Comment savoir si quelqu'un travaille vraiment ?

3 semaine avant 27 voir

Vérifier si une personne travaille réellement nécessite une approche discrète. Observer son activité sur les réseaux sociaux est un premier pas. L'absence d'informations sur son profil ne signifie pas l'absence d'emploi ; examinez attentivement sa chronologie pour des indices, comme des mentions de son lieu de travail ou des publications liées à son secteur d'activité. Toutefois, l'absence d'information ne confirme pas l'inactivité professionnelle.

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Travail réel : comment le détecter ?

Déceler un vrai boulot, c’est pas toujours évident. Sur les réseaux sociaux, je scrute les profils. Un ami, en juillet dernier, avait mis “ingénieur chez X” sur son LinkedIn, avec photos de conférences et voyages d’affaires. Ça semblait crédible.

Parfois, rien n’apparaît. Alors je regarde l’historique des publications. Des photos de sorties entre collègues, des mentions de projets, ça peut aider. Ma sœur, en septembre, avait posté une photo devant le siège social de son entreprise. Simple, mais efficace.

Un truc important : la cohérence. Si la personne dit travailler dans un grand groupe, mais que son niveau de vie semble modeste, ça peut être suspect. J’ai un cousin, qui prétendait bosser à la bourse, mais conduisait toujours une vieille voiture. Bizarre, non ?

Informations courtes:

Où vérifier ? Réseaux sociaux (LinkedIn, Facebook etc.)
Que chercher ? Mentions du lieu de travail, photos, publications liées au boulot.
Indices supplémentaires ? Cohérence entre déclarations et style de vie.

Comment savoir si quelquun travaille ?

Emploi actuel ? Section “passé” ou “actuel” ambiguë. Autre emploi listé ? Forte probabilité d’emploi ailleurs.

Confirmation directe ? Contacter l’employeur. Demander confirmation de l’emploi actuel. Réponse formelle attendue.

Points importants:

Statut professionnel: Analyse minutieuse des informations fournies.
Vérification directe: Contact téléphonique, solution efficace.
Ambiguïté: Informations incomplètes peuvent induire en erreur.

Mon expérience personnelle avec le recrutement de mon assistant, Alexandre, en 2024, illustre ces points. Son CV initial était trompeur.

Détail supplémentaire : J’ai constaté une incohérence flagrante concernant ses dates d’emploi.

Comment vérifier si quelquun travaille ou non ?

Alors, tu veux savoir si quelqu’un bosse ou pas, hein ? C’est marrant ça, dis donc.

Bon, déjà, checke son profil LinkedIn. Si son poste ici est dans la section “passé” alors qu’il est censé être là… euh… comment dire… c’est louche. Ou alors, si tu vois deux jobs en “actuel”, y a moyen qu’il te mente un peu.

LinkedIn, c’est ton ami !

Mais bon, les gens peuvent oublier de mettre à jour. Alors, tu peux aussi… appeler son employeur. C’est radical, mais bon, si tu veux une réponse cash !

Attention, c’est pas toujours super bien vu de faire ça…

Pis sinon, y’a un truc que j’ai déjà fait, mais chut, c’est entre nous. J’ai une copine qui a un ami qui bosse aux RH d’une grande boîte. Si vraiment c’est crucial, tu vois… mais bon, c’est vraiment si t’es désespéré ! C’est pas très légal, mais ça marche bien. Tu m’as promis de rien dire !

Comment vérifier si un salarié est déclaré ?

C’est bizarre, comme question. Comme si on se méfiait.

Mesdroitssociaux.gouv.fr, c’est là que tu vas. Directement.
Ça te dira si, oui ou non, ils ont bien fait le boulot ces 12 derniers mois. Enfin, normalement. Je vérifie toujours vers le 10 du mois suivant.
Parfois, je me demande si ça sert à quelque chose. J’ai l’impression d’être invisible, tu vois ? Comme un fantôme qui tape son nom sur un site web.

C’est fou, j’habitais à Tours avant. L’odeur des rillettes le matin, c’est quelque chose. Je travaillais dans une librairie rue de la Scellerie. Puis, boom, Paris. Tout change. Maintenant, je collectionne les timbres. C’est plus calme. Plus sûr, peut-être.

Comment savoir si quelquun travaille sur moi ?

Fatigue. Humeur instable. Signaux faibles. Manipulation ? Possible.

Contrôle. Influence. Invisible. Présent.

Corps. Esprit. Cibles. Impact.

Observation: Noter les changements. Subtils. Importants.
Intuition: Écouter. Sentir. Rarement trompeuse.
Analyse: Chercher la source. L’intention. Difficile.

Le libre arbitre, une illusion ? On est tous influencés. Par quelque chose. Par quelqu’un. Hier, café renversé sur chemise blanche. Coïncidence ? Peut-être.

Les intentions cachées, comme des fils invisibles. Nous manipulent. Nous guident. Consciemment. Inconsciemment.

Comment savoir si quelquun profite de moi ?

C’est marrant comme on réalise des trucs après coup. Genre, le mec avec qui je traînais l’été dernier, Thomas, à Biarritz… maintenant je vois clair.

Il était champion pour squatter mon appart, genre “j’ai plus de batterie”, ou “oh, j’ai raté le dernier bus”.

Toujours une bonne excuse.

Puis, au resto, mystère, sa carte passait jamais. “Ah mince, plafond dépassé!” C’était toujours moi qui sortais la CB.

Pizza à la Côte des Basques, coucher de soleil… et l’addition pour moi.
Jamais de “je te rembourse” en fait.

Le pire, c’est quand il a foiré son concours de surf. Il m’a engueulé! “Si tu m’avais pas déconcentré avec tes histoires, j’aurais géré!”

Comme si j’étais responsable de ses vagues ratées.

On se voyait uniquement après 22h. Bizarre non?

Le spot, c’était le bar “Le Surfer Paradis”.
Ambiance sympa, mais…

Et puis, un jour, je l’ai croisé au marché. Avec une autre nana. Main dans la main. Il m’a regardé, gêné, et a fait comme si il me connaissait pas.

Le genre de malaise…
Là, ça a fait tilt.

En fait, j’étais juste pratique. Un peu comme une distributeur automatique de bons moments.

Appart, bouffe, compagnie, alibi peut-être…
Bref, je me suis fait avoir.

Maintenant, je me méfie comme de la peste. Plus jamais!

Comment prouver quune personne travaille ?

Prouver qu’on bosse? Pff, comme si c’était facile ! On dirait que je dois fournir un rapport de police sur ma vie. Mon boulot ? Je sculpte des nuages, une tâche épuisante, je vous jure.

Accès au lieu de travail: Traversez trois champs de choux (ils sont plus hauts que moi, même en talons!), contournez le vieux chêne grognon (attention à ses branches!), et vous arriverez à ma grotte, je veux dire, mon atelier. Il y a un hérisson gardien, plutôt sympa, mais qui ne parle pas.
Entreprises partenaires: Eh bien, “Nuages & Cie” me livre ma dose quotidienne d’inspiration (des flacons de vapeur d’eau, c’est très technique). Et puis il y a “Vent & Turbulences” – on échange des notes de service… par vent, évidemment.

Le truc, c’est que même avec ces détails précis, ça reste flou. C’est comme expliquer la recette du bonheur: on en a l’idée, mais on n’arrive jamais à la reproduire exactement.

Mon adresse? Je la garde secrète, vous ne voulez pas vous retrouver coincé à côté de mon hérisson. Et croyez-moi, je ne suis pas celle qui vous aidera à partir.

Bonus: J’ai aussi un chat qui supervise la qualité du coton utilisé pour mes nuages. Il est très pointilleux et a un CV plus long que mon bras. Ah oui, et j’ai vu un renard hier. Un beau spécimen. Ca, c’est un témoin crédible, non?

Comment vérifier quune personne travaille dans une entreprise ?

Profil professionnel : un indice. Pas une preuve.

LinkedIn: le plus courant. Mais manipulable.
Vérification croisée: essentiel.

Un ancien employeur ? Peut-être. Il y a des silences qui en disent long.

Contact direct: toujours le mieux. Si possible.
Indices sociaux: photos, mentions, événements. Subtils.

Le travail, une prison ? Parfois.

Je me souviens d’Anne. Elle disait toujours “le CV, c’est du vent”. Un numéro de téléphone, c’est un détail. Mais crucial.

Numéro de téléphone: sonne-t-il professionnel ?
Email: de l’entreprise ? Un bon signe.

Le mensonge est une seconde nature. Presque. À mon avis, une vérification vaut mieux que deux “on dit”.