, c’est quoi la limite en fait ?

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