Quels sont les deux types de comptabilité ?

La comptabilité… Oh là là, ça me ramène à mes années fac ! Deux types, vous dites ? Pour moi, c’est plus compliqué que ça, même si on peut simplifier. Il y a le côté “officiel”, vous savez, celui qu’on montre au monde entier. C’est la comptabilité financière, quoi. Imaginez : je voulais obtenir un prêt pour mon petit projet de ferme de chèvres naines (oui, oui, des chèvres naines !), et bien, sans des comptes impeccables, le banquier ne m’aurait même pas regardé ! Ils veulent voir des chiffres clairs, nets, des bilans, des résultats… tout ce qui permet de prouver qu’on est solide, qu’on a une chance de rembourser. C’est vital pour survivre, non ?

Et puis, il y a l’autre facette, la comptabilité de gestion. Celle-là, c’est plus intime, on dirait un journal de bord de l’entreprise. À quoi servent vraiment ces données ? Est-ce que mes chèvres naines, mes petites chéries, sont vraiment rentables ? Ou est-ce que je devrais peut-être diversifier, vendre du fromage artisanal aussi ? (J’y pense sérieusement, tiens.) C’est avec cette compta-là qu’on affine les stratégies, qu’on voit où on peut faire des économies, où on peut optimiser… J’ai lu quelque part – un article, je crois, un truc sur un blog – qu’environ 70% des entreprises qui font faillite n’avaient pas une bonne gestion de leur trésorerie. Flippant, non ?

Quant à la comptabilité de trésorerie et d’engagement… Hum, pour moi, c’est plus comme des outils, des techniques, des manières différentes d’organiser les choses. Comme choisir entre un classeur bien rangé et un logiciel de comptabilité sophistiqué (j’ai opté pour le logiciel, l’organisation papier, c’était un peu le chaos, surtout avec les factures des vétérinaires !). Donc, oui, deux grandes familles pour moi, mais avec plein de nuances et de subtilités, vous voyez ? C’est une question de perspective, je pense… et d’expérience, évidemment !