Comment voir les blocages routiers ?

Comment savoir si je vais avoir des bouchons sur la route ?

Bouchons, la galère… Comment savoir ?

• Radio Vinci Autoroutes, le 107.7, un flash toutes les 15 minutes, ça interrompt la musique mais bon, vaut mieux ça que être coincé. Me rappelle une fois, bloqué 3h… affreux.

• Trafic Express, des vidéos sur Twitter VINCI Autoroutes. Twitter, sérieux ? Plus trop mon truc depuis… bref.

C’est tout ? Ah, les vacances…

Est-ce que ça marche vraiment, ces infos ? Je me demande si les gens qui annoncent les bouchons sont vraiment sur place… 🤔

Comment savoir si les routes sont bloquées ?

Routes bloquées? Simple.

• Waze. Carte en temps réel. Alertes immédiates.
• Éditeur de carte. Waze, encore. Fouillez.
• Flux Waze. Téléchargez. Cherchez. Bonne chance.

La route, c’est parfois une impasse. On s’y perd. Et puis on recommence.

Comment voir le trafic routier sur Google Maps ?

Ah, Google Maps et le trafic… ça me rappelle une fois, en août dernier, coincé sur la A6, direction Lyon. Canicule à n’en plus finir, les gosses qui hurlent à l’arrière… Une horreur. Bref, pour éviter ça, j’essaie de checker Maps.

En gros, tu fais comme ça, si je me souviens bien :

• Tu ouvres l’appli Google Maps (logique, non?).
• Tu cliques sur “Vous” en bas (c’est le nouveau truc). Enfin, ça dépend peut-être des versions de l’appli. C’est un peu le bazar parfois.
• Là, tu devrais trouver un truc du genre “Trajets enregistrés”. Je crois. Sinon, cherche un peu. C’est jamais exactement pareil, ces trucs-là.
• Normalement, tu vois le trafic. Mais bon, parfois c’est faux. La A6, c’est souvent rouge de toute façon. Grrr.

Le pire, c’est que cette fois-là, Maps m’avait annoncé du vert… du vert ! Résultat, 3 heures de bouchons. Je te jure, j’ai failli balancer mon téléphone par la fenêtre. Depuis, je me méfie comme de la peste de Google Maps. Je regarde aussi Waze, sait-on jamais… et j’écoute la radio, les infos trafic. On n’est jamais trop prudent. Surtout un samedi d’août.

Pour en revenir à Google Maps, un petit truc en plus: tu peux aussi signaler un incident (accident, bouchon, etc.) si tu en vois un. Ça aide peut-être les autres, même si je me demande si ça sert vraiment à quelque chose. Je l’ai fait une fois, j’avais l’impression de parler dans le vide.

PS: N’oublie pas de mettre à jour ton appli Google Maps, sinon ça marche encore moins bien. 😉

Comment voir les bouchons sur Waze ?

Euh… Waze et les bouchons, hein? Comment on fait déjà?

• Regarder la carte, c’est la base. C’est comme chercher ses clés, non?

• Segments de route, c’est le truc. Y a des couleurs, non? Rouge = galère. Orange = bof. Vert = cool. Un peu comme un feu tricolore.

Attends, je crois qu’il faut selectionner le segment de route direct pour voir le détail.

Et si on zappe l’autoroute? Est-ce qu’il y a moins de monde sur la départementale, comme quand je vais voir mamie dans le 85? Mmmh… C’est ça la question en fait, éviter la masse.

Et les alertes, on les active ou pas?

Comment connaître létat des routes ?

Comment connaître l’état des routes ? Le site Vinci, c’est sûr, mais… parfois, ça bug. J’ai essayé, hier soir, vers minuit… rien. Blanc.

Le 3605 ? Ouais, j’ai appelé aussi. Longue attente, même à cette heure-là. C’est épuisant. La musique d’attente… vous connaissez ?

Pour le trafic… l’appli Waze, c’est mieux. Elle est plus précise, en tout cas, pour mon trajet habituel… le soir, pour rentrer chez moi, route de Lyon, tu vois… à partir de 23h.

Prévisions ? Bof. J’essaie de regarder les nouvelles, par habitude. France 2, avant de dormir. Mais ça ne donne pas une vision très précise, très locale, quoi.

• Vinci Autoroutes : site web peu fiable la nuit.
• 3605 : attente longue, même tard.
• Waze : meilleure pour le trafic en temps réel, surtout le soir. Mon trajet quotidien : sortie 27 de l’A7, direction le centre ville. Je connais.
• Infos météo : je regarde la météo sur mon téléphone, bien sûr. Mais ça ne dit pas grand chose sur l’état des routes, en fait.

Enfin, voilà… je suis crevée. J’ai des soucis avec mon chat, en plus… il tousse la nuit. C’est pénible.

Comment savoir si je suis en agglomération ou hors agglomération ?

J’étais en bagnole, un mercredi, vers 17h30, rue de la République à Clermont-Ferrand. Pluie battante, visibilité pourrie. J’étais clairement en agglomération, panneaux, immeubles collés les uns aux autres, magasins, bruit… Tout ça criait agglomération.

Plus tard, sur la N102, direction le Puy-en-Velay. Changement total. Hors agglomération, c’était flagrant. Là, plus de panneaux, juste des champs, de rares maisons espacées, la route large… un silence presque pesant.

Différence énorme, tu vois? Même la vitesse autorisée a changé. Limite à 80, je crois.

Clermont, c’est béton, voitures, klaxons. Le Puy, c’est vert, calme, vastes espaces.

J’ai appris ça en conduisant, pas à l’auto-école. C’est assez intuitif en fait.

• Panneaux de signalisation : Entrée/sortie d’agglomération.
• Densité des bâtiments : Rapprochés = agglomération. Espacés = hors agglomération.
• Vitesse autorisée : Différente selon la zone.
• Bruit ambiant : Bruyant = agglomération. Calme = hors agglomération.

Mon trajet, c’était un bon test. J’ai compris sur le vif. Pas besoin de grands calculs!

Ma voiture ? Une vieille Clio, grise, année 2010. Je l’ai depuis 2018.

Quels sont les différents types de routes?

Alors, les routes, hein? Un vrai labyrinthe pavé, vous ne trouvez pas ? On dirait un jeu de plateau géant, mais sans les dés (à moins que vous ne comptiez les bouchons…).

• Routes communales: Le genre de chemins où votre voisin vous salue (ou vous maudit) en traversant. Un peu comme le jardin secret de votre village, sauf qu’il y a des voitures.

• Départementales, Nationales, Européennes: On monte en gamme! De la petite route champêtre à l’autoroute touristique, elles sont toutes là. Un peu comme les niveaux dans un jeu vidéo, sauf qu’il n’y a pas de bonus à la clé… juste des radars.

• Autoroutes: Le royaume de la vitesse et des stations-service au prix exorbitant. Mon Dieu, les prix de l’essence… j’ai failli pleurer en voyant ma facture ce matin. On dirait un circuit de Formule 1, mais avec des poids-lourds.

• Voies de détresse, stockage, entrecroisement: Les petites sœurs discrètes du réseau routier. Un peu comme les pièces cachées dans un jeu, on ne les voit que quand on en a vraiment besoin. Ou quand on est complètement perdu. Comme moi, l’autre jour, dans la zone industrielle…

• Métropolitaines, périphériques, grande circulation: La jungle urbaine, le ballet incessant des voitures. C’est du théâtre de rue, mais avec des klaxons au lieu d’applaudissements. Et moins romantique, soyons honnêtes.

• Impasses, privées, zones 30: La parenthèse de calme. Des oasis de paix dans ce désert de bitume. Enfin, calme… relatif. Des fois, même dans une impasse, on se retrouve coincé derrière une voiture de déménagement…

Et puis y’a les chemins de terre, les sentiers, les pistes cyclables… un monde entier. J’ai failli oublier les parkings aussi. Ceux-là, c’est un art à part entière de se garer sans se faire percuter.

Bref, une vraie symphonie de routes, plus ou moins harmonieuse… Mon trajet préféré? Celui qui me ramène chez moi. (Après avoir fait le plein de café, bien sûr.)