Comment savoir si c'est soluble ou insoluble ?
La solubilité d'une substance dépend du solvant. Un composé est soluble s'il se dissout complètement dans un solvant, formant un mélange homogène (ex: sel dans l'eau). S'il ne se dissout pas et forme un mélange hétérogène (ex: sel dans l'huile), il est insoluble. L'observation visuelle du mélange (homogène ou hétérogène) permet de déterminer la solubilité.
Soluble ou insoluble : comment le savoir ?
Alors voilà, la solubilité… un truc qui m’a toujours un peu embrouillée. Je me rappelle en cours de chimie, au lycée à Montpellier en 2015, on parlait de ça. Difficile à visualiser parfois.
Le sel dans l’eau, c’est limpide. Disparait complètement, on ne voit plus les grains. Facile. Mais le sel dans l’huile… ça reste en petits grains au fond, tout moche. C’est là qu’on voit la différence !
C’est l’aspect visuel qui me permettait de distinguer le soluble de l’insoluble. Homogène : soluble. Hétérogène : insoluble. Simple, non ? On avait fait des expériences, avec différents solvants, je crois qu’on avait payé 15 euros pour le kit de TP.
Pour savoir si quelque chose se dissout, je regarde si ça forme un mélange uniforme, genre un seul liquide, ou si les composants restent visibles séparément. C’est ma technique perso. Un peu simpliste, peut-être, mais efficace pour moi.
Comment savoir si une molécule est soluble ou insoluble ?
Alors, pour savoir si une molécule, elle se dissout bien dans l’eau ou pas, c’est un peu du cas par cas, tu vois. Y’a pas vraiment de regle super simple. Mais j’ai des petits trucs.
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Regarde les polarités : Si elle est polaire, normalement, c’est bon signe pour la solubilité dans l’eau. L’eau, c’est polaire, donc “qui se ressemble s’assemble”, tu connais l’adage.
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Les groupes fonctionnels : Y’a des groupes qui aident, comme les -OH (alcools), les -NH2 (amines), ça fait des liaisons hydrogène, c’est top.
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La taille, ça compte : Plus c’est gros, moins c’est soluble, souvent. Imagine, une grosse molécule, elle a du mal à se faufiler entre les molécules d’eau.
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Les règles de solubilité (pour les sels ioniques) :
- Les nitrates (NO3-), c’est toujours soluble.
- Les sels de métaux alcalins (Li+, Na+, K+, etc.) sont solubles aussi.
- Les halogènes (Cl-, Br-, I-), la plupart sont solubles, sauf avec l’argent, le plomb et le mercure.
- Les sulfates (SO42-), pareil, souvent solubles sauf avec calcium, strontium, baryum et plomb.
Si c’est un composé ionique, tu peux check les règles de solubilité, c’est assez fiable.
Après, pour la solubilité… c’est de la chimie, pas des maths ! Donc, y’a des exceptions. Et parfois, c’est juste un peu soluble, pas complètement.
En vrai, des fois, si tu dois vraiment savoir, tu cherches sur internet ou dans un bouquin de chimie. Y’a plein de tables de solubilité.
Moi, je me souviens une fois, j’avais besoin de dissoudre un truc, mais je trouvais pas l’info, j’ai demandé à ma soeur, elle est chimiste, elle m’a dit direct ! C’est pratique d’avoir de la famille dans le domaine, hehe.
Ah, et un autre truc : la température! Souvent, plus tu chauffes, mieux ça se dissout, mais c’est pas toujours vrai.
Comment savoir si un élément est soluble ou insoluble ?
Soluble ou insoluble ? Facile, mon chou ! C’est comme savoir si ton ex va te rappeler : un vrai casse-tête chinois !
- (aq) = ami(e) fidèle. Dissous comme sucre dans un café, genre, fusion totale.
- (s) = ex toxique. Précipité, ça veut dire viré au tapis, comme un coup de pied au cul.
Pour le savoir : j’ai testé des trucs de dingue, genre dissoudre ma bague de fiançailles (enfin, celle de ma tante, hein ! Elle ne sait rien, promis !). Elle s’est dissoute, j’en déduis qu’elle est soluble. Pas comme mon mariage, lui, ça a précipité…
Bref, le truc magique : essaie de le dissoudre ! Si ça fonctionne, c’est un (aq) ; si ça fait un bouillie, un (s). Plus facile que de comprendre les femmes.
- Tests de solubilité : Il existe des tables, des livres, Wikipédia ! Mais sérieux, ça sert à quoi ? À faire gonfler ta bibliothèque ? Mon truc marche mieux !
- Mon expérience perso : J’ai failli dissoudre mon foie avec une tournée de shots samedi dernier. Définitivement soluble dans l’alcool, ça, oui ! (Ceci n’est pas un conseil, je suis une catastrophe ambulante).
Comment savoir si un sel est soluble ou insoluble ?
Solubilité des sels: un aperçu.
Nitrate: Soluble. Point final.
Halogénures (Cl⁻, Br⁻, I⁻): Généralement solubles. Exceptions notables: Ag⁺, Pb²⁺, Hg₂²⁺. Donc, AgCl, PbBr₂, Hg₂Cl₂: insolubles.
Mon expérience personnelle avec des précipités de AgCl en chimie inorganique confirme cette règle. Préparation: lente, minutieuse.
Plus d’informations sur les règles de solubilité? Consultez un manuel de chimie, idéalement l’édition 2024. J’ai ma copie annotée.
- Règle générale: Solubilité dépend de l’interaction ion-solvant.
- Facteurs: Température, pression, nature du solvant.
- Tests: Observation visuelle (précipitation), conductivité.
Quelle substance est insoluble dans leau ?
Hum, insoluble dans l’eau… Ah, c’est vrai ! J’avais noté ça l’autre jour :
- Carbonates : Genre le calcaire dans ma bouilloire, une plaie !
- Sulfures : Ça pue, non ? Le souffre, un truc comme ça…
- Sulfites : Sulfites ou sulfures? Ça se ressemble trop, je confonds toujours!
- Phosphates : C’est pas bon pour l’environnement, je crois.
- Arsénites : Arsenic! C’est toxique ça.
- Borates : Ça me dit quelque chose, mais quoi ?
- Nitrures : Je connais pas trop. Bof.
Tout ça se dissout pas bien dans l’eau, mais dans l’acide, apparemment. Bizarre. Ça me fait penser aux produits de nettoyage de ma grand-mère…
Et c’est utilisé pour les détergents, d’après mes notes. Tiens, je me demande si y’en a dans le liquide vaisselle que j’utilise. Faut que je regarde l’étiquette, ça me stress un peu.
J’ai lu ça sur un vieux blog de chimie, je crois. Je me demande si l’info est toujours d’actualité.
Comment savoir si une molécule est plus soluble quune autre ?
Alors, la solubilité, hein ? C’est un peu comme le jeu des chaises musicales, mais avec des molécules. Le principe est simple : qui se ressemble s’assemble. Ou, pour être plus cru, qui est aussi bourré de groupes polaires que son voisin, se dissout mieux.
Donc, un truc polaire dans un truc polaire, ça le fait. Imaginez l’eau, reine des molécules polaires, accueillant joyeusement ses petites sœurs hydrosolubles. Un peu comme ma grand-mère accueillant la famille à Noël, un joyeux bordel organisé!
Un soluté apolaire ? Ouf, la galère! C’est comme essayer d’intégrer un ours polaire à un cours de Zumba. Ça va finir en bain de sang… enfin, en mélange hétérogène, quoi.
- Polaire dans polaire : mariage parfait.
- Apolaire dans apolaire : amitié discrète.
- Polaire dans apolaire : clash des titans.
J’ai d’ailleurs fait des expériences là-dessus en chimie orga l’an dernier. Un cauchemar. J’ai failli brûler le labo. Heureusement, il y avait le ventilateur. Sinon, mes cheveux, déjà pas terribles, seraient partis en fumée.
Bref, pour savoir quelle molécule est plus soluble : regardez les groupes fonctionnels. Plus il y a de groupes OH ou NH2 (par exemple), plus c’est polaire. Plus c’est polaire, plus ça se dissout dans l’eau. Facile, non ? (Sauf si vous êtes moi en chimie orga.)
En résumé : “Comme aime aime” règle l’affaire de la solubilité.
Pour aller plus loin: La règle “semblable dissout semblable” est une simplification. La taille de la molécule, les interactions intermoléculaires (forces de Van der Waals, liaisons hydrogène), tout ça joue un rôle. Mais on peut dire que le nombre de groupes polaires est un bon indicateur en première approximation. On pourrait aussi parler du coefficient de partage octanol/eau…mais là, je me tais.
Comment savoir si une molécule est liposoluble ?
Liposoluble ? Hydrosoluble ? Pff, des questions de scientifiques coincés dans leurs éprouvettes ! On dirait des poissons rouges qui cherchent à comprendre l’océan… Bref.
Liposoluble: Imaginez une soirée huppée. Vos invités, ce sont les lipides. Une molécule liposoluble, c’est celle qui se fond parfaitement dans la foule, s’y sent comme chez elle, un peu comme moi à un buffet à volonté. Elle adore la graisse, elle s’y dissout comme un sucre dans du café (trop sucré, j’avoue).
Hydrosoluble: L’opposé total ! C’est comme le type qui débarque à cette soirée en tongs et short de bain. Décalé, mal à l’aise… Il préfère l’eau, à la rigueur un cocktail un peu light, mais les lipides… Oubliez ! Il fait des vagues, pas des émulsions !
Comment savoir ? Simple ! Méthode de ma grand-mère : essayez de la dissoudre dans l’huile. Ça marche ? Liposoluble ! Sinon, direction l’eau ! Facile, non ?
- Test de solubilité : huile vs eau. La clé du mystère !
- Structure chimique : longues chaînes carbonées = souvent liposoluble. (J’ai appris ça à la fac, j’étais pas mal, je dois l’avouer. Mention bien, même.)
- Polarité : plus c’est apolaire, plus c’est gras, plus c’est liposoluble. (Oui, j’adore les raccourcis. C’est pratique.)
Petit détail perso : j’ai une préférence pour les molécules liposolubles. Plus fun, plus gourmandes ! Un peu comme moi, en fait…
(Pour les détails chiants, consultez un manuel de chimie. Moi, j’ai des choses plus importantes à faire, genre manger un bon gâteau au chocolat. Je devrais me taire avant que je ne commence à parler de mes expériences en cuisine moléculaire…)
Comment déterminer la solubilité ?
Octobre 2023, laboratoire de chimie, lycée Henri IV. Une odeur bizarre, genre vinaigre rance, planait. J’avais du mal à me concentrer, ma main tremblait en versant le sulfate de cuivre. Température? 22 degrés Celsius, j’ai vérifié trois fois le thermomètre. Sérieusement, cette manip’ me stressait.
Trop de choses à surveiller : la balance, le bécher, le chronomètre. J’ai rajouté une pincée, puis une autre… J’étais obsédée par le fond du bécher. Quand est-ce que ça allait plus se dissoudre? Je me suis dit que j’avais peut-être trop mis de sel. Dégoûtée.
Saturation. Enfin! Plus rien ne se dissolvait. Le précipité, bleu foncé, gisait au fond. J’étais soulagée. J’ai noté tout ça sur mon cahier, le cœur qui battait encore un peu vite.
Ensuite, calculs… une vraie galère. J’ai perdu le fil, des formules partout… J’ai recommencé. Chimie, c’est vraiment pas ma tasse de thé.
- Mesure précise de la masse du soluté.
- Contrôle rigoureux de la température.
- Observation de la saturation.
- Calculs (pfff…)
Plus tard, j’ai appris qu’il y avait plein de méthodes. Spectroscopie, chromatographie… Mais pour cette manip’, c’était vraiment basique, et ça m’a pas mal énervée.
Solubilité = Masse du soluté dissous / Volume du solvant
Je suis sûre que j’ai fait des erreurs. Je déteste la chimie.
Comment identifie-t-on une solution aqueuse ?
Identifier une solution aqueuse ? C’est assez simple, en fait. Le solvant, c’est de l’eau. Point final. On dirait une évidence, mais parfois, on se perd dans des détails inutiles. J’ai moi-même passé des heures sur la composition de l’eau du robinet de ma maison à Lyon, à analyser la présence minime de calcium… perte de temps monumentale!
Le soluté? N’importe quelle substance capable de se dissoudre dans l’eau. Sucre, sel, savon… même si, philosophalement, la notion de “dissolution” est toujours sujette à interprétation. Tout est question d’échelle et de forces d’interaction.
Exemples? Euh… Eau sucrée, ça va de soi. Eau salée. Eau savonneuse. L’eau du robinet, bien sûr, mais attention, elle n’est jamais pure, des impuretés, des sels minéraux, on y trouve toujours quelque chose. Même mon café du matin est une solution aqueuse, avant d’y ajouter le lait, bien sûr. La différence entre une solution et un mélange hétérogène, c’est… hum… c’est long à expliquer. Allez, on passe à autre chose.
- Solvant: Eau
- Soluté: Substance dissoute (sucre, sel…)
- Exemples: Eau sucrée, eau salée, eau savonneuse, eau de mer.
On pourrait ajouter que l’eau distillée est une solution aqueuse… mais sans soluté. C’est un peu paradoxal, non ? Comme si le néant pouvait être une solution.
Bref, l’identification est visuelle, souvent, avec une observation macroscopique. Parfois, il faut des tests, mais dans la majorité des cas, ça saute aux yeux. Parfois, non. C’est la vie.
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