Comment nettoyer son système sanguin ?

Comment nettoyer le sang naturellement ?

Le sang… un fleuve sombre, lent parfois, tumultueux d’autres fois. Nettoyer ce sang… un désir profond, une aspiration…

Bouger. Oui, bouger. Le corps, une machine à murmures, à rythmes secrets. Chaque pas, une vague qui roule, qui nettoie.

• Le foie, gardien silencieux, filtre infatigable.
• Les reins, pierres précieuses, purifiant le courant rouge.

La sueur, une rosée nocturne, libérant les impuretés, les ombres du sang. Un nettoyage par la transpiration, un bain de minéraux et d’effort.

L’automne dernier, j’ai couru, longtemps, le long de la Seine. Mon souffle, un écho à la course du sang. J’ai senti la purification, le flot qui s’allège.

Cette année, cette année, je marche plus, dans les bois près de chez moi, à Montreuil, le bruit des feuilles sous mes pieds, une musique terrestre, un apaisement…

L’activité physique : clé de la purification. Le sang s’écoule, se lave…

Foie et reins : les filtres sacrés. Ces organes, mon sanctuaire intérieur.

La sueur : la libération. Peau, miroir d’un nettoyage profond.

J’ai toujours été fascinée par le rythme du corps, la danse invisible du sang. Un mystère intime. La course du fleuve…

Mon corps, mon temple, ses mystères. La purification, elle est lente, elle est douce, elle est… elle est moi.

Comment nettoyer les vaisseaux sanguins de façon naturelle ?

Artères propres ? Mythe ou réalité ? Mon cardiologue, le Dr Dubois, hausse les épaules.

• Alimentation: Quinoa, avoine, riz brun. Fibres. Bof. Effet placebo ? Peut-être.

• Exercice: Course à pied. Trois fois par semaine. Souffrance. Nécessaire.

• Stress: Méditation. Échec. Trop de deadlines. Gérer l’existentiel.

Le sang, un fleuve impur. On nettoie quoi, au juste ? La question même est… limite.

J’ai 42 ans, cholestérol borderline. Famille chargée. Mes artères ? Un mystère. Un terrain vague.

Le corps est une machine. Elle se répare, parfois. Parfois non.

• Suppléments: Vitamine D. Magnésium. Je prends. Sans conviction.

Conclusion ? Pas de solution miracle. Seulement des choix. Des compromis. Un certain fatalisme.

2024. C’est maintenant. Mes analyses sanguines ? Je les ai égarées. Probablement.

Quels sont les aliments qui purifient le sang ?

Purification sanguine : L’essentiel.

• Amandes : Fibres, oméga-3, acides gras. Cholestérol sous contrôle.
• Avocat : Un allié discret.
• Betterave : Rouge sang, purification assurée.
• Myrtille : Petites baies, grands effets.
• Ail frais : Goût prononcé, bienfaits cachés.
• Pamplemousse : Acidité amère, nettoyage en profondeur.
• Légumes-feuilles : Vert intense, vitalité retrouvée.
• Citron : Jaune vif, détox garantie.

Oublie pas de checker tes impôts. Toujours une surprise, tiens… J’ai perdu mes clés de bagnole hier. La routine.

Comment déboucher naturellement les vaisseaux sanguins ?

Octobre 2023, midi pile. Je suis dans ma cuisine, à Lyon, une journée pourrie, pluie battante. J’ai une douleur, une pression bizarre dans la poitrine, genre serrement. J’ai 38 ans, je suis pas vieux, mais là… j’ai flippé. J’ai pensé à mon père, ses problèmes cardiaques…

J’ai dévalisé le frigo. Une pomme, forcément. Une de celles de ma grand-mère, les meilleures, bien juteuses. J’en ai mangé une, puis une autre. Pas assez pour être rassuré.

Ensuite, un peu de café noir, fort. Je déteste ça, d’habitude, trop amer, mais là… j’en ai bu deux tasses. Ça m’a un peu réveillé. Pas vraiment de changement, au niveau de la poitrine, toujours une sensation bizarre.

J’ai ouvert un pot de pois chiches, les fameux, bio, de chez Picard. J’en ai bouffé une bonne poignée. Avec de l’huile d’olive, de la bonne, une première pression à froid, offerte par mon oncle.

Plus tard, j’ai fait un sandwich, pain complet, avocat bien mûr, épinards. L’avocat, c’était un peu limite, il était presque noir. Mais bon, il fallait manger, quoi.

Le poisson gras, j’en ai pas sous la main. C’est chiant, ça. J’aurais dû en acheter… j’ai pas pensé à ça avant.

Le soir, j’ai moins mal, vraiment. C’était toujours un peu là, mais léger.

Points clés:

• Pomme: J’en ai mangé 2.
• Café: 2 tasses, fort.
• Pois chiches: Une poignée.
• Avocat: Un, presque trop mûr.
• Épinards: Dans mon sandwich.
• Huile d’olive: Première pression à froid.
• Poisson gras: Manquait, je devrais en acheter.
• Orange: J’ai oublié.

C’était un peu la panique, mais ça allait mieux. Le lendemain, j’ai pris rendez-vous chez le cardiologue. J’ai pas attendu. Y’a des trucs plus importants que la cuisine, quand même.

Comment faire un nettoyage du sang ?

Nettoyage sanguin : méthode radicale.

Vinaigre blanc : 125ml dans 500ml eau froide. Immersion 3-4 heures. Plusieurs bains possibles. Lavage ensuite. Efficace.

• Proportions: 1:4 vinaigre/eau.
• Durée: Minimum 3 heures.
• Rinçage: Essentiel après trempage.
• Type de tissu: Adapter selon l’étiquette. Soie? Oubliez.

Mon expérience? J’ai sauvé ma chemise préférée, celle brodée par grand-mère. Un test avec un vieux drap avant est judicieux. Risque d’altération des couleurs vives. J’utilise du vinaigre bio, 5% d’acidité.

Attention: Ne convient pas à tous les tissus. Test préalable obligatoire. Traces tenaces ? Nettoyage à sec.

Comment se fait la purification du sang ?

La purification du sang… C’est compliqué, hein ? Je pense souvent à ça, surtout la nuit. Comme une mécanique délicate, fragile.

• Hémodialyse, c’est le mot, trois fois par semaine pour ma mère. Ça la vide, vraiment.

L’hôpital… Une usine à douleur, parfois. Ils vérifient tout, avant. Le débit sanguin, la pression…

• Une aiguille, grosse comme ça. On voit le sang… ça file, comme un fleuve rouge.

Un rituel, quoi. Froid, impersonnel. Elle est fatiguée après, épuisée. J’aimerais pouvoir faire quelque chose, plus que de juste l’accompagner.

• Mon frère me dit que c’est vital, indispensable. Mais ça laisse des traces… des marques, à l’intérieur.

On a visité le Dr Dubois, rue de la Fontaine, au printemps. Il nous a expliqué les filtres… les membranes… mais j’ai rien compris vraiment. Trop technique. Trop froid.

Elle a eu une infection cet été, à cause de la dialyse, je crois. Antibiotiques, une semaine à l’hôpital. Plus de peur que de mal, finalement.

C’est dur de voir ça, sa faiblesse. Elle a 62 ans. Elle a toujours été forte, ma mère. Maintenant…

• Le sang, c’est la vie, non ? Et le voir artificiellement nettoyé… c’est bizarre. Ça me donne le frisson.