Quand on utilise peut ?

Alors, “peut”, hein ? C’est une question qu’on se pose tous, je crois, à un moment ou un autre. Enfin, moi, je me la pose souvent ! Disons que c’est la version “lui/elle” du verbe “pouvoir” au présent. C’est le genre de truc qu’on apprend à l’école, mais qui se perd un peu avec le temps, non ?

On l’utilise pour dire que quelqu’un est capable de faire quelque chose, genre “Elle peut courir très vite, tu sais?”. Ma nièce, par exemple, elle “peut” manger un pot entier de glace en moins de cinq minutes. C’est assez impressionnant, mais bon… on s’éloigne.

On l’utilise aussi pour parler d’une permission. Tiens, je me souviens quand j’étais petit, je demandais toujours à ma mère : “Est-ce que je peux regarder la télé ?” et elle me répondait presque toujours “Si tu as fini tes devoirs, oui, tu peux”. Quelle angoisse, ces devoirs !

Et puis, “peut” sert aussi à exprimer une possibilité. “Il peut pleuvoir demain”. Ou, soyons optimistes, “Il peut faire beau”. Franchement, ça change tout, non, de savoir si on “peut” espérer un rayon de soleil ?

L’exemple qu’ils donnent, “Il peut réussir s’il essaie”, c’est bien vrai ça. L’espoir, l’effort… c’est quand même la clé, non ? Mais bon, facile à dire… Facile à dire, mais parfois, même en essayant, on “peut” pas, c’est la vie ! Et c’est là qu’on a besoin d’un peu de réconfort, je trouve.